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Les enfants moins enclins à manger ce qui est bon pour la santé

Voilà une nouvelle qui ne surprendra personne, encore moins les parents, mais qui propose un fondement scientifique à une évidence.

En effet, selon une nouvelle recherche de l’Université de Chicago, il appert que les enfants seraient moins enclins à manger ce qui est présenté comme « bon pour la santé ». Surpris?

L’étude démontre que les enfants présentent une tendance évidente à rejeter toute nourriture qui présente des bienfaits pour la santé, rapporte MedicalNewsToday, notamment parce qu’ils appréhendent un goût moins intéressant que celui des produits qui leur sont interdits ou moins recommandés.

« Les enfants d’âge préscolaires semblent croire que la nourriture ne sert qu’à deux choses, et qu’il est impossible que quelque chose les rende plus en santé tout en étant délicieux à manger », lance le professeur Ayelet Fishbach, qui dirige la recherche.

Mieux vaut donc rester discret sur les propriétés alimentaires des aliments sains, et utiliser la psychologie inversée dans bien des cas, si l’on se fie aux résultats de l’étude.

Ces derniers seront publiés dans une prochaine édition du Journal of Consumer Research.

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3 essentiels pour contrer l’obésité juvénile

Medical News Today rapporte des informations fournies par le Dr Kristopher Kaliebe, professeur adjoint de la clinique de psychiatrie à l’école de La Nouvelle-Orléans (LSU Health Sciences Center).

Il s’agit d’objectifs orientés sur l’environnement familial pour éliminer les sources potentielles d’obésité et de troubles mentaux connexes. Selon le spécialiste, il faut enrayer nos habitudes de surconsommation et de tentation.

Les 3 sphères visées sont la nourriture, les dispositifs technologiques et la sédentarité. Rien de nouveau, si ce n’est la perspective. Dr Kaliebe affirme que ces facteurs sont non seulement responsables de l’obésité, mais des problèmes reliés, tels que le trouble de déficit d’attention avec ou sans hyperactivité, les troubles d’apprentissage et plus.

« Plusieurs comportements associés à l’obésité, tels qu’une vie sédentaire, une surexposition aux médias et des régimes inappropriés, sont également liés à un diagnostic en psychiatrie ou une détresse psychologique », indique Kaliebe.

Selon lui, c’est simple. Les êtres humains ne sont pas faits pour manger des aliments transformés, vivre de la technologie et demeurer sédentaires. Il faut donc éliminer les écrans et « honorer le silence », consommer de la nourriture fraîche et se lever de son siège.

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Méthode prouvée scientifiquement pour calmer les enfants à table

Les experts de l’Université Cornell, aux États-Unis, ont conclu à un rapport à la rétroaction faciale lorsque les enfants doivent mordre à pleines dents dans la nourriture.

Ceux-ci prétendent que cette rétroaction contracte des muscles faciaux qui sont en retour liés à des émotions spécifiques. Celles-ci créent l’agitation chez l’enfant, le rendant même agressif, rapporte Top Santé.

L’étude a porté sur une douzaine d’enfants de 6 à 10 ans, pendant deux jours consécutifs, autour d’un pique-nique. Les chercheurs présentaient des aliments entiers versus des aliments coupés en morceaux. Ils ont constaté un niveau plus marqué d’agitation et même de désobéissance avec les aliments entiers.

Ainsi, lorsque les enfants mordaient dans la nourriture, ils devenaient 2 fois plus agressifs envers les autres participants, et le risque de désobéissance se multipliait aussi par 2.

Entre autres choses, lorsque les enfants mangeaient des aliments non découpés, ils étaient portés à se lever, sauter sur la table ou même la quitter sans demander la permission.

Les résultats ont été publiés dans la revue spécialisée Eating Behaviors.

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Pourquoi intégrer le plus de nourriture possible entre l’âge de 4 à 6 mois?

Topsanté.com rapporte l’explication du professeur Tounian, chef du service de nutrition pédiatrique à l’hôpital Armand-Trousseau de Paris. « Avant quatre mois, le système digestif et immunitaire n’est pas prêt, et après 6 mois, l’organisme tolère moins bien la diversification. »

Si certains parents trouvent que l’introduction d’une myriade d’aliments entre 4 et 6 mois représente un défi, ou que c’est trop tôt, il y a divers moyens. Il s’agit « de faire goûter des aliments à l’enfant avant 6 mois », indique Tounian.

Il est donc possible d’ajouter une cuillère de compote ou de purée directement dans le lait si l’enfant prend le biberon.

Le professeur affirme même qu’il n’y a pas de danger en ce qui a trait aux œufs, mais ils doivent être cuits dur. Pour le sucre, il croit que « trop de parents sont inquiets pour le poids de leur enfant ». On peut donc l’intégrer sans culpabilité, à condition de ne pas en abuser.

Finalement, avec les aliments réputés pour être allergènes (œuf, arachide, poisson, fruits exotiques et noix), on les introduit un à la fois, puis on attend quelques jours avant d’en introduire un nouveau. Il ne faut pas les mélanger.

Par la suite, diversifiez et mélangez des aliments non allergènes pour faire plaisir aux papilles.

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Facebook favoriserait le développement de troubles alimentaires

Les jeunes femmes qui passent beaucoup de temps sur les médias sociaux, en particulier sur Facebook, seraient plus à risque de développer un trouble alimentaire et une mauvaise estime de soi.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, et qui parle des impacts du plus populaire média social sur l’alimentation d’un grand nombre de jeunes femmes.

Les chercheurs de l’Université de Floride en tête de l’étude ont analysé les cas de 960 étudiantes universitaires. Les observations ont permis de constater que celles qui passaient le plus de temps sur Facebook affichaient des tendances plus marquées vers les troubles alimentaires, et s’inquiétaient davantage de leur alimentation et de leur image.

« Facebook combine sur une seule plate-forme l’influence des pairs à de forts messages de société qui se concentrent beaucoup sur l’apparence des femmes. Ces images sont ensuite conservées mentalement le reste de la journée. Alors que les chercheurs et cliniciens tentent de comprendre et de démontrer les facteurs de risque des troubles alimentaires, une plus grande attention doit être portée sur le rôle des médias sociaux dans la vie des jeunes adultes », explique l’auteur de l’étude Pamela Keel.

D’autres études précédentes avaient révélé des impacts similaires de la part des médias sociaux sur les jeunes femmes.

Les résultats de l’étude floridienne ont été publiés dans l’International Journal of Eating Disorders.

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La malbouffe liée au développement de la maladie d’Alzheimer

Il existerait un lien entre des composantes de divers aliments jugés mauvais pour la santé et une hausse des risques de faire de l’Alzheimer.

Ces résultats, rapportés par The National Library of Medicine, sont ceux obtenus après qu’une équipe de chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine de New York aient testé l’impact de ces aliments sur des rongeurs.

Les souris tests ont présenté des traces accrues de bêta-amyloïde au cerveau après que les chercheurs aient intégré dans leur alimentation des composantes retrouvées dans la malbouffe.

La bêta-amyloïde est une protéine responsable des plaques amyloïdes, l’une des caractéristiques de la maladie d’Alzheimer.

On retrouve ces composantes alimentaires néfastes et propices au développement de l’Alzheimer dans les viandes chauffées à haute température, comme les viandes frites et bouillies, ainsi que dans les produits laitiers pasteurisés.

« On ingère ces toxines par grandes quantités au cours d’une vie », lance la docteure Helen Vlassara, qui dirige les travaux.

Même si Vlassata et son équipe doivent démontrer une cause à effet directe, il s’agit d’une des premières études à démontrer efficacement un possible lien entre la malbouffe et l’Alzheimer.

Les conclusions de ces recherches ont été publiées dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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Contrer l’obésité à l’aide d’un traitement qui fait oublier la nourriture

Comme l’indique Kerri Boutelle, psychiatre et professeure en pédiatrie, certaines personnes héritent d’une sensibilité accrue à la nourriture. Elle prend toute leur attention et mène inévitablement à l’obésité.

La spécialiste et ses collègues de l’école de médecine de l’Université de Californie ont recruté 24 enfants de 8 à 12 ans dans le cadre d’une étude pilote. Ils leur ont fait passer des tests de redirection de l’attention. « C’est basé sur le réflexe de Pavlov », explique Boutelle.

Des mots associés à la nourriture apparaissaient à l’écran, puis rapidement, d’autres mots non associés et des lettres disparates apparaissaient à leur tour dans différentes zones de l’écran. Les enfants devaient appuyer lorsqu’ils voyaient les lettres apparaître.

« C’est surprenant, puisque des différences dans les habitudes alimentaires ont été observées dans tous les cas, après seulement une séance », a déclaré le physicien. « C’est encourageant, puisque cela signifie de meilleurs résultats à long terme. »

Boutelle et son équipe sont d’avis que si ces données se répercutent sur un plus gros échantillon, il y aurait matière à développer ce programme sous forme de jeu pour prévenir l’obésité infantile.

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Création d’une vaste étude sur les bienfaits de la nourriture bio

Un accès simplifié aux aliments bios et une crainte face aux produits transformés et aux pesticides ont largement contribué à l’essor de l’industrie de l’alimentation biologique au cours des dernières années.

Avec cette hausse de popularité vient également un large débat sur les dangers réels de l’alimentation dite « traditionnelle », ainsi que sur la véracité des bienfaits allégués par les défenseurs de la nourriture bio.

Pour permettre des réponses plus claires à ces nombreuses questions, un groupe d’experts décide de mettre sur pied une vaste étude sur les bienfaits véritables des produits alimentaires biologiques, rapporte Top Santé.

Baptisée BioNutriNet en lien avec l’initiative française NutriNet Santé, l’étude sera conduite par le professeur Serge Hercberg et la Dre Emmanuelle Kesse-Guyot.

100 000 sujets volontaires, certains consommateurs de bio et d’autres non, seront analysés sous tous les angles durant cinq années, afin d’observer les changements et impacts de leurs différents types d’alimentation sur leur santé.

300 candidats subiront également des tests sanguins, notamment pour évaluer les taux de vitamines et la présence de pesticides dans leur organisme.

Une étude exhaustive, en somme, qui devrait permettre de mieux comprendre les impacts réels des aliments biologiques sur la santé humaine.

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Grossesse multiple et nutrition

Lorsqu’on attend un bébé, notre apport calorique doit augmenter. Quand on attend plusieurs bébés, les besoins augmentent en conséquence.

Selon un article paru sur Parenting.com, plusieurs ajustements devraient être apportés à votre mode de vie afin d’offrir à vos bébés tout ce dont ils nécessitent pour bien se développer.

D’abord, il serait préférable de changer les communs 3 repas par jour en 5 repas, soit 3 repas complets et 2 bonnes collations. Les éléments à prioriser sont, entre autres, le fromage, la viande, les noix et les oeufs ainsi que beaucoup de fruits et légumes.

Un ajout de 300 calories par bébé, quotidiennement, est recommandé. Alors qu’il est normal de prendre entre 20 à 25 livres par bébé, n’hésitez pas à consulter si vous trouvez que vous prenez trop ou trop peu de poids.

À l’aide de votre médecin de famille, vous devriez toujours mettre au point la diète appropriée à votre condition personnelle et voir avec lui si vous avez besoin de suppléments vitaminés. Assurez-vous également de boire assez d’eau pour que votre urine soit incolore.

En suivant bien les directives reçues, vous augmenterez les chances de mettre au monde de beaux bébés en santé et de diminuer les risques de naissances prématurées.

 

Crédit Photo: Freedigitalphoto.net