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Bébé et cie

L’utilisation de la cigarette électronique a explosé chez les jeunes

Les chercheurs sont alarmés. Ils essaient de comprendre les motivations, mais croient aussi qu’éventuellement, les adolescents passent de la cigarette électronique à la cigarette traditionnelle. Un risque qui pourrait faire s’écrouler tous les efforts de campagnes anti-tabac.

La recherche du Dr Maciej Goniewicz et son équipe du ministère de la Santé comportementale à l’Institut du cancer de Roswell Park a été publiée dans la revue Journal of Adolescent Health. L’étude a été menée en collaboration avec les chercheurs de l’Université médicale de Silésie, en Pologne.

Les données colligées proviennent de deux études, spécifie medicalxpress.com. La première en 2010-2011 auprès de 1760 étudiants de 15 à 19 ans en provenance de 17 écoles, et la seconde provenant de 1970 étudiants de 21 écoles en 2013-2014.

À l’intérieur de cette courte période, l’essai de la cigarette électronique est passé de 16,8 % à 61,1 % (triplé), alors que l’utilisation régulière est désormais 6 fois plus importante. Leurs craintes ont également été confirmées quant à la cigarette traditionnelle.

Le taux de fumeurs occasionnels est passé de 23,9 % à 38 %, et les utilisateurs des deux types de cigarettes ont grimpé de 7,1 %.

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SmartStop : une application pour cesser de fumer

La société américaine Chrono Therapeutics entre dans l’ère de la technologie et essaie d’être au goût du jour en mettant au point une application qui tentera de faire ce que font déjà les timbres, gommes et cigarettes électroniques de ce monde, soit le sevrage tabagique.

SmartStop a toutefois pour objectif de faire mieux que les moyens déjà existants et d’offrir un service personnalisé à ses utilisateurs. En effet, contrairement aux timbres, les fumeurs qui auront téléchargé la nouvelle application sur leur tablette ou téléphone intelligent seront en mesure de modifier les doses de nicotine qu’ils désirent ou ont besoin d’avoir. Diverses quantités et profils seront préenregistrés dans le logiciel, qui fournira de façon transdermique de la nicotine aux utilisateurs.

Contrairement au SmartStop, « les technologies actuelles comme les gommes et les timbres à la nicotine ne sont pas efficaces pour arrêter de fumer définitivement, car ils ne tiennent pas compte de la nature cyclique des envies de nicotine et offrent peu ou pas de soutien comportemental », a dit Alan Levy, directeur général de Chrono.

Encore en attente d’approbation des autorités sanitaires américaines (FDA) pour commercialisation, SmartStop coûtera un prix équivalant aux produits vendus sans ordonnance, avance Top Santé.

Plus d’un milliard de personnes fument dans le monde. Ce sont 100 millions de fumeurs qui ont été tués par la cigarette au 20e siècle. Toutes les six secondes, une personne meurt du tabagisme, selon les derniers chiffres de l’OMS.

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Les cigarettes électroniques aussi sont cancérigènes

Les médecins et pharmaciens encouragent les fumeurs à utiliser des produits contenant de la nicotine pour les aider à cesser de fumer. Or, un nouveau danger associé à la nicotine vient d’être mis en lumière par l’entremise du Virginia Bioinformatics Institute.

Il appert que la nicotine a un effet direct sur la génétique. À elle seule, elle occasionne des mutations aux cellules. Pour en arriver à un tel résultat, la principale généticienne de l’étude, Jasmin Bavarva, a comparé des cellules humaines exposées à la nicotine par rapport à d’autres, non exposées.

Le profil de mutation observé était très similaire à ceux de cellules soumises à un stress oxydant, précurseur du cancer.

Le professeur Harold Garner explique que cette découverte est importante puisque pour la première fois, on peut mesurer le nombre de mutations associées au cancer et uniquement liées à la nicotine.

Récemment, Medical News Today a publié le taux de réussite des fumeurs utilisant la cigarette électronique pour cesser de fumer. Celui-ci se situerait à 20 %, contrairement aux autres produits comprenant de la nicotine (10,1 %) ou aux fumeurs n’ayant utilisé aucun moyen (15,4 %).

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Deux grandes villes américaines bannissent la cigarette électronique

Bien que la cigarette électronique profite de plusieurs appuis et de certaines études positives depuis quelques mois, l’outil pour encourager l’abandon du tabac n’obtient pas l’unanimité, loin de là.

Tellement que deux grandes villes américaines viennent de bannir la cigarette électronique de leur territoire, rapporte Le Devoir.

Il s’agit de New York et de Chicago, qui annoncent une nouvelle loi interdisant l’usage de la cigarette électronique dans les bars, les restaurants et les endroits publics, un peu à l’image de la cigarette elle-même.

Ce que les autorités redoutent et décrient, c’est que l’acceptation trop facile et globale de la cigarette électronique donne envie aux plus jeunes d’utiliser le « vrai » produit, puisque plusieurs cigarettes électroniques utilisent une solution comprenant de la nicotine, en plus d’être offertes en différentes saveurs « attirantes ».

Du côté de New York, la loi s’applique également aux parcs et aux plages.

La cigarette électronique connait un gain de popularité immense depuis quelque temps, et de plus en plus de gens confirment que le produit a contribué à les faire arrêter de fumer. Certaines études mettent cependant en garde des effets à long terme, dont on ignore l’étendue pour le moment.

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Les jeunes fumeurs altèrent la structure de leur cerveau

Selon Medical news today, les jeunes fumeurs, adolescents et jeunes adultes représentent le groupe de fumeurs le plus important en Amérique.

Or, à l’adolescence, le cerveau est encore en développement, et la cigarette a des conséquences directes sur la structure neurobiologique du cerveau, même si le jeune ne fume pas depuis longtemps. Ces changements apportent une plus grande dépendance à l’âge adulte.

C’est une recherche menée à la UCLA, chapeautée par Edythe London, professeure en psychiatrie et en médecine pharmacologique et moléculaire, qui a présenté cette conclusion. Les données sont publiées dans la revue Neuropsychopharmacology.

En tout, 42 participants de 16 à 22 ans ont contribué à l’étude. À l’aide d’une résonance magnétique de haute définition, les chercheurs ont découvert une altération du cortex insulaire, partie du cerveau fortement associée à la dépendance.

Parmi les candidats, 18 étaient des fumeurs. Chez ceux qui avaient commencé à fumer à environ 15 ans, le cortex insulaire était plus mince et s’amincissait encore plus lorsque le nombre d’années de consommation de nicotine augmentait.

London affirme que la recherche était modeste et doit donc faire l’objet d’une étude de plus grande ampleur, afin d’appuyer les présents résultats.

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Leonard Nimoy souffre de MPOC

Malgré qu’il ait arrêté la cigarette il y a plus de 30 ans, Leonard Nimoy, l’ancien interprète de Spock, annonce que sa mauvaise habitude l’a rattrapé.

En effet, l’acteur de 82 ans souffre de MPOC, soit de maladie pulmonaire obstructive chronique. Ce mal se présente sous la forme d’une bronchite chronique, et celle mieux connue de tous, l’emphysème. La progression de la maladie entraîne chez les personnes atteintes un essoufflement qui limite l’activité et réduit la qualité de vie.

En l’annonçant sur son compte Twitter, Nimoy écrit : « J’ai cessé de fumer il y a 30 ans. Apparemment, pas assez tôt. Je souffre de MPOC. Grand-père vous dit d’arrêter maintenant!! LLAP [Live Long And Prosper, qui veut dire “longue vie et prospérité”, paroles populaires prononcées en accompagnement du salut Vulcain dans Star Trek].

Leonard Nimoy avait ravi les fans en acceptant de faire quelques apparitions dans la nouvelle franchise de Star Trek réalisée par J.J. Abrams. On a également pu le voir dans la série Fringe, dans le rôle du Dr William Bell.

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Leonard Nimoy souffre de MPOC

Malgré qu’il ait arrêté la cigarette il y a plus de 30 ans, Leonard Nimoy, l’ancien interprète de Spock, annonce que sa mauvaise habitude l’a rattrapé.

En effet, l’acteur de 82 ans souffre de MPOC, soit de maladie pulmonaire obstructive chronique. Ce mal se présente sous la forme d’une bronchite chronique, et celle mieux connue de tous, l’emphysème. La progression de la maladie entraîne chez les personnes atteintes un essoufflement qui limite l’activité et réduit la qualité de vie.

En l’annonçant sur son compte Twitter, Nimoy écrit : « J’ai cessé de fumer il y a 30 ans. Apparemment, pas assez tôt. Je souffre de MPOC. Grand-père vous dit d’arrêter maintenant!! LLAP [Live Long And Prosper, qui veut dire “longue vie et prospérité”, paroles populaires prononcées en accompagnement du salut Vulcain dans Star Trek].

Leonard Nimoy avait ravi les fans en acceptant de faire quelques apparitions dans la nouvelle franchise de Star Trek réalisée par J.J. Abrams. On a également pu le voir dans la série Fringe, dans le rôle du Dr William Bell.

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Leonard Nimoy souffre de MPOC

Malgré qu’il ait arrêté la cigarette il y a plus de 30 ans, Leonard Nimoy, l’ancien interprète de Spock, annonce que sa mauvaise habitude l’a rattrapé.

En effet, l’acteur de 82 ans souffre de MPOC, soit de maladie pulmonaire obstructive chronique. Ce mal se présente sous la forme d’une bronchite chronique, et celle mieux connue de tous, l’emphysème. La progression de la maladie entraîne chez les personnes atteintes un essoufflement qui limite l’activité et réduit la qualité de vie.

En l’annonçant sur son compte Twitter, Nimoy écrit : « J’ai cessé de fumer il y a 30 ans. Apparemment, pas assez tôt. Je souffre de MPOC. Grand-père vous dit d’arrêter maintenant!! LLAP [Live Long And Prosper, qui veut dire “longue vie et prospérité”, paroles populaires prononcées en accompagnement du salut Vulcain dans Star Trek].

Leonard Nimoy avait ravi les fans en acceptant de faire quelques apparitions dans la nouvelle franchise de Star Trek réalisée par J.J. Abrams. On a également pu le voir dans la série Fringe, dans le rôle du Dr William Bell.

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Fumée secondaire, responsable de ré-admission à l’urgence des enfants asthmatiques

Les chercheurs du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center en Ohio, de concert avec l’équipe de chercheurs de la Penn State Milton S. Hershey Children’s Hospital de Pennsylvanie, ont passé en revue l’historique de 600 enfants asthmatiques âgés d’un an à 16 ans.

Ces enfants ont été suivis pendant 12 mois, et les parents ont rempli un questionnaire relatif, entre autres, à la fumée secondaire. Ensuite, on mesurait la cotinine – une substance produite quand le corps est exposé à la nicotine – à l’aide d’échantillons de salive et de sang pour chaque enfant.

Le Dr Robert Kahn, qui a dirigé l’étude, explique l’objectif : « La capacité à mesurer le niveau de cotinine dans la salive et le sang permet l’obtention d’une mesure objective lors de l’admission d’un enfant à l’urgence, et peut être utilisée pour prédire la récurrence future de l’hospitalisation ».

De la totalité des enfants participants, 17 % ont été admis à nouveau à l’urgence à l’intérieur des 12 mois.

Les scientifiques ont réalisé, selon medicalnewstoday.com, que 35 % des parents avaient mentionné une exposition à la fumée secondaire. Pourtant, les résultats du sang et de la salive avaient conclu tout autrement. 56,1 % des résultats sanguins indiquaient une exposition à la fumée secondaire, un total s’élevant à 79,6 % avec l’échantillon de salive.

Donc, chers parents, inutile de mentir, la science détecte désormais si votre enfant a été ou non exposé à la fumée de cigarette.

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Homosexualité reliée à la consommation de nicotine et d’alcool pendant la grossesse

Cette recherche effectuée par le Dr Dick Swaab soulèvera sans doute l’indignation rapidement. Comme l’indique Science World Report, il met de l’huile sur le feu du débat qui est déjà sur le tapis, soit la recherche de l’origine et la cause exacte de l’homosexualité.

Comme si l’orientation sexuelle était une conséquence malheureuse, ou encore aujourd’hui traitée comme une maladie. Qui plus est, la faute reviendrait à la mère, notamment si celle-ci n’a pas vécu une grossesse sans stress. Les hormones du stress viendraient altérer les hormones sexuelles du fœtus.

Selon le Dr Swaab, si la future mère utilise des amphétamines ou de la nicotine pendant la grossesse, elle a plus de chance de donner naissance à une fille lesbienne. D’autre part, plus nombreux sont les garçons d’une famille, et plus le petit dernier aura des chances d’être homosexuel. Selon le chercheur, cette théorie se vérifierait parce que la femme développe une réponse immunitaire accrue contre les hormones mâles d’une grossesse à l’autre.

Dans la recherche présentée au Britain’s Sunday Times, Dr Swaab est catégorique. Selon lui, l’orientation sexuelle se détermine dans le ventre de la mère et ne peut pas être altérée par la suite. Il décrit d’ailleurs toutes ses théories dans un livre qu’il a publié, intitulé We Are Our Brains.