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Faites-vous suffisamment d’exercice?

La recherche a été publiée dans la revue spécialisée PLoS ONE, rapporte Science World Report. Elle a été menée par les spécialistes de l’École de Kinésiologie et sciences santé de l’Université York au Canada.

Bien que les gens sous-estiment la quantité d’exercice nécessaire, ils surestiment également le niveau d’intensité d’une activité.

Pour cette étude, 129 adultes âgés de 18 à 64 ans ont été recrutés. Ces gens étaient considérés comme sédentaires. Lorsqu’on leur a demandé ce qu’ils considéraient comme une intensité faible, moyenne ou élevée relativement à certains exercices, la majorité avait tort. Ils croyaient souvent qu’une activité modérée était de niveau intense.

Le niveau d’intensité d’un exercice se mesure selon le pourcentage du rythme cardiaque maximal d’une personne. Par exemple, le niveau modéré utilise de 64 à 76 % du rythme maximal, alors que le niveau le plus élevé ne doit pas dépasser de 77 à 83 %.

Comme l’indiquent les chercheurs, si les gens ne savent pas déterminer leur besoin réel d’exercice et le niveau d’intensité requis, ils n’en retireront pas les meilleurs avantages pour leur santé.

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Quand le lieu de travail devient moins stressant que la maison

Est-ce que votre lieu de travail est devenu votre endroit de prédilection et votre sanctuaire, au détriment de la maison devenue trop stressante? Voilà la question posée par le New York Times, qui rapporte une nouvelle étude intéressante en la matière.

Le quotidien propose les résultats d’une étude, effectuée par des chercheurs de l’Université Penn State, qui analysait les taux de cortisol de 122 travailleurs durant leurs heures de travail, puis durant le week-end.

Les chercheurs ont été étonnés de constater que les niveaux de stress des sujets, évalués à l’aide des taux de cortisol, étaient souvent moins élevés au travail qu’à la maison.

Ces résultats intéressants tendent à démontrer que le travail demeure un exutoire de choix contre les tracas et le stress de la vie familiale et quotidienne.

« Le fait que les niveaux de stress des gens descendent lorsqu’ils sont au travail ne signifie pas pour autant qu’ils n’aiment pas leur maison ou leurs enfants. Je crois que ça suggère plutôt qu’il y a quelque chose de bon pour vous dans le travail », croit la professeure Sarah Damaske, auteure de l’étude.

De plus, les femmes semblent particulièrement moins stressées au travail qu’au domicile que les hommes, un autre indicateur des difficultés à conjuguer la vie familiale, amoureuse et professionnelle.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Social Science & Medicine.

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Les couples sans enfant seraient plus heureux que les autres

Voici une étude qui risque de faire jaser, alors qu’on trace un parallèle entre la décision d’avoir des enfants et le taux de bonheur du couple, une recherche rapportée par Top Santé, notamment.

C’est une équipe de l’Open University qui s’est penchée sur la question, à savoir si les enfants pouvaient être une cause de problèmes conjugaux, et si l’absence de descendance pouvait avoir un impact positif sur la vie d’un couple.

Il semble que oui, si l’on se fie aux résultats découlant d’analyses effectuées auprès de 5000 sujets en couple. Baisse du rythme et de la qualité de la vie sexuelle, augmentation du stress, baisse des attentions romantiques l’un envers l’autre, voilà autant de raisons qui expliqueraient pourquoi les couples avec enfants ont semblé afficher moins de bonheur que les autres répondants sans progéniture.

Bien que l’on peut facilement croire ces « révélations », l’étude ne se penche cependant pas sur les bonheurs individuels d’avoir un enfant, et des émotions découlant de ce miracle que seuls les parents ayant vécu l’expérience peuvent bien comprendre.

Il s’agirait donc d’un sacrifice de soi et du couple, au profit d’une expérience qui procure une tout autre gamme et palette d’émotions. Il s’agit aussi d’un choix personnel, et il y a fort à parier que les traits de personnalités (égocentrisme, individualisme, maturité, etc.) et le choix du partenaire sont aussi des facteurs qui feront varier la relation du couple, post-naissance.

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Les niveaux d’arsenic retrouvés dans le riz ne seraient pas alarmants

La FDA américaine revient sur le dossier de l’arsenic et du riz, rapporte The National Library of Medicine, calmant le jeu après une série de dossiers qui avaient de quoi inquiéter la population.

Plusieurs rapports récents faisaient remarquer des taux anormaux d’arsenic contenus dans plusieurs types de riz, un aliment qui connaît un gain de popularité remarquable même en Amérique du Nord, notamment avec plusieurs mets asiatiques devenus de véritables phénomènes sociaux.

La FDA publie maintenant une nouvelle étude sur le sujet et fait remarquer que les taux d’arsenic dans le riz, lorsque présents, ne sont pas assez inquiétants pour que les citoyens s’en préoccupent, du moins à court terme.

Un constat rassurant, qui découle d’une analyse de plus d’un millier d’échantillons de riz et de produits renfermant l’ingrédient.

« Ces données de la FDA sont rassurantes. Bien qu’il y ait présence d’arsenic non organique dans le riz et ses produits dérivés, ça se situe à un niveau qui devrait être sécuritaire pour la consommation à travers la population », analyse le Dr Stephen Daniels, visiblement satisfait de ces résultats.

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L’alimentation de la mère affecte le niveau de stress du bébé

Une étude publiée dans la revue Faseb Journal révèle qu’un régime alimentaire riche en choline réduirait le stress chez le bébé.

Le fait est que la choline est un nutriment essentiel que l’organisme ne synthétise pas, selon les chercheurs de la Cornell University qui ont effectué l’étude.

La vitamine influe cependant sur le cortisol, une hormone reliée à l’anxiété.

Les femmes devraient donc ingérer plus de 930 Mg de choline, plutôt que les 480 mg que l’on prescrivait avant que cette étude ne soit publiée.

Toutefois, les effets de la choline chez les bébés ne durent pas toute sa vie durant. D’autres recherches devront être menées.

De plus, les experts rappellent que le stress est un processus complexe et que d’autres facteurs peuvent l’influencer. L’éducation, la qualité de vie ainsi que les expériences vécues par l’enfant peuvent l’entraîner.

Rappelons par ailleurs que si c’est plutôt maman qui est stressée ou dépressive durant la grossesse, le bébé pourrait aussi être affecté. Les futures mamans souffrant de dépression seraient plus susceptibles de mettre au monde des enfants prématurés.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Aucun niveau d’alcool n’est sécuritaire contre le cancer

Des chercheurs français affirment qu’il n’existe aucun niveau d’alcool pour lequel le risque de cancer est nul.
 
Selon le Canadian Medical Association Journal, l’alcool est cancérigène pour les animaux et les humains, et ce, peu importe la quantité consommée.
 
Mauvaise nouvelle donc pour ceux qui aiment prendre un petit verre quotidiennement.
 
Nous savions déjà que l’alcool est lié aux cancers de la bouche, de la gorge, de l’œsophage, du foie, au cancer colorectal et du sein.
 
Les chercheurs mentionnent qu’il serait maintenant bon de revoir les recommandations sur la consommation d’alcool, mais surtout de mieux informer les consommateurs des risques encourus avec les boissons alcoolisées.
 
Dans la majorité des pays, on préconise une consommation modérée pour la sécurité et la santé. Même que depuis longtemps, un verre de vin rouge quotidien est reconnu pour avoir des effets bénéfiques sur la santé cardiaque. Toutefois, cela pourrait avoir une incidence sur le développement du cancer.

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Un haut taux de cholestérol peut vous rendre fatigué

Selon le Livestrong, un haut niveau de mauvais cholestérol peut vous faire sentir fatigué plus rapidement.
 
Le cholestérol est aussi nommé le « tueur silencieux », car il présente très peu de symptômes. Dans les cas graves, cela peut conduire à un décès.
 
Toutefois, la fatigue peut justement être un symptôme qui indique que votre niveau de cholestérol est trop élevé. En fait, ce n’est pas le cholestérol lui-même qui cause la fatigue, mais cela découle plutôt des conditions qu’il provoque, par exemple, les maladies coronariennes.
 
Vous pouvez également ressentir de la douleur dans le dos, la nuque et des maux de tête. Ces douleurs peuvent se prolonger jusqu’aux épaules également.

Parmi d’autres symptômes qui pourraient vous mettre la puce à l’oreille et vous faire consulter un médecin, il y a les jambes enflées, la fatigue et la somnolence.

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Le bonheur serait en partie génétique

Des chercheurs ont récemment découvert le gène du bonheur. En fait, il s’agit de deux copies de gène, un de chaque parent. Si les personnes ont reçu les bonnes variantes, elles auront tendance à être plus satisfaites de leur vie.
 
Ce gène 5-HTT est responsable de la façon dont les cellules nerveuses gèrent la distribution de la sérotonine, qui, elle, contrôle l’humeur.
 
Les personnes avec un plus faible taux de sérotonine ont tendance à être plus dépressives. Chez celles avec les deux versions longues du gène, il y aurait toutefois un meilleur transport de l’hormone.
 
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé l’ADN de 2 500 personnes qui se disaient heureuses. Celles avec les bonnes versions du gène étaient à 69 % satisfaites ou très satisfaites de leur vie, comparativement à 38 % chez celles n’ayant pas les bonnes copies du gène.
 
Bien entendu, le gène ne détermine pas entièrement notre bonheur, mais il expliquerait le fait que certaines personnes semblent naturellement plus disposées au bonheur et que le niveau de référence est propre à chaque individu.