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Trucs et Bricolages

Un biberon conçu pour imiter le sein de maman

Personne ne doute des bienfaits de l’allaitement maternel. Cependant, toutes les mamans ne peuvent ou ne veulent pas se tourner vers cette option. Le biberon permet aussi aux mères de prendre une pause, d’impliquer papa, de confier l’enfant à une autre personne ou de procéder à la transition sein-biberon.

C’est pourquoi la start-up Emulait a développé un biberon qui ressemble à un sein, afin de reproduire le plus possible l’allaitement maternel.

Pour y arriver, la société, aidée pardes spécialistes de la lactation et de l’alimentation des nourrissons,  a scanné 1000 mamelons afin de créer son prototype. Le tout a demandé plus de 6 ans de recherches.

Le but: obtenir un biberon reproduisant au maximum la texture d’un sein.

L’embout est fait de et la « bouteille »  imite l’apparence et la sensation d’un sein, entre autre par son élasticité. 

Emulait

L’écoulement du lait a lui aussi été étudié et c’est ainsi que la tétine spéciale a été créée.

L’entreprise a fabriqué des accessoires pour bébé imitant cinq formes principales de mamelons, en cinq couleurs de peau différentes.

Emulait
Emulait

On peut pré-commander ces biberons sur le site web emulait.com. Il seront sur le marché le 8 mars prochain. 

L’ensemble de départ coûte dans les 55$.

D’après  le cofondateur de l’entreprise Ben Zeev, 42 000 personnes sont déjà intéressées par ce produit.

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Bébé et cie

Coqueluche : les adultes responsables de la transmission aux nourrissons

Selon Top Santé, les adultes comme les enfants peuvent attraper la coqueluche, bien qu’elle soit moins agressive chez l’adulte.

À l’heure actuelle, on rapporte que cette maladie, pour laquelle les bébés reçoivent plusieurs vaccins, est la première cause de décès chez les nourrissons de moins de 3 mois.

Avant 6 mois, l’organisme du bébé n’est pas encore suffisamment protégé contre la coqueluche, ce qui le rend vulnérable à la contagion de l’adulte. Ce dernier, d’ailleurs, ne se fait pas vacciner, ce qui accentue les cas de contraction de la maladie.

On recommande la vaccination chez les parents et autres proches qui côtoieront régulièrement l’enfant avant ses 6 mois. Ce dernier reçoit ses deux premières doses à 2 puis 4 mois. Ensuite, les rappels s’effectuent avant 1 an, puis en première année du primaire.

Le dernier vaccin contre la coqueluche a habituellement lieu en première année du secondaire.

Pour la femme qui allaite, il n’y a aucune contre-indication. Elle peut recevoir le vaccin.

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Bébé et cie

Retarder l’introduction du gluten chez les enfants serait inutile

Contrairement aux hypothèses suggérées par de précédentes études, rapporte Medical News Today, même l’allaitement n’aurait aucune incidence sur le risque de développer la maladie coeliaque chez les enfants à risque.

On croyait en effet que l’allaitement et le moment d’introduction du gluten représentaient de possibles protections dans la première année de vie du bébé. Il avait même été déterminé que le meilleur moment pour introduire le gluten se situait entre 4 et 7 mois.

Dans une nouvelle étude publiée dans la revue New England Journal of Medicine, les hypothèses s’écroulent.

Les docteurs Carlo Catassi et Alessio Fasano ont mené cette recherche entre 2003 et 2008. Ce sont 700 nourrissons qui ont été suivis et séparés de façon aléatoire en deux groupes. Le premier introduisait le gluten à 6 mois, et l’autre à 12 mois. Tous avaient le même risque de développer la maladie coeliaque.

Au terme de l’exercice, lorsque les enfants avaient atteint 5 ans, le premier groupe comprenait 64 cas de maladie coeliaque, et le second 53 cas.

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2,5 millions de bébés pourraient être sauvés chaque année

Le système immunitaire des nourrissons et jeunes enfants représente une préoccupation de premier niveau pour Anil Jain, un professeur de la Michigan State University.

Celui-ci développe à l’heure actuelle une méthode de reconnaissance par empreintes digitales pour suivre leur calendrier de vaccination. Il espère ainsi sauver des vies.

Pour le moment, ce sont les parents qui doivent s’assurer, à l’aide du carnet de santé format papier, de la mise à jour des vaccins. Dans les pays en voie de développement, Jain affirme que cette méthode est totalement inefficace.

« Les documents papier se perdent ou sont détruits facilement », affirme Anil Jain. « Notre étude initiale a démontré que les empreintes des nourrissons et jeunes enfants ont un grand potentiel. »

Les tests ont commencé. Le système de reconnaissance des empreintes devra être perfectionné, considérant que celles des bébés sont plus difficilement identifiables. Mais lorsque ce sera fait, les spécialistes de la santé n’auront qu’à numériser celles-ci pour connaître l’historique de vaccination et les prochaines dates à fixer.

De plus, Medical News Today rapporte que ces données serviront aux registres civils et au gouvernement, notamment pour le suivi de l’éducation.

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Les nourrissons ont un système immunitaire plus développé que l’on croyait

Désormais, au contraire, une nouvelle étude statue que la défense immunitaire même des grands prématurés est active. Elle se présente sous la forme d’une molécule produite par les lymphocytes T nommée IL8.

Les lymphocytes T chez l’adulte ne produisent pas cette molécule antibactérienne, ce qui l’a fait passer outre la loupe des scientifiques précédemment. Cependant, on peut même penser, désormais, qu’elle protège aussi le fœtus in-utéro.

Ce sont des chercheurs de Londres, plus précisément du King’s College, qui ont rapporté cette information, publiée dans la revue Nature Medicine.

L’analyse du sang de 28 bébés prématurés leur a suffi à comprendre l’importance de la molécule IL8. À un tel point que les chercheurs espèrent désormais l’utiliser pour stimuler la réponse immunitaire afin de combattre entre autres l’entérocolite nécrosante.

Cette maladie infectieuse grave est responsable, selon Science World Report, de 15 à 30 % de la mortalité chez les nouveau-nés.

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Mort subite du nourrisson : Trop de bébés ne dorment pas de la bonne façon

Selon le groupe d’âge, les risques de mort infantile durant le sommeil peuvent varier. Cependant, le co-sleeping (dormir avec bébé) demeure la principale raison de mort subite chez les bébés, notamment pour ceux ayant moins de trois mois.

Une étude transversale menée sur 8207 cas de décès chez les petits de moins d’un an démontre qu’il y a encore trop de parents qui prennent des risques, en ce qui a trait au sommeil de leur enfant. Il y a encore trop de parents qui dorment avec leurs bébés (51,6 % des décès), laissent des objets trainer dans la couchette (39,4 %) ou encore positionnent leur bébé sur le ventre (18,4 %).

Le site Santé Log écrit qu’une «étude de la Harvard medical School et de l’Hôpital pour enfants de Boston rappelle que si le principe du couchage sur le dos réduit le risque de syndrome de mort subite du nourrisson, la règle n‘est pas toujours observée, en particulier encore moins fréquemment pour les nouveau-nés prématurés. »

Les analystes déclarent qu’un travail de sensibilisation et rappel des règles est essentiel, notamment de la part des équipes en périnatalité.

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La lidocaïne ne doit pas être utilisée pour les poussées dentaires

Des parents ont pris l’habitude d’appliquer cette solution orale, un antidouleur nommé lidocaïne, sur les gencives douloureuses des tout-petits qui souffrent à cause de nouvelles dents. Or, on rapporte que de graves conséquences peuvent survenir, jusqu’au décès du bébé.

La FDA exigera désormais qu’il soit indiqué sur le contenant de lidocaïne 2 % que le médicament ne doit en aucun cas être utilisé pour soulager la douleur des poussées dentaires.

Cette année uniquement, l’association a reçu 22 rapports de réactions importantes, incluant des décès. Ces réactions proviennent d’enfants de 5 mois à 3 ans et demi. Dans tous les cas, rapporte NBCnews.com, la solution a été avalée par accident.

L’American Academy of Pediatrician recommande aux parents, pendant ces périodes, d’utiliser un anneau spécialement conçu pour les poussées dentaires, ou encore d’effectuer un massage des gencives avec le doigt.

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Le fardeau du virus respiratoire syncytial chez les prématurés de 32 à 35 semaines

Les résultats de la recherche de la division Medimmune Speciality Care de AstraZeneca sont publiés dans la revue spécialisée Pediatric Infections Disease.

Comme le rapporte Medical News Today, les spécialistes espèrent surtout sensibiliser le corps médical. « Nous espérons que cette étude donnera lieu à une conversation à propos des meilleures méthodes pour identifier les nourrissons à haut risque de développer la maladie VRS.

L’étude a mis en lumière les occurrences 3 fois plus élevées de VRS chez les bébés prématurés entre 32 et 35 semaines que chez les nourrissons à terme. Cette maladie requiert une assistance médicale dans les 6 mois suivant la naissance et 16 % nécessite des soins intensifs, alors que 11 % ont besoin d’une respiration mécaniquement assistée.

Les cas de virus respiratoire syncytial chez ces enfants prématurés représentent 75 % de toutes les admissions à l’urgence concernant cette détresse pulmonaire.

Dr Eric Simões de l’Université du Colorado aimerait que ces informations encouragent les médecins à prendre les mesures préventives nécessaires, c’est-à-dire donner le vaccin aux prématurés.

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L’allaitement à long terme : cause du manque de diversification de l’alimentation du bébé

L’étude du Centre médical pour enfants de Cincinnati avait pour objectif de mesurer la nécessité de mieux informer les mères quant à l’importance d’introduire les 4 groupes alimentaires chez l’enfant dès 6 mois, et surtout avant l’âge de 2 ans.

La spécialiste Jessica G.Woo explique que toutes les précédentes recherches ont priorisé les nations sous-développées, celles qui n’ont pas accès aux aliments, rapporte Medical News Today.

« Ces recherches nous ont portés à nous questionner à propos des nourrissons des nations développées, particulièrement aux États-Unis », mentionne Woo. Par contre, l’étude ne comporte aucune donnée quant aux conséquences attribuables au manque de diversification alimentaire et à la croissance des enfants.

En évaluant les aliments que consommaient 365 bébés nourris au sein après 6 mois à Cincinnati, Shanghai et Mexico, les chercheurs ont réalisé que Cincinnati traînait de la patte. Seulement 28 % des nourrissons de 6 à 12 mois consommaient des aliments diversifiés.

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Casque spécialisé pour le crâne aplati des nourrissons : complètement inutile

Les résultats ont été publiés dans la revue spécialisée BMJ. Les auteurs de la recherche n’ont trouvé « aucun effet significatif » concernant le port du casquespécialisé pour le crâne aplati des nourrissons.

Puisqu’un enfant sur 5 de moins de 6 mois a le crâne déformé par la position couchée sur le dos, l’étude tentait de valider l’efficacité du port du casque recommandé par le corps médical. Celui-ci, sur mesure, coûte de 1300 à 3000 $.

« J’ai été très surpris des résultats », a admis le professeur associé en neurochirurgie Mark R. Proctor, spécifiant que l’étude a été très « rigoureuse ».

En tout, 84 enfants entre 5 et 6 mois qui avaient des déformations crâniennes mineures à moyennes ont été séparés en 2 groupes.  L’un des groupes était constitué de bébés devant porter le casque pendant 6 mois. Les autres n’en portaient pas.

Après 2 ans, on a demandé à un spécialiste d’évaluer l’évolution de la forme du crâne de chaque enfant. Celui-ci n’avait aucune idée de ceux qui avaient porté ou non un casque.

Le Dr James J. Laughlin est catégorique : « Cette étude confirme et réaffirme que le casque n’est pas nécessaire ». Il n’y a eu aucune différence notable à la suite du port du casque.