Catégories
Uncategorized

Moins de bébés chez les diplômées

Plus une femme atteint un niveau d’études élevé, moins elle aurait d’enfants. C’est une corrélation à laquelle est arrivé l’Institut national d’études démographiques en France. 

La cause serait-elle qu’il est difficile de conjuguer carrière et famille? On remarque du moins que cette dernière est fondée plus tard si la femme est diplômée.

En effet, si les femmes ont leur 1er enfant en moyenne à 25 ans, ce nombre grimpe à 30 si elles font des études supérieures.

Quant au taux de fécondité, il a été de 1,8 chez les diplômées en 2008, contre 2,5 chez les autres femmes.

On a finalement remarqué que si en 2000, 34 % des enfants étaient nés d’une maman ayant fait des études supérieures, ce taux avait grimpé à 43 % en 2008.

On peut lire le détail de ces statistiques dans L’Express et le 20 minutes.

Catégories
Uncategorized

Les bébés de petit poids deviennent des adultes productifs

Un professeur d’économie de l’Université du Michigan, John Goddeeris, a voulu comparer la productivité des adultes étant nés avec un poids très faible et ceux nés avec un poids normal.

L’étude qu’il a dirigée (effectuée en collaboration avec des universités canadiennes) a prouvé qu’il n’y avait qu’une infime différence entre ces deux groupes. On a comparé le niveau d’études et le salaire de ces personnes.

Rappelons qu’un très faible poids à la naissance est ici moindre que 2,2 livres. Les participants de l’étude étaient en fait des survivants d’une naissance difficile ou prématurée.

Un enfant sur 200 naît avec un poids de 1,1 livre à 2,2 livres. Ce nombre tend toutefois à diminuer avec les avancées médicales. Les plus graves risques encourus par un tel poids à la naissance peuvent être un retard intellectuel ou des défaillances du système nerveux.

Toutefois, les conséquences peuvent être mineures, comme de légers problèmes d’apprentissage ou du comportement.