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Les oiseaux de nuit seraient plus enclins à prendre du poids

The National Library of Medicine rapporte des conclusions obtenues par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie qui tendent à démontrer que les oiseaux de nuit sont plus enclins à prendre du poids.

Selon l’équipe de chercheurs, les personnes qui évoluent la nuit sont notamment plus attirées par la malbouffe, en plus de dévorer leurs plats favoris à des heures peu recommandées et recommandables.

On le sait, les nutritionnistes et autres experts déconseillent de manger des trucs lourds et caloriques durant la nuit et avant le coucher. On déduit donc assez facilement la cause à effet de la prise de poids pour les travailleurs nocturnes et amoureux de la nuit.

Les chercheurs évaluent à 550 calories supplémentaires le nombre absorbé par les travailleurs qui demeurent en fonction jusqu’à 4 h du matin.

« Les gens ont consommé un montant substantiellement plus élevé de calories durant les heures tardives où ils seraient normalement au lit. Ces calories étaient aussi plus élevées en gras que celles consommées à d’autres moments de la journée », explique Andrea Spaeth, de l’Université de Pennsylvanie, qui conduisait la série de tests sur un groupe de sujets volontaires.

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Ramadan : dix conseils pour éviter de mettre sa santé en danger

Alors que le ramadan doit débuter le 9 juillet prochain, les personnes pratiquant le jeûne de l’aube au coucher du soleil sont appelées à suivre quelques recommandations, pour réduire au maximum les risques liés à la santé.

Les journées étant plus longues et plus chaudes en cette saison estivale, chacun doit impérativement s’hydrater et s’alimenter correctement au cours de la période de rupture du jeûne. Voici dix conseils à mettre en pratique pour passer un bon ramadan.

– L’hydratation doit être le mot d’ordre de cette période de ramadan. Dès la rupture du jeûne, les usagers doivent boire en grande quantité. Il ne faut pas non plus oublier de s’hydrater juste avant la reprise du jeûne.

– Du côté de l’alimentation, mieux vaut privilégier une alimentation saine lors de la rupture du jeûne et ne pas se jeter sur les pâtisseries et sucreries qui, même en grande quantité, ne combleront pas la faim et perturberont l’organisme.

– La rupture du jeûne ne doit pas être synonyme de repas trop copieux. Non seulement un repas abondant serait mauvais pour l’organisme, mais cela pourrait favoriser les troubles du sommeil.

– Avant de repartir pour une journée de jeûne, il est recommandé de consommer des fruits, pour l’apport en vitamines, et surtout des sucres lents, tels que de la semoule et des céréales, pour tenir tout au long de la journée. Dans tous les cas, il est important de bien manger avant le lever du soleil, pour tenir tout au long du jour.

– Même si le jeûne s’étend du lever au coucher du soleil, les usagers doivent essayer de faire trois repas au cours de la journée : le premier avant le lever du jour, le second à la rupture du jeûne et le troisième quelques heures (compter deux ou trois heures) après.

– Si cela est possible, une sieste peut s’imposer en début d’après-midi. La période estivale invite même davantage les usagers à s’initier à cette pratique, afin de leur permettre de reprendre des forces pour le reste de la journée.

– Le mois d’août risque d’être chaud. Il est ainsi conseillé d’éviter le soleil et la chaleur durant le mois du ramadan. Chacun doit privilégier les pièces fraîches à l’intérieur et l’ombre à l’extérieur pour ne pas s’affaiblir trop rapidement.

– Même si la période du ramadan n’a aucune conséquence majeure sur la santé des usagers, il est important de réduire au maximum les efforts physiques. Les sportifs doivent notamment faire très attention à ne pas se surpasser durant le mois du ramadan.

– Les patients atteints de diabète sont invités à suivre régulièrement leur taux de glycémie, à s’hydrater en abondance et à fuir les sucreries pour réduire les risques sanitaires liés à cette période de jeûne.

– Les personnes fragiles souhaitant faire le ramadan, à savoir les femmes enceintes, les personnes âgées ou encore les patients atteints d’hypertension ou d’asthme, sont appelées à consulter leur médecin traitant au moindre signe anormal. Pour une plus grande sécurité, il est recommandé de se rendre chez son médecin avant et après le ramadan.

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La dépendance à la nourriture, un phénomène bien réel?

Peut-on être dépendant de la nourriture? C’est une question ou plutôt une information largement répandue en cette période où le surpoids et l’obésité sont devenus des problèmes de santé de type pandémiques.

Doit-on considérer que certaines personnes ou certains comportements relèvent d’abord de la dépendance avant de soigner ou de diriger les patients vers des pistes de solution? Pour des chercheurs américains basés à l’Hôpital pour enfants de Boston, la réponse est oui.

Ces conclusions sont par ailleurs publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition et rapportées par le Daily Mail (UK), entre autres.

L’auteur en chef de l’étude, le Dr David Ludwig, explique : « Au-delà de la récompense et du manque, cette partie du cerveau est aussi liée à l’abus de substances et à la dépendance, ce qui soulève la question à savoir si certains aliments peuvent créer une dépendance ».

Le Dr Ludwig fait bien sûr référence au fameux « centre du plaisir » du cerveau, qui réagit fortement face à certains produits. Les plus connus sont bien sûr l’héroïne et la cigarette, mais on découvre qu’une réaction similaire est observable à la suite de l’ingestion d’aliments à forte teneur glycémique comme le pain blanc, les pommes de terre et plusieurs produits considérés comme de la malbouffe.

D’autres études doivent être faites, alors que le sujet demeure hautement controversé.

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Laisser bébé manger avec les doigts?

Combien de fois nous sommes-nous fait dire de ne pas jouer avec notre nourriture? Apparemment, ce temps serait révolu.

Selon un article paru sur Plurielles.fr., la Dre Miriam Stoppard prône les bienfaits de l’auto-alimentation. Elle explique entre autres que placer une assiette composée devant bébé, pour lui laisser l’occasion de choisir ce qu’il mangera et dans quel ordre, l’aiderait à éveiller ses goûts et pratiquerait son automatisation.

De plus, comme vers l’âge de 6 mois, bébé est solidement assis dans sa chaise haute, il ne nécessiterait pas l’attention de maman. La Dre Stoppard suggère de laisser votre petit piger dans son assiette sans tenter de contrôler ce qu’il avale. Ainsi, vous l’aidez à développer son système moteur, alors qu’il doit prendre différents aliments de différentes grosseurs et textures.

Quant à la nutrition, si vous avez peur qu’il ne se nourrisse pas suffisamment, n’avez crainte. Une étude britannique a démontré que sur les 1029 bambins observés, la totalité d’entre eux obtenait l’apport nutritionnel nécessaire, tant que vous mettez dans l’assiette tout ce dont il a besoin.

En exemple, il est cité des brocolis, carottes, dés de fromage, fruits et bouts de pain. Du coup, bébé devrait se nourrir sans se plaindre au lieu de recracher ce que vous lui donnez. Après tout, peut-être préfère-t-il seulement manger le sucré avant le salé!

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Les aliments à proscrire pendant la grossesse

Malheureusement, certains aliments ne causant habituellement aucun problème deviennent très risqués lorsqu’une femme attend un enfant. Afin de vous assurer la meilleure alimentation possible pendant ces 9 mois, le site Babble vous cite certains aliments que vous devriez tenir loin de votre assiette.

Les sushis. En effet, le poisson cru pourrait contenir la bactérie responsable de la listériose. Le fœtus pourrait s’en retrouver fort affecté. Même chose pour les fromages au lait cru et les viandes crues. En plus de la listériose, la toxoplasmose s’ajoute aux risques pour ces formages.

Une autre bactérie pouvant causer de sérieuses intoxications est la salmonellose. Celle-ci peut être retrouvée dans les œufs crus, donc, bien tristement, dans certains desserts. Il faudra toujours s’assurer que les desserts n’en contiennent pas quand viendra le moment de vous sucrer le bec.

La consommation d’alcool, de café ou d’autres stimulants de la sorte devrait être limitée pour ne pas dire évitée.

Aussi, un récent rapport de l’Agence française de sécurité des aliments émettait une inquiétude quant à la consommation d’édulcorant. Un lien aurait été fait entre sa consommation et les accouchements prématurés.

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Quand la nutrition se met au service du bronzage

Vous serez probablement aussi surpris que l’auteur de ces lignes en apprenant que ce que vous mangez peut influencer votre bronzage.

C’est Top Santé qui révèle quelques trucs publiés par Eugénie Auvinet, nutritionniste française basée à Paris, qui affirme que de choisir les bons aliments permet d’assurer une belle peau lors de la saison estivale.

Ainsi, le secret ne serait pas que dans la crème solaire ou dans le choix de votre emplacement de bronzage, mais aussi dans les fruits et légumes. On parle ici des carottes, des oranges, des abricots, des tomates, des kiwis, mais aussi des fruits… de mer!

Il appert, toujours selon Auvinet, que les poissons gras et les fruits de mer comme la moule, l’huître et autres crustacés sont aussi de puissants alliés d’une peau en santé et propice à un bronzage parfait.

On conseille également la cuisson à la vapeur, d’éviter l’alcool et d’arrêter de fumer.

Au final, tous ces trucs permettent peut-être un teint et un bronzage de qualité, mais ne protègent pas la peau des rayons UVA et UVB! On rappelle donc l’importance d’une protection de qualité pour prévenir les brûlures et les risques de cancer de la peau.

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Une « carte alimentaire » bientôt à l’essai

Nutrition News rapporte que des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord travaillent sur un concept fort intéressant qui pourrait venir en aide à des millions de consommateurs qui s’interrogent quant à leur alimentation.

Il s’agit d’un projet de « carte alimentaire », qui permettrait aux citoyens de s’y retrouver à travers les nombreux produits offerts en magasins et en supermarchés, mais aussi parmi les nombreuses légendes et théories qui pullulent en alimentation.

Tellement que la fascination pour la nourriture et la santé tourne maintenant en obsession, et les informations qui circulent sont si nombreuses et contradictoires qu’elles laissent souvent le consommateur dans une zone grise… ou carrément dans le noir.

Ainsi, cette carte de la nourriture permettrait d’obtenir en un instant toutes les informations relatives à un produit ainsi qu’à tous ses dérivés et marques diverses.

Des informations et des guides alimentaires seraient également accessibles. Bref, tous les outils afin de mieux informer le citoyen, pour que ce dernier puisse faire des choix éclairés en toute connaissance de cause.

On apprend que le projet découle d’une série de mesures commandées par la première dame des États-Unis, Michelle Obama, qui souhaite participer à la lutte à l’obésité et aux problèmes de santé des Nord-Américains.

On attend maintenant la finalisation du projet « carte alimentaire » afin d’en vérifier l’utilité.

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Photographier ses repas pourrait indiquer un trouble alimentaire

S’il y a une mode bien étrange en ce moment, c’est celle de prendre des repas en photo pour les partager sur les nombreux réseaux sociaux.

Qui n’a pas déjà vu passer des photographies d’assiettes remplies, de fast-food ou de sushis, se demandant quel était le but réel de cette manœuvre.

Pour Valerie Taylor, du Women’ s College Hospital de l’Université de Toronto, ce phénomène n’est pas toujours bénin. En fait, il est même probable qu’il cache un problème alimentaire chez plusieurs de ces personnes, rapporte La Dépêche, qui reprend les propos de la spécialiste.

« J’ai des patients pour qui la nourriture est devenue problématique, et il leur est difficile de sortir sans parler d’autre chose que de ce qu’ils mangent, quand ils mangent, le moment où ils vont de nouveau passer à table », explique Taylor.

Vous reconnaissez quelqu’un qui ressemble à ce profil? Ou peut-être faites-vous vous-même partie de cette catégorie…

Pour la spécialiste, qui s’exprimait lors du Sommet canadien sur l’obésité récemment, l’obsession de la nourriture est un trouble alimentaire en soi, et souvent un pas vers l’obésité.

« On prend des photos de ce qui est important pour nous, et pour certaines personnes, la nourriture devient centrale alors que tout le reste — le lieu, les personnes, etc. — fait uniquement partie du décor », termine Taylor, qui présente ici un problème fort intéressant.

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Les restaurants de malbouffe ont manqué à leur promesse

On sait que les aliments que l’on retrouve dans les restaurants rapides de malbouffe sont très élevés en calories, sel et sucre. Ces facteurs contribuent non seulement à l’obésité, mais aussi aux problèmes cardiaques.

Les résultats d’une récente recherche menée par Mary Hearst, physicienne et professeure de santé publique associée à l’Université de St. Catherine au Minnesota, déçoivent grandement. Du moins, c’est ce que rapporte Medical News Today.

« Il s’agit de la première étude qui mesure l’amélioration de la qualité nutritive des aliments contenus dans les menus, et ce, pendant une période où le gouvernement encourageait ces restaurants à le faire », explique Hearst dans son rapport.

Ce sont les 8 chaînes les plus communes de malbouffe aux États-Unis qui ont été évaluées, dont la moitié d’entre elles sont implantées pour ainsi dire partout : McDonald’s, Burger King, Poulet frit Kentucky et Dairy Queen.

De tous les restaurants, seul Poulet frit Kentucky a fait un réel effort pour améliorer la qualité de la nourriture offerte dans ses menus. Sur l’échelle HEI (Healthy Eating Index), les autres ont obtenu au maximum une amélioration de 3 points, comparativement aux 9 points de PFK.

Margo G. Wootan, du Center for Science in the Public Interest à Washington, a appuyé ces résultats. Elle se dit « déçue des résultats », alors que ces mêmes compagnies se sont vantées d’avoir changé le mode de cuisson, l’apport en gras trans, puis diminué le sel dans leurs aliments.

Continuez donc à éviter la malbouffe, malgré la publicité qui contredit les résultats de cette recherche.

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Les écoles peuvent jouer un rôle primordial sur la santé

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude qui met en relief l’importance et l’impact des écoles sur la santé de ses étudiants.

Pas seulement pour les plus jeunes, apprend-on, mais aussi au niveau universitaire. Selon les chercheurs américains en tête de cette nouvelle recherche sur l’obésité et la nutrition, les écoles qui usent de politiques très strictes en matière d’alimentation permettent à leurs étudiants de se maintenir en bonne santé et dans les moyennes de poids jugées « normales ».

« Je crois que c’est une preuve que les écoles plus “santé” ont un impact positif, mais c’est une preuve préliminaire. C’est loin d’être définitif », tient à préciser Anne Barnhill, qui commente l’étude sans toutefois y participer.

Du côté de l’auteur de l’étude, le Dr Daniel Taber de l’Institute for Health Research and Policy situé à l’Université de l’Illinois (Chicago), il croit fermement que les étudiants qui se font servir des repas moins onéreux, donc moins nutritifs, affichent des taux d’obésité plus flagrants.

On note également l’impact de l’absence des infâmes machines distributrices, dans lesquelles abondent sandwichs de seconde zone, croustilles et chocolats, sur la santé des corps étudiants.