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Les Oscars pourraient de nouveau changer les règles

L’Academy of Motion Picture Arts And Sciences serait à étudier l’abolition d’une règle récente d’ici à la prochaine cérémonie des Oscars, en 2016.

L’organisation avait permis depuis quelques années à plus de cinq films de se retrouver en nomination dans la catégorie du Meilleur film. Une règle qui visait à permettre à davantage d’oeuvres de se faire justice, et à augmenter le suspense dans la course au convoité Oscar.

Sauf que de l’avis général, cette exception à la règle des cinq nominations n’aura rien apporté de bon, et nuit au prestige de la chose, et surtout n’a rien changé aux cotes d’écoute, rapporte The Hollywood Reporter.

Cette année, huit films s’étaient retrouvés en nomination dans la catégorie du Meilleur film. Le précieux trophée avait finalement été remis à Birdman.

Les réactions sont nombreuses et partagées à la suite de l’annonce de ce possible retour à la normale en vue des Oscars 2016.

De l’avis de plusieurs, cependant, il pourrait plutôt s’avérer bénéfique d’augmenter le nombre potentiel de nominations chez les acteurs également. Certaines injustices pourraient ainsi être évitées.

L’Académie a commenté la nouvelle, affirmant que les membres se rencontreront comme chaque année afin de discuter de possibles changements en vue du gala de 2016.

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Doit-on vraiment dépenser 2000 calories par semaine?

Le New York Times répond à une question que plusieurs se posent, proposée par un lecteur du journal new-yorkais, à savoir si le mythe qui veut que l’on doive brûler 2000 calories par semaine pour être en bonne santé est véridique ou non.

Selon le New York Times, l’idée que l’on doive dépenser 2000 calories de façon hebdomadaire découle d’une fameuse étude en provenance de Harvard, il y a plusieurs années.

L’étude en question est l’Harvard Alumni Study, qui suivait durant plusieurs décennies des sujets types et qui analysait leurs habitudes, dont celles concernant l’activité physique sur une base hebdomadaire.

Les chercheurs qui ont décortiqué les données recueillies au fil de 50 ans d’observation ont alors bel et bien estimé que les sujets qui dépensaient 2000 calories par semaine avaient moins de risque que les autres de subir une crise cardiaque, notamment.

Mais pour les experts, de nombreuses activités banales du quotidien permettent d’en arriver rapidement au compte, par exemple le simple fait de monter un escalier ou encore les pas effectués pour se rendre d’un endroit à l’autre.

En somme, les spécialistes croient qu’il est bon de se fixer 1000 calories à brûler par semaine comme objectif, et le reste des activités routinières devraient permettre d’atteindre ou de frôler les 2000 calories éliminées hebdomadairement.

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Les tomates au service de la fertilité masculine

Les hommes qui aimeraient voir leur capacité de reproduction augmenter en puissance pourraient n’avoir qu’à se tourner vers… les tomates.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude américaine, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs auraient découvert un lien entre la consommation de tomates et la création de nouveaux spermatozoïdes.

Les chercheurs basés à Cleveland estiment même à 70 % l’augmentation de spermatozoïdes chez les hommes qui consomment des tomates, un nombre plutôt impressionnant.

L’étude abonde dans le même sens que certaines précédemment publiées, qui vantaient elles aussi les mérites du lycopène et des antioxydants, retrouvés dans les tomates, sur la fertilité. Une recherche de Harvard ajoutait également le bêta-carotène à la liste des aliments qui permettent une plus grande fertilité chez les hommes.

« Si ces résultats sont encourageants, nous devons réaliser d’autres études de plus grande ampleur pour analyser les effets du lycopène sur l’infertilité masculine. Nous devons établir quels groupes de patients tireraient le plus grand bénéfice de ce régime », résume Ashok Agarwal, qui dirige l’étude.

On rappelle en terminant que les hommes qui aimeraient tenter l’expérience et bénéficier des atouts de la tomate devraient se tourner vers celles biologiques, qui contiendraient jusqu’à 40 % plus de vitamines et plus de deux fois plus de phénols.

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455 médecins supplémentaires au Québec

Un bilan proposé par le Collège des médecins du Québec, et rapporté par Radio-Canada, fait état d’une hausse des médecins praticiens au Québec depuis 2013, une excellente nouvelle en soi.

Ce sont près de 500 nouveaux médecins, soit 455, qui sont désormais disponibles dans la province, avec près de la moitié agissant comme médecins généralistes ou « médecins de famille ».

On apprend également dans ce rapport que les femmes continuent de progresser davantage en nombre dans la profession, les étudiants en médecine des facultés du Québec comptant dans leurs rangs pas moins de 63 % de femmes.

En ajoutant cette hausse de médecins à celle de 418 recensée en 2012, on constate que la situation dramatique du Québec pourrait s’améliorer au cours des prochaines années.

Car si le gouvernement et certains prédécesseurs ont causé du tort au système, les facultés et les penseurs universitaires ont réussi en partie à colmater la brèche.

« C’est une nette amélioration. On est sortis des soins intensifs et des soins intermédiaires. On est rendus à l’étage! On avait augmenté les admissions en faculté de médecine, il y a quelques années, et on commence à récolter ça. On voit que certaines régions qui étaient vraiment très déficitaires semblent, petit à petit, combler le déficit », explique le Dr Charles Bernard, PDG du Collège des médecins du Québec.

Une excellente nouvelle pour l’ensemble de la population, qui peut maintenant entrevoir l’avenir du système de santé avec un brin plus d’optimisme qu’il y a quelques années.

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Compter les calories serait inutile, selon une étude

Se pourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

ourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Perte de poids : Deux repas ou six, telle est la question

Plusieurs spécialistes avancent depuis un bon moment qu’il serait plus favorable de manger six petits repas au lieu de trois gros au cours d’une journée.

C’est même devenu une « norme » en termes de conseils nutritionnels, en grande majorité, mais voilà que le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle recherche qui ose défier le concept.

Cette dernière provient de l’Institute for Clinical and Experimental Medicine de Prague et est menée par Hana Kahleova.

La chercheuse a demandé à 54 sujets de suivre deux types de régime à tour de rôle, et ce, sur une période d’étude de 12 semaines (par type de régime).

Les deux diètes comprenaient bien sûr le même nombre de calories et d’éléments nutritionnels, et celle qui ne comprenait que deux repas par jour aurait mené à une perte de poids plus importante, par quelques points.

Cependant, tous ne sont pas convaincus, à commencer par Toby Smithson, porte-parole de l’U.S. Academy of Nutrition and Dietetics. Ce dernier croit qu’il s’agit d’une mesure irréaliste, parfois même impossible selon les individus.

Madelyn Fernstrom, spécialiste en nutrition chez NBC, croit que l’étude démontre qu’il est favorable de manger le moins souvent possible au cours d’une journée, tout en conservant les repas et calories nécessaires, car cela permet de manger moins.

Qui a raison?
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Le nombre de cigarettes influence la sévérité de certains cancers

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que la gravité du tabagisme influencerait le type et la sévérité de certains cancers.

Notamment celui de la vessie, intrinsèquement lié avec le tabagisme. Donc, ce que cela signifie, c’est que plus vous fumez de cigarettes, plus les risques de voir se développer un cancer de la vessie grave augmentent.

Les études démontrant que le nombre de cigarettes fumées quotidiennement change la donne font de plus en plus leur apparition, et il s’agit d’une nouvelle façon de présenter les choses.

Cette fois, c’est l’Université de Miami qui publie cette plus récente étude sur le sujet, affirmant que les fumeurs chroniques intensifs ont plus de chance de développer une version agressive du cancer de la vessie.

Si l’on parlait auparavant de « fumer ou ne pas fumer », on accepte maintenant de révéler que le nombre de cigarettes joue un rôle dans les pronostics. Ainsi, si vous ne pouvez cesser de fumer, ralentir le rythme et le nombre est déjà un bon début.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du journal de l’American Cancer Society.

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Diminuer le nombre de cigarettes fumées par jour aurait bel et bien un impact

En cette ère moderne où le tabagisme est l’ennemi numéro un à abattre, on prône constamment l’importance d’arrêter de fumer. Il n’y a plus de demi-mesure dans les campagnes de publicité ou de sensibilisation : soit vous fumez, soit vous arrêtez.

Mais qu’en est-il de ralentir le rythme? Baisser le nombre de cigarettes consommées par jour ne peut-il pas déjà être un bon début? Si la communauté scientifique est réticente à cautionner ce genre de raisonnement, une nouvelle étude viendrait corroborer la théorie.

Santelog.com rapporte en effet que selon une étude israélienne publiée dans l’American Journal of Epidemiology, réduire le nombre de cigarettes permet d’augmenter son espérance de vie ainsi que de faire baisser significativement les risques d’accident cardiovasculaire (15 % moins de risque de décès).

Les spécialistes en tête de l’étude, ainsi que plusieurs autres praticiens à travers le monde, s’entendent pour dire que plusieurs patients ne semblent pas être capables d’arrêter de fumer complètement.

Lorsque la dépendance est trop forte ou que l’habitude est ancrée depuis trop longtemps dans les habitudes d’une personne, se concentrer sur le ralentissement (en nombre) de la consommation pourrait bien être mieux que rien.

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Comment apprend-on à compter?

Selon une récente étude parue dans Developmental Science, les enfants d’âge préscolaire arriveraient à compter uniquement s’il y a au moins trois objets devant eux. C’est qu’en bas de ce nombre, il n’est pas nécessaire de savoir combien il y en a.

Des chercheuses de l’Université de Chicago ont pu faire cette remarque après avoir suivi 44 enfants âgés de 14 à 30 mois et leurs parents. Elles tentaient, à la base, de définir la façon dont les enfants peuvent comprendre le lien entre les chiffres en mot et leur véritable valeur numérique.
 
Ce lien se nomme le principe cardinal : la grandeur d’un ensemble d’objets est déterminée par le dernier nombre atteint en les comptant. Or, apprendre les chiffres et comprendre le principe cardinal sont deux choses distinctes.

Il a déjà été démontré que les enfants d’âge préscolaire qui maîtrisent bien ledit principe sont meilleurs en mathématiques. Il semble maintenant que les enfants étant exposés aux chiffres de 4 à 10 (ainsi que ceux de 1 à 3) sont plus enclins à comprendre rapidement le principe cardinal que les autres.

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La bosse des maths à trois mois

Selon des chercheurs français de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, les bébés âgés de seulement trois mois sont en mesure de saisir en une fraction de seconde combien d’objets contient un ensemble.

Auparavant, on croyait que le sens du nombre était acquis chez les bébés de cinq à six mois.

La technique de l’électro-encéphalographie a été utilisée afin d’en arriver à de telles conclusions. L’équipe de la Dre Véronique Izard a ensuite souligné une activité électrique dans le cerveau des nourrissons lorsqu’ils observaient des images représentant chacune un ensemble d’objets.

Cette découverte est un pas de plus vers la compréhension du cerveau, d’autant plus qu’une autre recherche a démontré que le sens du nombre était un gage de réussite scolaire en mathématique.