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Une équipe de chercheurs trace un lien entre l’Alzheimer et le diabète de type II

Le Daily Mail (UK) rapporte d’étonnantes affirmations de la part d’une équipe de chercheurs américains basée à l’Université d’Albany, dans l’État de New York.

Ces spécialistes tracent un lien entre deux des maladies les plus terribles de notre époque, soit la maladie d’Alzheimer et le diabète de type II. Pour l’équipe représentée par un certain Ewan McNay, il existe plusieurs parallèles qui semblent indiquer que « l’Alzheimer et le diabète de type II sont en fait la même maladie ».

Il semble que si on analyse les symptômes de l’Alzheimer, dont les fameuses plaques amyloïdes dont on parle de plus en plus récemment, on pourrait considérer la maladie comme l’un des stages avancés, voire finaux, du diabète de type II.

Un excès d’insuline découlant de cette dernière pourrait provoquer d’importants changements au cerveau, et ainsi empêcher d’importantes fonctions chimiques de jouer leur rôle.

Même si cette théorie peut surprendre et nécessite davantage de recherches, plusieurs spécialistes avaient déjà soupçonné un risque accru de développement de l’Alzheimer chez les personnes atteintes de diabète de type II, corroborant ainsi les conclusions de l’équipe américaine.

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Des chercheurs québécois démontrent l’importance de l’asparagine pour le cerveau

Des chercheurs québécois proposent les conclusions d’une recherche qui contredit plusieurs spécialistes et qui démontre l’importance du rôle de l’asparagine sur le cerveau humain, rapporte MedicalNewsToday

C’est que l’asparagine, que l’on retrouve dans l’alimentation au sein des œufs, des viandes et des produits laitiers, n’était pas suggérée par les experts jusqu’à maintenant. Ces derniers affirment plutôt que le corps en produit de lui-même, ce qui ne rend pas nécessaire la consommation d’œuf ou de viande, ou encore de suppléments, pour en assurer les apports.

Mais pour les chercheurs de l’Université de Montréal et de Sainte-Justine, cela n’est vrai que dans le cas des cellules du corps, mais beaucoup moins lorsqu’il est question du cerveau et de son développement.

Ainsi, l’équipe de spécialistes du Québec croit que le rôle de l’asparagine pourrait mener à un traitement de certaines maladies cérébrales et du développement.

« … l’asparagine n’est pas bien transportée au cerveau via la barrière sang-cerveau. Nous ne sommes pas sur le point de trouver des remèdes miracles, mais au moins, nous savons où regarder », lance le Dr Jacques Michaud, directeur de cette recherche.

Il s’agit d’une étude qui pourrait changer la donne dans la compréhension du cerveau, de son développement et de ses besoins.

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Le jogging et le vélo seraient aussi bénéfiques pour le cerveau

S’offrir un jogging ou une randonnée de vélo de façon régulière n’aurait pas que des impacts positifs sur votre santé physique, semble-t-il, alors que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude sur le sujet qui vante les bienfaits des exercices aérobiques sur le cerveau.

Des activités comme la course et la bicyclette, donc, pourraient améliorer les capacités de la mémoire, en plus d’optimiser les performances du cerveau en général, selon les chercheurs texans en tête de la recherche.

Du coup, on peut prétendre que de tels impacts minimiseraient les risques de démence ou d’Alzheimer en vieillissant, croient également les experts.

On explique le phénomène notamment par une meilleure circulation sanguine au niveau des vaisseaux du cerveau, un effet particulièrement bienfaiteur chez les gens qui franchissent le cap de la cinquantaine.

L’équipe de l’Université du Texas croit donc qu’il est fort avantageux d’allier exercices aérobiques aux exercices mentaux (mots croisés, jeux vidéo ou interactifs, etc.), afin d’optimiser ses chances de vieillir en santé et de réduire les risques de maladies dégénératives.

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La dépression affecterait directement les cellules

Une nouvelle étude hollandaise révèle que les cellules sont directement affectées à la suite d’une dépression nerveuse, rapporte le Daily Mail (UK).

Les chercheurs affectés à cette nouvelle recherche ont observé les transformations observables sur les structures cellulaires appelées télomères, et les impacts subséquents sur la santé et l’organisme des individus découlant de la dépression.

L’équipe hollandaise conclut que la dépression ne fait pas que laisser des traces sur le plan psychologique, mais qu’elle contribue au vieillissement prématuré des cellules, et donc du corps.

L’étude, qui analysait plus de 2400 cas, remarque une accélération du processus de vieillissement des cellules, ce qui pourrait se traduire par une moyenne de quatre à six ans.

Les résultats de cette recherche, par ailleurs publiée dans le magazine Molecular Psychiatry, amènent les spécialistes à s’inquiéter du phénomène, et ils rappellent qu’il est important d’être vigilant afin d’éviter de sombrer dans une dépression.

Une surcharge de travail, une mauvaise alimentation, un manque de luminosité, une épreuve difficile ou des troubles du sommeil, entre autres, sont autant de facteurs qui peuvent mener à la dépression. On suggère d’être à l’écoute de son corps et de ses besoins, et de ne pas hésiter à consulter lors de l’apparition des premiers symptômes d’une dépression ou de troubles de l’humeur.

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Une étude vante les mérites de la conscience contre les effets du vieillissement

Tout le monde doit maintenant savoir qu’un régime alimentaire équilibré ainsi qu’un programme d’exercice physique régulier permettent d’afficher une meilleure mine, une meilleure taille et une meilleure santé en général.  

Mais une nouvelle étude vient ajouter un troisième volet, souvent négligé, à cette quête de santé et de prévention des effets du vieillissement. Il s’agit du soin de la conscience et de l’esprit, par des moyens comme la méditation, par exemple.

Surmonter et éviter le stress quotidien, l’angoisse et les appréhensions de l’avenir seraient donc des facteurs aussi importants que l’alimentation et l’exercice physique, selon Santé Log, qui rapporte les conclusions d’une équipe de chercheurs présentées lors de Conférence Neuroscience 2013.

Les spécialistes impliqués dans l’étude ont observé l’impact de différentes actions et mesures sur la santé de rongeurs, et ont pu vérifier l’importance des émotions et de la bonne santé de l’esprit sur les effets du vieillissement.

Bien qu’un régime faible en calories et un style de vie actif ont également clairement démontré leurs effets bienfaiteurs sur la santé et contre le vieillissement lors de l’étude, l’équipe de chercheurs croit qu’il est maintenant temps d’accorder autant d’importance à l’humeur et à la gestion du stress, en cette ère moderne.

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Apprendre une seconde langue pourrait freiner le développement de l’Alzheimer

Top Santé rapporte une étude qui étonne et qui rappelle à quel point les actions et la stimulation mentale d’un individu peut faire varier le destin de sa santé à long terme.

Cette fois, une équipe de chercheurs d’Édimbourg, en Écosse, a établi par le biais de ses recherches que les personnes qui parlaient plusieurs langues, soit au moins une de plus que leur langue maternelle, pouvaient voir le développement de la maladie d’Alzheimer et de la démence être retardé de plusieurs années.

Jusqu’à cinq ans, dans certains cas, peut-on lire dans cette recherche, une cause à effet des plus inattendues pour les amateurs de langues étrangères.

Les chercheurs impliqués dans l’étude ne s’en cachent pas, les raisons de ce phénomène restent à être éclaircies et expliquées. Ils sont cependant convaincus de ce qu’ils avancent, après avoir testé la nouvelle théorie lors d’essais sur des sujets volontaires.

On croit pour l’instant que la conversion entre les langues nécessite un effort de la part du cerveau comparable à une gymnastique mentale, ce qui permettrait de le garder plus en forme, plus longtemps.

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Les effets de la musique perdureraient tout au long d’une vie

Le simple fait d’avoir suivi des leçons de musique et d’avoir expérimenté avec un instrument lors de l’enfance ou de l’adolescence pourrait bien laisser des traces positives tout au long d’une vie, selon des spécialistes.

The National Library of Medicine rapporte une étude de la Northwestern University sur le sujet, qui trace un lien direct entre le temps passé à apprendre et faire de la musique à un jeune âge et la réponse cérébrale lors du vieillissement.

C’est après avoir analysé un groupe de volontaires de 44 adultes que les chercheurs en question ont pu vérifier le phénomène. Ils affirment être maintenant convaincus : plus une personne a passé de temps à jouer d’un instrument dans sa vie, plus son activité et sa réponse cérébrale sont importantes une fois passé le cap des 55 ans.

Ces conclusions se basent sur des tests effectués au cerveau des participants, qui analysaient leur vitesse et capacité de réponse à un discours. Les personnes ayant fait de la musique pendant plus de quatre ans ont obtenu les meilleurs résultats.

Rassurez-vous, donc, si vous payez pour d’onéreuses leçons de piano ou de violon, par exemple, celles-ci ne seront pas vaines… à tout le moins à très long terme! 

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Les gauchers plus à risque de développer des troubles comme la schizophrénie

Les personnes qui écrivent de la main gauche sont-elles plus à risque de développer certains problèmes de santé mentale ou neurologiques, comme la schizophrénie?

C’est ce qu’avance une nouvelle étude sur le sujet rapportée par Top Santé, qui fait état des variations qui s’opèrent au cerveau des gauchers. Celles-ci pourraient paver la voie au développement de maladies comme la schizophrénie, par exemple.

L’étude américaine, parue dans l’édition d’octobre de SAGE Open, analysait les données et réactions observables chez 107 patients. Elle trace un parallèle entre le fait d’être gaucher et les risques de schizophrénie.

« Le cerveau humain se développe de façon asymétrique, de sorte que certains processus cognitifs surviennent principalement du côté gauche ou droit. Il a été suggéré que les variations de cette latéralité contribuent à certaines formes de maladies mentales, comme la schizophrénie », résument les chercheurs américains.

Seule bonne nouvelle, ces mêmes gauchers seraient moins sujets aux troubles de l’humeur et de la santé psychologique, comme la dépression.

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L’impact de la nouvelle génération de jeux vidéo sur la santé

Les jeux vidéo progressent à un rythme impressionnant en termes de qualité, de réalisme et de potentiel d’immersion, déchaînant les passions chez les fans, mais aussi les inquiétudes chez certains spécialistes de la santé.

C’est le cas d’une équipe de chercheurs australiens, rapporte le Daily Mail (UK), qui publient leurs conclusions en la matière, à savoir les impacts de ces jeux hyper réalistes et immersifs sur la santé et les facultés de ceux qui y jouent.

On n’a qu’à penser au nouveau Grand Theft Auto V et surtout à son révolutionnaire mode en ligne, qui permet de vivre dans un véritable monde parallèle, truffé de violence et d’humour noir.

En analysant les comportements et réactions de joueurs intensifs, en utilisant par exemple des tests psychologiques, des tests de résistance à la douleur et des mises en situation, les chercheurs australiens constatent une désensibilisation marquée chez ceux-ci.

Les sujets de l’étude ont presque tous démontré une perte d’intérêt envers leur propre corps, et donc des symptômes d’une maladie probable ou encore de la fatigue ou d’une perte de moral. De plus, on remarque une baisse considérable d’empathie et de la qualité de leurs relations avec les autres, un peu comme si les jeux vidéo immersifs et la vie par procuration qu’ils suggèrent s’avéraient « suffisante ».

Ces révélations peuvent s’avérer inquiétantes pour l’avenir, mais un joueur averti en vaut deux, et plusieurs gamers sauront sans doute faire la part des choses lorsqu’ils auront conscience du phénomène, notamment grâce à ce genre de recherches.

Plusieurs études précédentes ont par ailleurs démontré des bienfaits évidents découlant de l’utilisation des jeux vidéo, notamment sur le cerveau et les fonctions cognitives.

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La danse au secours de patients atteints du Parkinson

Le Globe and Mail rapporte une touchante et prometteuse initiative de la part d’un groupe de chercheurs canadiens et de la National Ballet School de Toronto, qui vise à aider des groupes de patients atteints de la maladie de Parkinson à améliorer leur sort grâce à la danse.

Alors que le projet est déjà un succès sur le terrain, le programme officiel n’en est qu’à sa moitié, et tentera de définir pourquoi la danse semble avoir un impact si positif sur ces patients, qui affichent des améliorations notables de leur état de santé physique et psychologique au fil de ces classes de danse.

Des tests poussés seront effectués sur ces groupes de patients afin de comprendre les réponses cérébrales et analyser les raisons qui font que la danse semble outrepasser certaines barrières, pourtant créées par la maladie de Parkinson.

Mais au-delà du langage scientifique et des recherches, l’initiative a déjà changé la vie de ceux et celles qui participent à celle-ci, comme le quotidien le constate.