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Découverte du processus d’auto-nettoyage du cerveau durant le sommeil

On apprend via plusieurs sources, dont Top Santé, que non seulement le cerveau serait capable d’effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement, mais qu’il le ferait par ailleurs à notre insu, lorsqu’on dort à poings fermés.

C’est ce qui ressort des travaux de recherche d’une équipe de spécialistes de l’Université de Rochester, qui publient maintenant leurs observations et leurs conclusions.

« Alors que notre corps est endormi, le cerveau se met à accélérer son activité. Les cellules cérébrales rétrécissent pour aider à cette opération de nettoyage des toxines résultant de l’activité des neurones pendant les périodes de veille. En fait, ce travail de nettoyage nécessite une telle dépense d’énergie de la part du cerveau qu’il ne pourrait pas se dérouler pendant que nous sommes éveillés. Nous n’aurions alors plus assez d’énergie pour articuler nos pensées correctement », explique le Dr Maiken Medergaard, qui dirige ces stupéfiants travaux d’étude.

Le Dr Medergaard croit par ailleurs que cette découverte pourrait permettre de mieux comprendre certaines clés d’un traitement contre l’Alzheimer, par exemple, dont l’une des raisons pourrait justement être une « intoxication » des cellules cérébrales.

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L’huile de poisson pourrait contrer les effets de l’alcool sur le cerveau

MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui se veut encourageante et qui prétend démontrer que la consommation d’huile de poisson peut contrer les effets dévastateurs de l’alcool sur le cerveau.

Une grande quantité d’alcool consommée régulièrement peut mener à des torts cérébraux irréparables et même à de la démence, qui est directement associée à ce type de problème de consommation d’alcool.

Selon les chercheurs de l’European Society for Biomedical Research on Alcoholism en Pologne, les oméga-3 retrouvés dans l’huile de poisson pourraient bien venir en aide aux gens qui se retrouvent dans cette grave situation.

Publiée et déposée dans le cadre du 14e congrès de l’ESBRA, l’étude démontre un effet positif vérifiable sur des rats.

Un groupe test de rongeurs s’est vu imposer un régime à forte teneur en alcool, alors qu’un deuxième a subi le même sort, mais doublé d’une consommation à forte teneur en oméga-3.

Les résultats sont aussi éloquents qu’étonnants, puisqu’on constate 95 % moins de dommages au cerveau des rats du deuxième groupe!

Les chercheurs, malgré leur enthousiasme devant cette belle découverte, ont tôt fait de mettre en garde les gens qui seraient tentés de continuer d’abuser de l’alcool, mais en avalant simplement des gélules d’huile de poisson.

Cependant, cette étude pourrait mener à plusieurs percées médicales intéressantes dans le futur.

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L’amour par l’odeur, une nouvelle étude le confirme

L’amour au premier… reniflement? Voilà ce que titre judicieusement le Daily Mail (UK) en rapportant une nouvelle étude qui confirme l’impact de l’odeur sur l’attirance entre hommes et femmes.

Attention, on ne parle pas nécessairement ici d’odeur corporelle ou d’hygiène, bien que plus qu’appréciée, mais plutôt « d’odeur génétique ».

On entend par là, et ceci concerne surtout la femme si l’on se fie aux données rapportées, que les futurs partenaires sont capables de détecter l’odeur subliminale du bagage génétique l’un de l’autre et ainsi de déterminer de façon subconsciente si celui-ci fera un bon géniteur.

C’est ce qu’avance le professeur Daniel Davis dans son plus récent livre, The Compability Gene, qui accorde aux femmes un sixième sens très développé pour ce genre de choses.

Le membre de l’Université de Manchester se base également sur une expérience menée en Suisse, une recherche baptisée « expérience du t-shirt ».

On demandait à des hommes de porter le même t-shirt pendant deux jours, en évitant tout contact avec quoi que ce soit qui pourrait altérer leurs odeurs naturelles. Puis, on plaçait les chandails dans des boîtes et on demandait à un groupe-test composé de femmes de les « renifler » et de choisir un partenaire en se basant sur cette seule facette.

Résultat? Les femmes volontaires ont presque systématiquement choisi les hommes avec lesquels elles pourraient concevoir des enfants possédant un avantage génétique évident!

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Un petit cerveau pour mieux comprendre les gros

Top Santé rapporte la création d’un petit cerveau en laboratoire, qui pourrait bien s’avérer très utile dans la compréhension de celui des humains.

Créé artificiellement grâce aux cellules souches, ce « mini-cerveau » rend les spécialistes optimistes d’en savoir plus sur le complexe fonctionnement de l’organe chez l’homme.

Initialement publiée dans le réputé magazine scientifique Nature, la nouvelle parle du travail accompli par Jürgen Knoblich et son équipe de l’Académie des sciences d’Autriche.

L’équipe de Knoblich a créé un véritable système de culture de cellules qui se sont ensuite transformées en cerveau miniature, permettant une éventuelle meilleure compréhension des maladies neurologiques et dégénératives.

« Ce système de culture en 3D développe une variété de régions cérébrales capables d’influer les unes sur les autres. Le but n’était pas de recréer un cerveau entier, mais plutôt d’observer les différentes étapes de la formation du cortex cérébral et les différents troubles du développement qui peuvent survenir », explique un expert.

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Des chercheurs parviennent à connecter deux cerveaux humains

Grande première : des chercheurs américains ont réussi l’impensable, soit de « connecter » deux cerveaux humains à l’aide d’une interface.

L’équipe, basée à l’Université de Washington et menée par Rajesh Rao, confirme être parvenue à envoyer un signal d’un cerveau humain à un autre, rapporte Santé Log.

La réussite est d’autant plus impressionnante qu’elle n’implique aucune technique invasive au cerveau, mais utilise plutôt les possibilités d’Internet et de l’informatique.

Ainsi, Rao est parvenu à « commander » son collègue, Andrea Stocco, qui se trouvait à l’autre extrémité du campus. Recevant l’ordre envoyé par Rao, Stocco déplace alors sa main sur un clavier d’ordinateur, sans l’avoir demandé!

On avait récemment confirmé la possibilité de transmettre des informations du genre d’un cerveau à l’autre sur des rongeurs, mais à l’aide d’électrodes implantées directement dans une zone cérébrale.

Cette fois, un simple dispositif placé sur la tête aurait permis cette première, un succès aussi intriguant qu’inquiétant, de l’aveu même des deux pionniers.

D’autres tests et recherches seront complétés afin de voir quelles sont les limites de cette technologie absolument renversante.

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Le processus de dépendance à l’alcool s’éclaircit

Encore un pas est franchi dans la compréhension des dépendances et du développement des habitudes, selon Santé Log, qui rapporte une recherche exhaustive sur le sujet.

« L’humain est une créature d’habitudes », lance-t-on bien souvent, avec raison. Oui, mais pourquoi, et surtout, comment?

Selon cette nouvelle étude en provenance du Scripps Research Institute, et initialement publiée dans le PNAS, le cerveau démontre diverses réactions en fonction de nos actions, comme la consommation d’alcool justement.

Ainsi, un abus d’alcool chronique pourrait faire passer l’action de boire un verre de la « zone de décision » à la « zone d’habitude », pavant ainsi la voie à une dépendance à proprement parler.

C’est après avoir testé les effets de l’alcool sur le striatum dorsal du cerveau, impliqué dans le développement des habitudes, que les chercheurs ont pu confirmer leur théorie initiale.

Plus les comportements sont fréquents et abusifs, plus la « zone d’habitude » prédomine sur la « zone de décision », et il devient conséquemment de plus en plus difficile de cesser le comportement.

Cette étude, ainsi que les précédentes sur le sujet, permettrait de mieux combattre les troubles de dépendance dans l’avenir.

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Guérir la dépression par la thérapie sonore

De nouvelles recherches tendent à démontrer l’avenir prometteur de la thérapie sonore pour le traitement des troubles de l’humeur et de la dépression, selon le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université d’Arizona, notamment, ont tenté l’expérience des ultrasons sur 14 étudiants volontaires, dont la moitié seulement ont reçu véritablement une « dose » d’ultrasons.

Les sujets croyaient participer à une étude sur la maîtrise de la douleur et n’y ont vu que du feu. Les chercheurs ont donc pu surveiller les variations de l’humeur de leurs sujets volontaires, quelque 10 minutes après l’expérience.

Les résultats, basés sur des échelles exhaustives de calcul des différentes émotions humaines possibles, révèlent des pointes de « bonne humeur » évidentes à la suite du traitement.

« Il est intéressant de constater que les ultrasons à la tête ont des effets sur le fonctionnement du cerveau et qu’ils peuvent influencer l’humeur. Il y a un potentiel d’aide contre la dépression clinique et l’anxiété. Toutefois, il faudra encore plus de travail et d’essais cliniques bien menés avant de pouvoir emmener ça en clinique », résume le professeur Nick Craddock, du Collège royal des psychiatres.

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Le prof Warwick récidive : vivre seulement avec son cerveau

Le Daily Mail (UK) rapporte les plus récentes recherches du fameux professeur Kevin Warwick, de l’Université de Reading, qui s’entament sur un sujet crucial : pourrait-on survivre uniquement en tant que cerveau, et envoyer ce dernier sur une autre planète?

Si la prémisse de cette recherche semble d’abord farfelue, il ne faut surtout pas tenir M. Warwick pour battu! En effet, il est le créateur de certaines innovations technologiques incroyables, à commencer par cette puce qu’il s’est implantée dans le bras afin de diriger les lumières, le chauffage et plusieurs autres aspects de sa propre maison.  Il est même parvenu à s’implanter un appareil qui agit de concert avec son système nerveux et qui lui a permis de se brancher lui-même au système Internet de l’Université Columbia, basée à New York.

En se basant sur ces prouesses, la réalité technologique et les possibilités que propose le futur, on peut se demander si le professeur est en avance de son temps… et s’il a raison.

Il croit que la pertinence du corps humain, trop faible, touche à sa fin, et qu’il est temps de commencer à penser à créer une meilleure enveloppe. De plus, il croit que nous devons également penser à créer une enveloppe corporelle qui nous permettra de voyager vers d’autres planètes.

Ainsi, seul le cerveau serait véritablement utile à notre « continuation ».

Plusieurs autres spécialistes abondent dans ce sens.

Folie ou pur génie?

e Daily Mail (UK) rapporte les plus récentes recherches du fameux professeur Kevin Warwick, de l’Université de Reading, qui s’entament sur un sujet crucial : pourrait-on survivre uniquement en tant que cerveau, et envoyer ce dernier sur une autre planète?

Si la prémisse de cette recherche semble d’abord farfelue, il ne faut surtout pas tenir M. Warwick pour battu! En effet, il est le créateur de certaines innovations technologiques incroyables, à commencer par cette puce qu’il s’est implantée dans le bras afin de diriger les lumières, le chauffage et plusieurs autres aspects de sa propre maison.  Il est même parvenu à s’implanter un appareil qui agit de concert avec son système nerveux et qui lui a permis de se brancher lui-même au système Internet de l’Université Columbia, basée à New York.

En se basant sur ces prouesses, la réalité technologique et les possibilités que propose le futur, on peut se demander si le professeur est en avance de son temps… et s’il a raison.

Il croit que la pertinence du corps humain, trop faible, touche à sa fin, et qu’il est temps de commencer à penser à créer une meilleure enveloppe. De plus, il croit que nous devons également penser à créer une enveloppe corporelle qui nous permettra de voyager vers d’autres planètes.

Ainsi, seul le cerveau serait véritablement utile à notre « continuation ».

Plusieurs autres spécialistes abondent dans ce sens.

Folie ou pur génie?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Des chercheurs communiquent avec un patient dans un état végétatif

Un patient considéré comme végétatif serait parvenu à communiquer avec des chercheurs qui tentaient une expérience visant exactement ce genre de résultats, rapporte le Daily Mail (UK).

L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

atient considéré comme végétatif serait parvenu à communiquer avec des chercheurs qui tentaient une expérience visant exactement ce genre de résultats, rapporte le Daily Mail (UK).

L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Boire de l’eau pour une bonne santé mentale et cognitive

On le sait, et spécialement par ces périodes de chaleur estivale intense, le meilleur moyen de s’hydrater est de boire de l’eau.

Or, selon une étude rapportée par le Telegraph (G.-B.), des chercheurs ont découvert que boire de l’eau pouvait également améliorer substantiellement les performances cognitives d’un individu.

En fait, si une personne boit une pinte d’eau avant de s’atteler à une tâche qui requiert une bonne concentration mentale (comme l’écriture ou le calcul), il appert qu’elle serait 14 % plus efficace qu’en temps normal.

Selon l’étude, elle serait en effet « 14 % plus rapide à exécuter une action cognitive. »

Il semble que la moindre parcelle de déshydratation du corps pourrait créer un ralentissement des facultés, et ce, presque instantanément.

« Ce pourrait être parce que lorsque vous avez soif, ça diverge votre attention de la tâche à accomplir. Le temps de réaction semble être le plus influencé par l’eau, et spécialement lorsque les gens ont soif », résume Dr Caroline Edmonds, psychologue et auteure de l’étude.

L’étude en question a été effectuée à l’University of East London.