À la suite d’essais et d’expériences sur des souris, les chercheurs des Université de Harvard et de Southwestern affirment que la vulnérabilité au stress se mesurerait par le niveau de neurotrophine dans certaines parties du cerveau associées aux émotions.
Dans le cerveau, la survie de différents types de neurone dépend de cette protéine qu’est la neurotrophine.
Les chercheurs ont pu observer un accroissement de la dite protéine dans le cerveau des rongeurs les plus sujets au stress. Le niveau de neurotrophine est par contre demeuré stable chez les souris dont les réactions semblaient plus calmes.
Grâce à cette découverte, de nouveaux médicaments pouvant être utiles en situation de stress intense pourraient éventuellement voir le jour.