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Les enfants atteints de troubles neurologiques plus susceptibles de décéder de la grippe

Les enfants atteints de désordres du développement ou de troubles neurologiques comme l’épilepsie et la paralysie cérébrale auraient constitué 43 % des décès d’enfants dus au virus H1N1 durant la pandémie de 2009.

En fait, ces enfants ont souvent des problèmes reliés aux fonctions de muscles qui affectent la respiration, la toux et la déglutition.

Ainsi, ils ne peuvent pas chasser les sécrétions de leurs voies respiratoires, les rendant particulièrement vulnérables à la pneumonie, selon l’étude publiée dans Pediatrics.

L’étude a également fait ressortir l’importance de la vaccination en démontrant que 3 % seulement des enfants avec un problème neurologique qui ont succombé à la grippe avaient reçu un vaccin contre la souche pandémique de la maladie.

Rappelons que les femmes qui allaitent, grâce au lait maternel qui améliore le système immunitaire du bébé, rendent déjà leur enfant moins susceptible d’attraper la grippe, entre autres maladies.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) soutient que l’allaitement maternel « est l’un des moyens les plus efficaces de préserver la santé et d’assurer la survie de l’enfant ».

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Troubles neurologiques chez les sportifs

Les sportifs qui subissent des chocs répétés à la tête présentent plus de troubles neurologiques moteurs, rapporte le Journal of Neuropathology and Experimental Neurology.
 
Des chercheurs ont étudié le cerveau et la moelle épinière de 12 sportifs décédés ayant donné leur corps à la science.
 
Les 12 souffraient d’encéphalite traumatique lorsqu’ils sont morts. Cela entraîne une détérioration des fonctions cognitives et motrices.
 
Chez certains, on a même noté la présence de la maladie de Charcot (sclérose amyotrophique), une dégénérescence des neurones et des cellules nerveuses.
 
Tous ces athlètes avaient eu des traumatismes répétés à la tête au cours de leur vie.
 
Les chercheurs veulent maintenant approfondir leurs recherches afin de confirmer les résultats, mais c’est la première fois qu’un lien clinique est démontré entre les traumatismes crâniens et les troubles neurologiques chez les sportifs.