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La dépendance à la nourriture, un phénomène bien réel?

Peut-on être dépendant de la nourriture? C’est une question ou plutôt une information largement répandue en cette période où le surpoids et l’obésité sont devenus des problèmes de santé de type pandémiques.

Doit-on considérer que certaines personnes ou certains comportements relèvent d’abord de la dépendance avant de soigner ou de diriger les patients vers des pistes de solution? Pour des chercheurs américains basés à l’Hôpital pour enfants de Boston, la réponse est oui.

Ces conclusions sont par ailleurs publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition et rapportées par le Daily Mail (UK), entre autres.

L’auteur en chef de l’étude, le Dr David Ludwig, explique : « Au-delà de la récompense et du manque, cette partie du cerveau est aussi liée à l’abus de substances et à la dépendance, ce qui soulève la question à savoir si certains aliments peuvent créer une dépendance ».

Le Dr Ludwig fait bien sûr référence au fameux « centre du plaisir » du cerveau, qui réagit fortement face à certains produits. Les plus connus sont bien sûr l’héroïne et la cigarette, mais on découvre qu’une réaction similaire est observable à la suite de l’ingestion d’aliments à forte teneur glycémique comme le pain blanc, les pommes de terre et plusieurs produits considérés comme de la malbouffe.

D’autres études doivent être faites, alors que le sujet demeure hautement controversé.

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Création de la carte cérébrale la plus précise à ce jour

Plusieurs sources, dont Top Santé, rapportent la création d’une carte tridimensionnelle du cerveau humain, la plus sophistiquée à ce jour, grâce à l’effort conjoint de deux équipes de chercheurs.

Basée sur le cerveau réel d’une femme de 65 ans, la carte en 3D permet de mieux comprendre certains mécanismes de l’organe le plus complexe et mystérieux de l’homme.

Proposant une résolution de 0,02 millimètre, la carte serait cinquante fois plus précise que ses prédécesseures, permettant un pas de géant en recherche cérébrale et neurologique. La carte a été baptisée BigBrain et réjouit plusieurs communautés scientifiques.

« L’atlas BigBrain offre une résolution quasi cellulaire, c’est-à-dire des détails près de la cellule, une capacité qui n’existait pas auparavant en 3D pour le cerveau humain », explique Alan Evans, l’un des créateurs de la carte.

Le tour de force provoque aussi des réactions chez nous, alors que l’Hôpital neurologique de Montréal s’est empressé de publier un communiqué, déclarant : « BigBrain permettra et accélérera la modélisation informatique pour simuler des fonctions du cerveau en cas de maladie ».

Les chercheurs allemands et canadiens en tête de ce tour de force se réjouissent de ce succès!

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Les gras saturés peuvent-ils rendre le cerveau vulnérable à l’Alzheimer?

The National Library of Medicine rapporte une étude de l’École de médecine de Wake Forest, qui trace une corrélation entre une grande consommation de gras saturés et le développement de maladies dégénératives cérébrales comme l’Alzheimer.

En fait, le lien n’en est pas un direct entre une surconsommation de ces gras et les risques de développement de la maladie en tant que telle, mais c’est plutôt le cerveau qui serait rendu vulnérable à ce type de problème de santé.

Selon ce que l’on comprend des informations proposées dans l’étude, par ailleurs publiée dans le JAMA Neurology, une diète forte en gras saturés viendrait anéantir une propriété chimique clé en prévention de l’Alzheimer et de certaines autres maladies dégénératives, une propriété appelée ApoE.

En bref, ces résultats ne sont ni plus ni moins qu’une autre bonne raison de faire attention à ce que vous mangez!

Les gras saturés, massivement retrouvés dans les aliments gras et frits comme le fast-food et les frites, doivent absolument être consommés avec modération.

La preuve de ce fait n’est manifestement plus à faire.

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De plus en plus de troubles mentaux associés au super-cannabis

La montée en flèche des troubles mentaux et des maladies neurologiques associés à la consommation massive de super-cannabis commence à inquiéter plusieurs organisations de la santé, à commencer par celles d’Angleterre, selon le Telegraph (UK).

C’est que selon les statistiques rapportées ici, les cas de troubles mentaux liés à ce type de drogue que l’on dit de moins en moins douce sont en progression constante, et rien n’indique que le phénomène est sur le point de ralentir.

Le problème, comme l’indique la spécialiste Mary Brett (du CanSS), se situe principalement dans la puissance des nouvelles souches de cannabis, qui possèdent des taux de THC affolants, contrairement à ce que l’on retrouvait sur le marché il y a plusieurs années.

La marijuana, de base, n’est pas associée à de sérieux problèmes de santé et est même prescrite de façon médicinale dans plusieurs cas.

Malheureusement, la volonté des revendeurs à créer des souches de plus en plus puissantes commence à nuire aux consommateurs, comme l’indique la hausse de 54 % des troubles mentaux associés à ces super-cannabis, dont le « super-skunk », qui peuvent maintenant atteindre jusqu’à 17 % de THC.

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Des souvenirs préfabriqués par le cerveau en réaction au stress

Vous avez un souvenir bien précis d’un événement passé et vous pensez avoir conservé une image vive de celui-ci? Pensez encore.

Selon Top Santé, le cerveau humain serait capable de créer des souvenirs fabriqués de toutes pièces ou préfabriqués afin de composer avec différentes situations, dont celles de stress et d’anxiété.

Les chercheurs en provenance des Pays-Bas en tête de cette étude donnent l’exemple des soldats qui ont vu la guerre de près, et qui voient parfois leurs souvenirs se transformer ou encore s’effacer.

Même chose pour nos souvenirs d’enfance, surtout pour ceux qui ont vécu des traumatismes, des sévices ou encore des périodes d’anxiété chronique.

Les tests, dont les résultats ont été publiés dans l’édition de mai de l’European Journal of Psychotraumatology, ont été effectués sur 250 soldats de retour de la guerre (Afghanistan).

Après plusieurs tests et questionnaires, près du tiers des soldats se souvenaient d’événements qui ne s’étaient jamais produits, confirmant en partie la théorie initiale des chercheurs.

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Le champagne au service de la mémoire

Alors que les percées médicales en matière de traitement des maladies dégénératives comme l’Alzheimer abondent depuis quelque temps, l’ultime découverte se fait encore attendre.

Les citoyens craignent donc, avec raison, d’être confrontés à ce genre de maladies neurologiques graves, et ne peuvent pour l’instant que se doter de moyens de prévention.

L’un de ceux-là pourrait bien joindre l’utile à l’agréable, selon Top Santé, car des chercheurs de l’Université de Reading croient que le champagne pourrait s’avérer une arme de prévention contre la maladie d’Alzheimer, en plus d’améliorer la mémoire. 

On parle d’une consommation variant d’une à trois coupes de champagne par semaine, soit un peu moins que ce qui est avancé dans le cas du vin rouge. Dans ces deux cas cependant, on reconnait les polyphénols comme facteur expliquant cet effet protecteur.

« Le champagne est plus riche en composés phénoliques que le vin blanc, en raison des propriétés des deux cépages dont il est issu », explique le professeur Jeremy Spencer, auteur de l’étude.

Les chercheurs ont pu vérifier cette théorie sur des rongeurs, avant de publier les résultats dans une récente édition du magazine Antioxidants and Redox Signalling.

Plus besoin d’attendre de grandes occasions pour boire du champagne, selon Spencer et son équipe. Pourquoi alors ne pas simplement trinquer à la bonne santé!

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Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.

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Le sulfure d’hydrogène pour vieillir en santé

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que des chercheurs sont à explorer de nouvelles façons de faire en ce qui concerne le vieillissement et la santé.

On cherche de plus en plus à trouver de nouvelles techniques et de nouveaux éléments qui permettraient, sinon de vivre plus vieux, de vieillir mieux et en meilleure santé.

Des chercheurs chinois pourraient bien avoir fait une découverte intéressante concernant le sulfure d’hydrogène, ou l’hydrogène sulfuré si vous préférez.

Ces spécialistes de l’Université de Chine du Sud croient que les théories qui prêtent des vertus thérapeutiques et préventives au sulfure d’hydrogène sur le système nerveux et le système cardiovasculaire pourraient s’avérer tout à fait exactes.

En vous épargnant de tous les détails scientifiques complexes, disons simplement que si les chercheurs arrivent à mettre en pratique ces conclusions, on pourrait voir apparaitre d’importantes avancées concernant les problèmes inflammatoires, musculaires, vasculaires et même neurologiques qui surviennent avec l’âge.

« Les données disponibles à ce jour suggèrent fortement que H2S peut devenir le prochain agent majeur pour la prévention et l’amélioration des symptômes du vieillissement et des maladies liées à l’âge », résument les auteurs de cette étude fort prometteuse.

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Percée majeure dans le domaine des neuro-prothèses

Santelog.com rapporte une percée importante dans le domaine de la robotique, plus particulièrement celui des neuro-prothèses.

Ces dernières viennent en aide aux gens souffrant d’un handicap majeur comme la paralysie partielle ou totale, afin de les aider à recouvrer certains mouvements. Le principe est déjà connu et utilisé, mais une percée majeure viendrait d’être effectuée.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Pittsburgh qui ont réussi à faire bouger un bras robotisé par une dame de 52 ans complètement paralysée.

Ces résultats ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Lancet et font état de la procédure.

Il semble que les chercheurs américains avaient franchi une première étape en installant des microélectrodes dans le cerveau de la patiente en février 2012. Ces électrodes comprennent des puces qui permettent de transformer les pensées en signaux numériques, acheminées vers un ordinateur.

Au final, ce processus permet donc d’activer et de faire bouger un membre artificiel… par la pensée.

Andrew Schwartz, de l’équipe de chercheurs de Pittsburgh, résume : « C’est une avancée majeure dans la technologie d’interface cerveau-machine. La participante s’est montrée capable d’effectuer des mouvements des mains plus complexes avec son bras robotique. Le mouvement devient plus naturel et plus réaliste ».

Ces recherches sont cofinancées par la Defense Research Agency des États-Unis.

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Un phénomène rare lié à l’obésité, la dépression et les troubles d’attention

Des chercheurs ont découvert une mutation génétique qui serait liée à plusieurs problèmes de santé et maladies mentales modernes, comme l’obésité et la dépression, selon www.nlm.nih.gov.

De fait, il semble que certaines personnes procèdent, sans le vouloir, à un « effacement » de ce qu’on appelle le facteur neurotrophique du cerveau, ou BDNF en anglais.

Ce comportement est une mutation et pourrait entraîner certains dérèglements biologiques liés aux problèmes d’obésité, de dépression, d’anxiété et de trouble de l’attention.

Le facteur neurotrophique du cerveau joue un rôle important dans le développement du cerveau et de ses capacités.

Ces résultats sont le fruit d’une étude qui ciblait 65 000 personnes à travers le Canada, les États-Unis et l’Europe. Les patients visés montraient des problèmes de poids, d’humeur, de retard intellectuel ou de trouble de l’attention.

Du lot, les chercheurs de l’Université McGill ont réussi à trouver cinq cas d’effacement du facteur neurotrophique du cerveau, ce qui vient confirmer leur théorie.

Bien entendu, vu le nombre de cas limités, on comprend qu’il s’agit d’un phénomène rare.