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Méthode efficace pour prévenir les allergies alimentaires chez le nourrisson

La recherche a été menée par Dre Kate Grimshaw, diététicienne, et son équipe de l’University of Southampton.

Ainsi, introduire la nourriture solide après la 17e semaine de vie de l’enfant, de concert avec l’allaitement, réduirait les allergies alimentaires chez le bébé. « C’est le système immunitaire qui en bénéficie », a expliqué Grimshaw. « Il semble que le système immunitaire s’adapte mieux ainsi. Le lait procure un mécanisme de tolérance vis-à-vis la nourriture solide lorsqu’ils sont combinés. »

Cependant, la diététicienne insiste sur le tournant des 17 semaines. « Avant ce nombre de semaines, il semble au contraire que les réactions allergiques soient stimulées. »

L’étude a compté la participation de 1140 bébés et a été financée par la UK Food Standards Agency. Les résultats ont été publiés dans la revue Pediatrics. Sur ce nombre d’enfants, 41 ont développé des allergies alimentaires avant l’âge de 2 ans. L’alimentation de ceux-ci a été comparée avec celle de 82 enfants qui n’avaient développé aucune allergie alimentaire dans les mêmes 24 mois.

Selon Medical News Today, les résultats indiquent que la nourriture solide avait été introduite plus tôt chez les enfants ayant développé des allergies (16 semaines ou plus tôt). Également, l’allaitement avait été remplacé par les formules préparées ou le lait de vache.

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La FDA pourrait bannir les acides gras trans du territoire américain

C’est toute une nouvelle qui circule depuis les dernières 24 heures dans le monde de la nutrition, alors que la FDA américaine confirme réfléchir sérieusement à l’idée de bannir les acides gras trans de son territoire, une bonne fois pour toutes.

Une telle mesure, notamment rapportée par Top Santé, signifierait la fin de la guerre de tranchées que se livrent les spécialistes de la santé et la malbouffe, sur ce sujet du moins, alors que cette dernière se verrait carrément dénudée de ses gras trans.

La FDA croit qu’en retirant les acides gras trans des pizzas, frites et burgers américains, elle contribuera à prévenir quelque 7000 décès et plus de 20 000 crises cardiaques, en moyenne, annuellement.

« Bien que la consommation de graisses hydrogénées artificielles potentiellement dangereuses pour la santé ait diminué ces deux dernières décennies aux États-Unis, elle demeure une préoccupation majeure de santé publique », lance catégoriquement la directrice de la FDA, Dre Margaret Hamburg.

Il s’agit d’une mesure aussi drastique qu’étonnante, mais qui sera sans doute saluée et bien accueillie par un nombre important de spécialistes et de citoyens américains.

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Bien dormir pour mieux manger

Une étude menée par l’Université Temple confirme que, comme chez l’adulte, les enfants manquant de sommeil sont plus enclins à souffrir d’obésité. Voici un survol des résultats publiés sur le site santelog.com.

Ce serait près de 150 calories en moins que les enfants ayant un sommeil adéquat consommeraient chaque jour. À la suite à ses recherches, le Pr. Chantelle Hart du Center for Obesity Research and Education démontre que, bien que la malbouffe et le manque d’exercice soient aussi à blâmer, le manque de sommeil est tout aussi coupable.

Ce sont 37 enfants qui ont participé à l’étude, dont 27 % étaient en surpoids ou obèses. Durant 3 semaines, leur temps de sommeil variait volontairement, afin d’en voir les effets.

Les résultats ont été clairs; au moment où les enfants dormaient plus, leur apport calorique diminuait de 134 calories quotidiennement, en plus de présenter une quantité inférieure de leptine, l’hormone de la faim.

En moyenne, les enfants ont aussi perdu 220 grammes par semaine, améliorant ainsi leur état de santé.

Le tout revient à ce qui est conseillé par les professionnels de la santé; maintenir une routine de sommeil suffisante et adéquate pour les enfants est primordial pour leur bon développement, leur santé et leur comportement.

Crédit Photo : Freedigitalphotos.net

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Mexique : vogue de la nourriture préhispanique à base d’insectes

Un représentant de la nourriture préhispanique, pratiquement oubliée pendant toute la période de la conquête espagnole, est le restaurant Chon, pionnier dans ce domaine.

Dans cet établissement, situé dans le quartier populaire de La Merced, le chef Fortino Rojas élabore depuis près de quarante ans toutes sortes de plats excentriques. Il y a quelques années, il mettait à son menu de la viande de lion, remplacée depuis son interdiction par du crocodile.

Tandis qu’il prépare une tortilla aux oeufs de moustique, qui ont un goût un peu comparable à ceux des crevettes, mais en plus intense, il résume ainsi sa philosophie culinaire : « Tout ce qui se déplace sur ses pattes, vole ou rampe est bon pour la marmite ».

Rojas encourage tout le monde à « goûter les plats faits avec ces aliments que nous donne la terre du Mexique, car ce sont des aliments très nutritifs, bons et légers ». « Il faut le faire avant que ces animaux soient privés de leur milieu naturel à cause des dégâts causés à l’environnement »

L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a recommandé dans un récent rapport l’ingestion d’insectes comme l’un des moyens de lutte contre la faim, qui touche quelque deux milliards de personnes dans le monde.

Dans le cas des enfants qui souffrent de malnutrition, les insectes peuvent tenir lieu de complément alimentaire « particulièrement important », selon la FAO.

Cent grammes de viande de boeuf sont constitués à 40 % de protéines, alors que dans le même poids de sauterelles « ou de tout autre insecte », la proportion atteint le double, selon Gabriela Jiménez, chercheuse de l’Université nationale autonome du Mexique.

« Les insectes ont tous les acides aminés indispensables à l’homme. En outre, leur cycle de vie est rapide. Un insecte devient adulte au bout de deux mois et une femelle peut avoir quelque 800 oeufs », explique-t-elle.

Elle espère que les Mexicains, touchés par un des plus forts taux d’obésité au monde, vont augmenter leur consommation de ce type d’aliments. « Ça ne fait pas grossir. Et on peut fabriquer de la farine à partir de n’importe quel insecte », dit-elle.

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Le double impact de l’alcool sur le poids et la santé

L’alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

quo;alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Rappel de mollusques

À la suite de nombreux cas de gens ayant été malades, le Département de l’agriculture du Connecticut a décidé de rappeler ces aliments.

Le rappel concerne les huîtres et palourdes vendues au Québec et en Ontario, distribuées entre autres chez certains détaillants Loblaws, Sobeys et Real Canadian Superstore.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) emboîte donc le pas en émettant le même rappel concernant les huîtres et les palourdes provenant du Connecticut, car elles pourraient être contaminées par la bactérie Vibrio parahaemolyticus.

Cette bactérie touche surtout les consommateurs d’huîtres et les gens qui pourraient avoir consommé ces mollusques crus ou insuffisamment cuits.

Les effets désagréables de ladite bactérie sont généralement de la diarrhée, des nausées, des crampes, des vomissements, de la fièvre et des frissons.

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Comment le manque de sommeil peut faire grossir

Le manque de sommeil peut provoquer des changements dans l’activité du cerveau, conduisant à manger davantage, selon une étude publiée dans la revue scientifique Nature Communications.

Des études avaient déjà trouvé une corrélation entre la diminution de la durée du sommeil et l’augmentation rapide de l’obésité dans les pays industrialisés, mais les scientifiques étaient jusqu’à présent incapables d’expliquer pourquoi.

En utilisant des appareils IRM (imagerie par résonance magnétique), une équipe de l’Université de Californie a étudié l’activité du cerveau de 23 personnes à deux reprises, après une nuit complète de sommeil et après une nuit pendant laquelle ils n’avaient pas pu fermer l’oeil.

Chez les personnes privées de sommeil, des perturbations ont été observées dans les régions du cortex évaluant la satiété, alors qu’au contraire, les zones associées aux envies irrésistibles étaient fortement stimulées.

« Nous avons fait une autre découverte intéressante, c’est que les aliments les plus caloriques étaient particulièrement recherchés par les personnes privées de sommeil », précise Matthew Walker, l’un des coauteurs de l’étude.

« Toutes ces découvertes peuvent potentiellement expliquer le lien entre le manque de sommeil, le gain de poids et l’obésité », a-t-il ajouté dans une entrevue à l’AFP, avant d’estimer qu’un sommeil suffisant « permettrait de mieux contrôler son poids, par le biais des mécanismes cérébraux régissant des choix alimentaires appropriés ».

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), plus d’un tiers des adultes de plus de 20 ans dans le monde étaient en surpoids et 11 % obèses en 2008. Le nombre de personnes en surpoids a doublé depuis 1980, atteignant 1,4 milliard d’adultes en 2008.

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Différencier la bonne de la mauvaise nourriture en conserve

Sur le site telegraph.co.uk, l’expert nutritionniste et auteur Ian Marber explique qu’en plus des aliments frais, certains produits en conserve peuvent collaborer à une saine alimentation.

Cela signifie que vous pouvez avoir un repas sain, faible en gras et riche en protéines et en fibres tout en mélangeant produits frais et en conserve.

En plus d’être souvent assez économique et rapide à préparer, vous obtiendrez plus facilement vos deux à cinq portions de fruits et légumes quotidiennes recommandées, même en saison hivernale.

Carottes, petits pois, maïs, macédoines, ratatouille cuite; il ne faut que bien lire les étiquettes pour vous assurer que vous obtiendrez les éléments nutritifs appropriés sans consommer ceux que vous ne voulez pas.

Marber conseille de n’acheter que ceux qui sont dans l’eau et non pas dans l’huile ou les marinades. Choisissez donc les aliments non salés, non sucrés et sans huile.

Certains produits afficheront du sucre dans la liste des ingrédients, mais selon le nutritionniste, la plupart ne présenteraient qu’un infime pourcentage, et il ne faudrait donc pas s’en inquiéter.

Sachant que les ingrédients sont inscrits sur les étiquettes par ordre de quantité présente dans le produit, si le sucre ou le sel est inscrit sur la première ligne, il serait préférable de choisir une autre sorte.

Donc, en incorporant des produits en conserve à vos aliments frais, vous jouirez d’un repas tout à fait équilibré.

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L’insécurité alimentaire liée aux troubles de comportement

Une longue étude menée par les chercheurs de l’INSERM a démontré un lien plutôt direct entre la précarité alimentaire et certains problèmes comme la dépression, la difficulté de concentration, l’anxiété et l’hyperactivité chez l’enfant.

À noter que l’INSERM qualifie la précarité alimentaire d’« accès restreint, inadéquat ou incertain à des aliments sains et nutritifs » causé par « des difficultés financières ».

Malheureusement, ce serait plus de 10 % des Occidentaux qui seraient dans cette situation, ce qui est plutôt alarmant.

Pour l’étude, ce sont les données de 2120 enfants québécois qui ont été analysées en deux étapes. D’abord entre 18 mois et 4 ans et demi, puis à l’âge de 4 à 8 ans. Les enfants ayant vécu cette insécurité comptaient pour 5,9 % du groupe.

Le constat est que ces jeunes étaient 3 fois plus enclins à souffrir des troubles mentionnés plus haut. Les enfants se retrouvent souvent à consommer trop de sucre et de matières grasses, en plus d’une ration insuffisante de fer, entre autres.

Dans le rapport publié par la revue scientifique Plos One, il est mentionné : « L’incapacité des parents à s’occuper de façon régulière et satisfaisante de l’alimentation de la famille pourrait fragiliser le lien parents-enfants dans la petite enfance, avec des effets sur le développement des enfants à long terme ».

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Insécurité alimentaire : Bilan canadien catastrophique et inquiétant

Medical News Today trace un sombre bilan en ce qui concerne l’insécurité alimentaire au Canada, des chiffres qui auront de quoi surprendre plusieurs lecteurs, sans aucun doute.

Selon un rapport déposé par des chercheurs de l’Université de Toronto, les Canadiens qui ignorent s’ils pourront manger à leur faim dans un avenir rapproché se comptent… en millions.

Les chercheurs estiment à 3,9 millions le nombre de Canadiens qui affirment avoir eu du mal à se nourrir adéquatement en 2011, une hausse d’un demi-million si l’on compare aux statistiques de 2008.

Pire, un Canadien sur quatre exposés dans cette recherche serait en fait un enfant.

« L’impact de cette situation sur nos enfants, nos familles et nos communautés, ainsi que sur le système de santé et notre économie, ne peut être surévalué. Le problème n’est pas sous contrôle, et des réponses plus effectives sont requises d’urgence », lance avec inquiétude la Dre Valerie Tarasuk, de l’Université de Toronto.