Catégories
Uncategorized

Un nouveau modèle de repas dans les 10 prochaines années

Une étude effectuée sur l’avenir de la nourriture au Canada révèle que dans les 10 prochaines années, on assistera à un déclin des plats réchauffés au four micro-ondes et à l’arrivée d’un nouveau modèle nutritionnel.

En fait, les jeunes nés après 1993 vont modifier le modèle des 3 repas par jour, car ils sont déjà plus enclins à sauter des repas. Les personnes de la génération X (nées entre 1967 et 1975) prendront de plus en plus des petits déjeuners simples, des entrées composées de viandes et des repas faciles à préparer.

Quant aux baby-boomers, ils se tourneront plus vers les plats à réchauffer au four micro-ondes.

Par contre, les données sont différentes aux États-Unis, où même les petits déjeuners pour le four micro-ondes gagnent en popularité, et l’on parle d’une progression de 13 % au cours des prochaines années.

Catégories
Uncategorized

Une taxe sur la malbouffe serait inefficace

Taxer la malbouffe ne serait pas la mesure la plus efficace pour contrer l’obésité. Il serait avant tout préférable de poser des avertissements comme on en retrouve sur les paquets de cigarettes.
 
« Taxer les aliments mauvais pour la santé, c’est très efficace comme source de revenus pour l’État, mais ça n’a que de modestes effets sur les comportements alimentaires. Par contre, si l’objectif est de financer le système de santé, taxer la malbouffe est une idée qui se défend. Puisque ceux qui paieront le plus sont aussi ceux qui auront le plus besoin des services de santé », disait à La Presse Sean Cash, professeur au Département des sciences de la consommation à l’Université du Wisconsin, de passage à Montréal pour le Congrès national sur l’obésité.
 
M. Cash a récemment effectué une recherche qui démontre que les taxes n’ont pas l’effet recherché avec la malbouffe. Par contre, les personnes en surpoids étaient plus ébranlées par des avertissements et orientaient mieux leurs choix vers des produits plus sains.
 
Un autre moyen très incitatif pour conter l’obésité est de réduire le prix des aliments sains, mais pour cela, il faudrait investir l’argent à cet endroit.
Catégories
Uncategorized

On peut devenir dépendant à la nourriture

Les Archives of General Psychiatry dévoilent une nouvelle étude qui établit clairement un lien entre la nourriture et la dépendance.
 
48 jeunes femmes corpulentes en bonne santé ont participé à cette étude. Devant un appétissant lait frappé au chocolat, leur activité cérébrale a été accrue dans certaines zones du cerveau, les mêmes que l’on remarque chez les toxicomanes devant de la cocaïne.
 
Selon l’équipe de l’Université Yale, une dépendance à la nourriture est donc possible avec une plus grande activation de zones précises du cerveau chez certaines personnes. Ainsi, ces dernières ne peuvent que difficilement maîtriser leurs fringales.
 
Cette découverte est importante, puisque le taux d’obésité de cesse d’augmenter. Cela pourrait s’expliquer en partie par la publicité alimentaire omniprésente, qui devient alors une grande source de stimulation pour le cerveau.
Catégories
Uncategorized

On ne devrait pas consommer des aliments qui sont tombés au sol

Des scientifiques affirment que la règle non écrite des cinq secondes est une fausse théorie.
 
On disait que si un aliment tombait sur le plancher, il était sans danger à la consommation s’il était ramassé en moins de cinq secondes. Toutefois, cela est totalement faux.
 
Il faut tenir compte notamment de la propreté du sol et du type d’aliment qui est tombé. À moins que votre plancher ne soit chirurgicalement propre, n’importe quel aliment aura le temps d’amasser de nombreuses bactéries dès qu’il entrera en contact avec le sol. Cela peut provoquer des intoxications alimentaires ou quelque chose de pire.
 
Si vous n’y croyez pas, saupoudrez un peu de sucre en poudre au sol et laissez tomber un aliment. Même ramassé rapidement, il portera du sucre. Si celui-ci était remplacé par des bactéries, elles seraient suffisantes pour contaminer la personne qui consomme cet aliment.
Catégories
Uncategorized

L’allaitement : quelques bémols

Une étude controversée parue récemment dans BMJ vient contredire la croyance actuelle prônant l’allaitement durant les six premiers mois.

En effet, depuis quelques années, on recommande de nourrir le bébé uniquement au lait maternel pendant six mois.

Or, des chercheurs de l’Institut de la santé infantile au Collège universitaire de Londres nous apprennent que ce ne serait pas dans l’intérêt de l’enfant.

Dans leur analyse de données, ils soulignent que l’allaitement unique des six premiers mois n’est pas suffisant du point de vue des nutriments. Trop d’enfants se retrouvent ainsi à risque de souffrir d’anémie.

De plus, il semble que ne pas être exposé à certains aliments plus tôt augmenterait les risques de développer une allergie alimentaire.

Finalement, il y aurait de grands avantages à ce que les bébés goûtent plus tôt à différentes saveurs. Cela leur permettrait de découvrir et de mieux aimer les légumes verts par exemple.

Le cas contraire pourrait encourager les mauvaises habitudes alimentaires et l’obésité, selon les chercheurs.

Catégories
Uncategorized

Un bébé peut-il manger tout seul?

Des chercheurs de l’Université de Glasgow, en Écosse, se sont penchés sur l’aptitude qu’ont des bébés de six à huit mois à se nourrir eux-mêmes.

Sur les 602 enfants à l’étude, la plupart pouvaient prendre des aliments avec leurs doigts.

Selon cette étude parue dans Maternal & Child Nutrition, très peu d’entre eux, soit 6 %, ont connu des problèmes de nutrition en s’alimentant ainsi.

Les chercheurs de l’étude recommandent donc de varier la nourriture en petits morceaux et les purées données à la cuillère. Ils conseillent malgré tout d’encourager l’autonomie chez l’enfant.

Celle-ci pourrait avoir des conséquences très positives. En effet, on a aussi établi dans cette étude que les enfants qui prenaient les aliments avec leurs doigts entre six et huit mois avaient plus de chances de marcher sans soutien à un an. La proportion en était de 54 %, contre 38 % chez les bébés qui ne prenaient pas la nourriture dans leurs mains.

Finalement, si 90 % des enfants mangeaient à l’aide de leurs mains sur une base quotidienne à 8 mois, 35 % des parents leur donnaient encore de la purée à la cuillère.

Catégories
Uncategorized

Les enfants peuvent évaluer la quantité

Des chercheurs de l’Université du Missouri ont fait une découverte des plus surprenante sur les capacités des tout jeunes bébés, peut-on lire sur Science Daily

Dès l’âge de 10 mois, un jeune enfant serait en mesure d’évaluer la quantité d’une substance, aussi difficile soit-elle à mesurer visuellement que de l’eau, des céréales ou du sable.

Le bébé est donc en mesure de faire un choix éclairé et il optera pour la plus grande quantité, particulièrement lorsqu’il s’agit de nourriture.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont proposé aux enfants deux contenants opaques. L’un d’eux contenait une petite quantité de nourriture et l’autre en contenait une grande.

Chaque fois, les enfants ont choisi la plus grande quantité, tant que la différence entre les deux était considérable.

La présente étude contredit donc les 15 années de recherche passées et la croyance populaire voulant que les bébés ne comprennent aucunement le monde qui les entoure.

Catégories
Uncategorized

Les bienfaits des probiotiques remis en cause chez les enfants

Un rapport clinique de l’Académie de pédiatrie américaine (APP) paru dans Pediatrics réétudie les bienfaits tant vantés des probiotiques et des prébiotiques sur la santé gastrique et intestinale des enfants.

Quoiqu’ils ne soient pas mauvais pour autant, les probiotiques ne semblent qu’avoir un très faible effet sur l’apparition de la diarrhée lors de la prise d’un antibiotique chez des enfants en santé.

Des études supplémentaires sont aussi nécessaires avant de statuer qu’ils ont un effet sur le syndrome du côlon irritable, la maladie de Crown et les coliques ou pour prévenir les allergies et les infections chez l’enfant.

De plus, leur efficacité n’est pas encore suffisamment prouvée pour qu’ils soient intégrés à du lait maternisé en vue d’une consommation régulière.

Malgré tout, l’APP a relevé des points très positifs aux probiotiques dans cette étude parallèle.

Par exemple, il semble qu’ils puissent avoir une influence chez l’enfant ou le bébé lorsqu’il contracte une gastro-entérite. Leur ingestion dès les premières diarrhées pourrait réduire la durée du virus d’un jour.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

KLM servira de la cuisine 3 étoiles à ses passagers de classe Affaires

Il y a un vieux proverbe qui dit que le coeur de l’homme se gagne par l’estomac. En engageant le réputé chef néerlandais Jonnie Boer, dont la cuisine a été couronnée de 3 étoiles par le Guide Michelin, la compagnie aérienne KLM est décidée à gagner le coeur des hommes… d’affaires.

Si vous empruntez la classe Affaires sur les ailes de KLM, entre décembre 2010 et septembre 2011, sachez que le repas que l’on vous servira aura été élaboré par ce grand chef.

Avec cette gâterie réservée uniquement aux passagers de sa World Business Class, KLM fait un pas de plus pour renouveler son offre de service et attirer cette clientèle payante, tout en conservant son identité, elle qui a fusionné avec Air France.

De plus, c’est la femme du chef, Thérèse, qui a choisi les vins qui accompagneront ces repas. Le chef a promis que ceux-ci auront un caractère très néerlandais.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Une scientifique aurait une explication pour la mauvaise nourriture des avions

Une toute nouvelle explication concernant la fadeur des aliments servis dans les avions vient d’être mise de l’avant.

Selon la scientifique Ellen Poliakoff qui s’est penchée sur le problème, la raison pour laquelle les repas que l’on nous sert durant les vols sont souvent fades et de mauvais goût serait tout simplement le bruit dans la cabine.

La chercheuse de l’Université de Manchester, en Angleterre, aurait examiné attentivement les résultats d’une recherche faisant le parallèle entre le bruit et le goût des aliments et serait arrivée à cette conclusion en ce qui concerne la qualité des repas servis en plein vol.

Selon l’étude, les moteurs des avions produisent ce que l’on appelle un « bruit blanc ». Celui-ci n’agirait pas sur les molécules des aliments, mais modifierait tout simplement les sensations gustatives des passagers.

Pour pallier ce problème, la nourriture doit être enrichie de sel, de sucre et d’essences naturelles pour en intensifier le goût et compenser la perte de sensations.