Une nouvelle étude de l’Institut national de recherche agronomique de Toulouse dévoile que certaines charcuteries peuvent augmenter les risques de cancer du côlon en raison de quatre facteurs.
Auparavant, on a cru que l’ajout de sel posait problème, mais c’est finalement tout le processus de transformation de la viande qui est pointé du doigt, car il favorise l’augmentation de lésions précancéreuses au niveau du côlon.
Les chercheurs ont identifié quatre facteurs de risque, soit la coloration des charcuteries, l’ajout de nitrite, la cuisson et l’oxydation.
Ce processus de transformation accroit de manière significative les lésions, favorisant donc l’apparition de la maladie. On croit que la transformation permet à des agents cancérigènes de se développer durant le processus. Une fois ingérés, ces agents peuvent donc accroître le risque de cancer.