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Le webcast d’Arcade Fire sera réalisé par Terry Gilliam

Arcade Fire, qui a décidé de diffuser sur YouTube son concert du 5 août prochain en direct du Madison Square Garden de New York, ne sera finalement pas dirigé par le cinéaste Spike Jonze comme cela avait été pressenti à l’origine, mais plutôt par un autre réalisateur de renom, Terry Gilliam.

Gilliam a été remarqué alors qu’il était l’un des membres du populaire groupe de comédiens des Monty Python, un ensemble à qui l’on doit certains des meilleurs sketchs d’humour anglais dans les années 1970. Il a également été derrière la caméra pour des films inoubliables comme Brazil et Twelve Monkeys.

Dernièrement, il a réalisé The Imaginarium of Doctor Parnassus, le dernier film de l’acteur Heath Ledger, mort durant le tournage.

Le spectacle d’Arcade Fire retransmis en direct le 5 août prochain sera le premier d’une collaboration entre YouTube et American Express. John Legend et The Roots auront aussi un de leurs concerts diffusés en direct sur le Web.

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Un spectacle d’Arcade Fire en direct sur YouTube

À un peu moins de 2 semaines de la sortie tant attendue de son album The Suburbs, prévue le 3 août prochain, le groupe montréalais Arcade Fire a annoncé qu’il diffusera en direct son spectacle en provenance de New York 2 jours plus tard.

Le 5 août, depuis le légendaire Madison Square Garden de New York, Arcade Fire va retransmettre son grand concert en sol new-yorkais sur le populaire site d’hébergements vidéo YouTube, comme l’avait fait U2 depuis Pasadena en octobre dernier.

Les rumeurs laissent croire que la retransmission de ce spectacle se fera sous la direction du réputé cinéaste Spike Jonze, lui qui a commencé sa carrière en réalisant des clips de Weezer et The Breeders avant de tourner les films Being John Malkovich, Adaptation et Where the Wild Things Are notamment.

The Suburbs sera le premier album d’Arcade Fire depuis Neon Bible, paru en 2007.

Le concert du 5 août à New York sera le deuxième de la formation en deux soirs, elle qui y joue également la veille, le 4 août.

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Retour à New York réussi pour Lady Gaga

L’ascension au sommet de la musique pop de Lady Gaga est fulgurante, ça, tout le monde en a été témoin depuis les deux dernières années. La tournée qu’elle voulait faire avec Kanye West l’année dernière et qui a choppé à la dernière minute est peut-être la meilleure chose qui pouvait arriver à la chanteuse.

 

Sa tournée solo qu’elle a entamée l’année dernière au Centre Bell de Montréal, le 27 novembre dernier, est maintenant l’un des événements musicaux les plus courus de la planète, elle dont les assistances sont parmi les plus élevées dans cette année 2010 où les annulations de spectacles se multiplient.

Hier, le mardi 6 juillet, Lady Gaga faisait un retour en héroïne chez elle, à New York, la ville qui l’a vu grandir et devenir l’artiste qu’elle est aujourd’hui.

Ce n’est maintenant rien de moins que le Madison Square Garden qui est nécessaire pour répondre à la demande de billets pour un spectacle de l’artiste de 24 ans, et ce, trois soirs plutôt qu’un. En janvier, lors de la première portion américaine de sa tournée Monster Ball Tour, Lady Gaga avait fait 4 soirs au mythique Radio City Music Hall, une salle d’un peu moins de 6 000 sièges, comparativement aux 20 000 qui sont disponibles dans le cadre d’un spectacle dans l’enceinte du Madison Square Garden.

Visiblement emballée de ce retour à la maison, Stefani Germanotta de son vrai nom, a tenu à rappeler aux spectateurs présents que plus jeune, elle se tenait exactement où ils sont, se disant qu’un jour, elle monterait à son tour sur la scène.

À la fin de Bad Romance, la dernière pièce de son concert, elle a déclaré à la foule : « Nous avons réussi, mes petits monstres! Nous nous sommes rendus au Monster Ball! Nous avons fait le Madison Square Garden. Merci de faire de mon rêve une réalité, je vous aime tellement! »

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Un nouvel hôtel à New York surplombe Ground Zero

À un moment ou l’autre de la journée du 11 septembre 2001, il y a fort à parier que vous avez, devant le petit écran, assisté vous aussi aux terribles évènements ayant marqués à tout jamais les États-Unis lors des attentats perpétrés contre les tours jumelles du World Trade Center de New York.

Près de 9 ans plus tard, vous pouvez en partie revivre certaines des émotions ressenties lors de cette journée en logeant dans un tout nouvel hôtel de New York qui est maintenant voisin du site rebaptisé Ground Zero au lendemain de la tragédie.

Le World Center Hotel, nommé ainsi en l’honneur de ce qui a tristement été le tombeau de milliers de personnes, est équipé d’immenses fenêtres qui permettent de suivre la construction du futur One World Trade Center (Freedom Tower) qui ne devrait pas être terminée avant 2013, selon toute vraisemblance.

À New York, l’ouverture de cet hôtel crée une sorte de malaise quant au voyeurisme évident que celui-ci offre à sa clientèle touristique. La visite de ce site est devenue, sans l’ombre d’un doute, un attrait malsain pour le tourisme de cette ville qui sera marquée pour longtemps de cette douloureuse cicatrice.

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Retour de Toutânkhamon à New York

En 1979, lorsqu’une exposition sur le pharaon Toutânkhamon arriva en sol américain à New York, le pays entier vécut une frénésie peu commune, l’ère des grandes expositions n’étant pas ce qu’elle est devenue avec le temps.

31 ans plus tard, voilà que des travaux de restauration et d’agrandissement en Égypte permettent à Toutânkhamon de faire un retour au pays, dans la même ville qui l’avait accueilli plus de trois décennies auparavant. Jusqu’en janvier prochain, en 2011, le roi égyptien le plus célèbre du monde sera l’attraction principale d’une exposition montrant encore une fois les nombreux trésors découverts en 1922 par l’archéologue britannique Howard Carter.

Parce que plusieurs des artefacts trouvés à cette époque datent de près de 3 300 ans, lors du décès du pharaon évalué à 1 323 av. J.-C., il y a peu de chance que ceux et celles qui ont eu la chance de visiter l’exposition en 1979 puissent revoir les mêmes articles, le Concile suprême égyptien des antiquités préférant exposer à l’air ambiant de façon modérée les trésors de la tombe de Toutânkhamon.

L’exposition Tutankhamun and the Golden Age of the Pharaohs se poursuit jusqu’au 2 janvier 2011, tout comme l’exposition Tutankhamun and the Golden Age of the Great Pharaohs, une exposition parallèle qui a lieu à Denver, ouvrira à compter du 1er juillet 2010.

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Au tour de New York d’être la plus chère ville du monde

Selon le site web Hotel.info, qui tient des statistiques chaque mois sur le sujet, c’est à New York que le prix moyen d’une chambre d’hôtel fut le plus élevé dans le monde pour le mois d’avril 2010.

Durant ce mois, le prix moyen demandé pour une chambre dans la grande ville américaine était 240,63 $, soit près de 32 $ de plus en moyenne que l’année dernière à la même période, un signe évident de la reprise économique au pays.

Pour New York, cette augmentation est de l’ordre d’environ 15 % et la moyenne du prix demandé en 2010 dépasse même le mois d’avril 2008 qui, avec 220 $ à l’époque, n’avait de toute évidence pas été confronté à la récession de l’année dernière.

La deuxième ville la plus dispendieuse pour ses chambres d’hôtel durant le mois pascal de cette année fut Oslo en Norvège qui, avec une moyenne de 211,55 $, affiche elle aussi une augmentation de 15 % par rapport à sa moyenne de l’année dernière qui s’établissait à 174 $, encore une fois inférieure à celle de 2008 pour le même mois.

C’est Moscou qui complète sans trop de surprises le top 3 des villes les plus chères du monde dans le domaine de l’hôtellerie avec une moyenne de 199,81 $, tout juste sous la barre des 200 $. Depuis la chute du communisme, la capitale moscovite a souvent fait partie de ce top 3, allant d’ailleurs chercher la première place à plusieurs occasions.

D’ailleurs, contrairement aux villes des deux premières positions, New York et Oslo, Moscou a subi une baisse de l’ordre de 22 % en comparaison avec l’an dernier, elle qui montrait une moyenne de 256 $ à la même époque de l’année.

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New York veut réduire au silence les tours guidés

Des plaintes répétées des citoyens new-yorkais concernant les autobus à ciel ouvert qui offrent des tours guidés de la ville et qui diffusent à travers des haut-parleurs les commentaires des guides auront finalement eu raison des autorités.

Le maire Bloomberg, qui n’est habituellement pas très proactif face aux plaintes de ses citoyens, a conclu que celles concernant ce bruit répétitif étaient fondées et signera bientôt un nouveau règlement à cet égard.

Des habitants de certains quartiers typiques de New York qui sont sur l’itinéraire de ces tours guidés de la ville n’en peuvent plus d’entendre les guides répéter sans cesse les mêmes phrases lorsqu’ils arrivent à leur hauteur. Plusieurs d’entre eux préfèrent suffoquer plutôt que d’entendre sans cesse ces commentaires qui sortent des haut-parleurs à un niveau élevé de décibels.

La nouvelle réglementation obligera ainsi les opérateurs de tours de ville à équiper les autobus à ciel ouvert d’un système sans fil et les touristes devront porter sur eux des écouteurs afin d’entendre le descriptif des guides.

Les changements commenceront en juillet 2011 et devront tous être faits à l’intérieur de 4 ans, soit pour juillet 2015.

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Toutankhamon poursuit sa visite à New York

Les visiteurs qui sont en Égypte en ce moment se butent peut-être le nez sur le tombeau de Toutankhamon, fermé pour rénovations pour au moins 5 ans, mais ceux qui étaient à Toronto dernièrement et à New York ou Denver cette année profiteront de cette fermeture.

En effet, l’exposition Tutankhamun and the Golden Age of the Pharaohs, une exposition ambulante qui se promènera un peu partout pendant les rénovations du tombeau du roi Toutankhamon, mort à l’âge de 19 ans seulement, s’arrête maintenant à New York.

Pendant ce temps, une autre exposition, Tutankhamun The Golden King and The Great Pharaohs, est à Toronto depuis le 24 novembre dernier et y restera jusqu’au 2 mai prochain avant de prendre la route pour Denver, qui l’accueillera à compter du 1er juillet 2010, et ce, jusqu’au 2 janvier 2011.

La résidence de Toutankhamon à New York ouvrira ses portes au Discovery Times Square Exhibition à compter du 23 avril et l’exposition se poursuivra jusqu’au 2 janvier 2011 elle aussi, date où les deux expositions ambulantes repartiront vers d’autres lieux.

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Une exposition qui perturbe à New York

Une rétrospective de l’art de Marina Abramovic, qui inclut des vidéos, sons, installations et des performances en direct jouées entre autres par des participants complètement nus, commence à rendre peut-être un peu trop artistiques les mains de certains des visiteurs.

C’est le triste constat que les courageux qui défilent nus parmi ces visiteurs ont dû rapporter à la sécurité du musée. Plusieurs d’entre eux ont été victimes d’attouchements sexuels tout à fait déplacés de la part de personnes assistant aux représentations et les gardes ont dû expulser certains visiteurs.

Il semblerait que c’est la proximité forcée entre les gens et les personnes nues, debout chaque côté d’un étroit couloir où l’on circule, qui incite certains à des égarements, bien entendu tout à fait accidentels, selon leurs dires.

L’exposition Marina Abramovic: The Artist Is Present couvre au-delà de quatre décennies du travail de cette artiste née en Yougoslavie en 1946, au lendemain de la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Présentée depuis le 14 mars dernier, elle doit se terminer le 31 mai prochain, mais la portion performance pourrait être reconsidérée si les plaintes d’attouchements perdurent, malgré l’expulsion des fautifs.

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Henri Cartier-Bresson au Musée d’Art Moderne de New York

Possiblement l’un des noms du photojournalisme les plus connus du monde entier et souvent considéré comme le premier Grand Maître dans ce domaine, le photographe Henri Cartier-Bresson, fait depuis hier, 11 avril, l’objet d’une grande exposition au MoMA, le Museum of Modern Art de New York.

Le photographe français a acquis une renommée internationale lorsque ses photos, souvent prises avec son légendaire appareil Leica auquel il ne changeait que très rarement les lentilles, ont fait le tour des publications prestigieuses du monde entier. On reconnaissait à Cartier-Bresson son oeil tout à fait unique et son talent à prendre ses portraits exactement au bon moment, ce qu’il appelait le « moment décisif », cette rare habilité à sentir l’action et à déclencher son appareil une fraction de seconde auparavant.

L’exposition Henri Cartier-Bresson: The Modern Century regroupera près de 300 photographies qui seront réunies selon différents thèmes et se poursuivra jusqu’au 28 juin 2010 au MoMA. Ce ne sera pas la première exposition de Henri Cartier-Bresson à ce renommé musée, alors que la première rétrospective de son travail sur les murs new-yorkais date de 1947. Cette même année, il avait fondé, avec entre autres Robert Capa, l’agence Magnum Photos, la toute première du genre dans le monde.

Henri Cartier-Bresson est décédé en 2004 à l’âge de 95 ans.