Étiquette : nourriture
La nourriture sèche pour chiens et chats peut être une source importante de la bactérie de type salmonella qui est particulièrement grave chez les jeunes enfants.
Surtout que les enfants sont curieux de nature et ont tendance à mettre cette nourriture dans leur bouche.
Bien qu’il existe très peu de cas de contamination par nourriture pour animaux domestiques, les risques sont présents.
Le contact avec l’animal ou son lit et ses jouets peut aussi présenter un risque, surtout que l’animal peut transporter la salmonelle dans ses excréments jusqu’à 10 à 12 semaines.
La revue Pediatrics mentionne que si vous nourrissez vos animaux dans la cuisine, vous quadruplez les risques d’infection.
Il est fortement recommandé de se laver les mains régulièrement, de bien emballer et d’entreposer la nourriture de vos animaux hors de la portée des enfants.
Selon un rapport dont a fait mention le journal USA Today, la Food & Drug Administration (FDA) serait insatisfaite de l’environnement dans lequel travaille les principaux traiteurs desservant la plupart des compagnies aériennes du pays. On juge que ceux-ci doivent apporter des correctifs afin de régulariser la situation.
La FDA a fait savoir que dans 27 cuisines des trois plus grands traiteurs, LSG Sky Chef, Gate Gourmet et Flying Food Group, elle a trouvé de la nourriture conservée à des températures ne répondant pas aux normes, en plus d’y apercevoir des insectes et même, à l’occasion, des excréments d’animaux.
Aux États-Unis, la FDA ne fait qu’émettre une lettre d’avertissement à ceux qui contreviennent aux règles d’hygiènes. Dans le cas de LSG Sky Chef, qui prépare 400 millions de repas par an pour 300 compagnies aériennes, les dirigeants ont reçu 18 de ces lettres durant les 15 dernières années et ceux-ci ont promis, encore une fois, de tout faire pour corriger la situation.
Il faut s’attendre maintenant, à la lecture de cette nouvelle, à voir beaucoup de gens dans les aéroports prendre un repas au restaurant avant de monter à bord de leur avion.
Les personnes qui suivent le régime méditerranéen ont moins tendance à souffrir de dépression.
La nourriture méditerranéenne se compose surtout de fruits, légumes, grains entiers, noix et poissons. Selon une étude espagnole, cela aurait des effets bénéfiques pour la santé, tant physique que mentale.
Pour les besoins de la recherche, on a suivi plus de 10 000 adultes pendant 4 ans. Au départ, personne ne présentait de symptômes de dépression. Ils devaient répondre à un questionnaire qui déterminait dans quelle mesure ils suivaient l’alimentation méditerranéenne. Les personnes étaient ensuite divisées en cinq groupes.
Après l’étude, on a diagnostiqué 480 personnes dépressives. Celles ayant adopté le régime méditerranéen avaient un taux de dépression de 30 % inférieur aux autres.
On attribut cela aux combinaisons d’aliments qui donnent un apport important en oméga-3, en acides gras insaturés, en nombreux antioxydants et vitamines. Toutefois, on ignore encore comment cela agit sur le système nerveux.
Voyager nous permet de découvrir des paysages parfois tout à fait impossibles dans notre propre pays. Imaginons seulement une plage sablonneuse avec palmiers sur les rives du Saint-Laurent à la hauteur de Sept-Îles pour s’en convaincre.
Toutefois, les différences qu’un pays peut nous faire vivre se trouvent parfois beaucoup plus près de nous que l’on pense. Trois fois par jour, il y a un rituel tout à fait essentiel qui expose d’emblée les différences culturelles de notre planète, celui de nos repas quotidiens.
Le site Timesonline s’est amusé à faire le top 10 des nourritures parfois surprenantes qui existent aux quatre coins du globe et que vous pourriez voir dans votre assiette au gré de vos voyages.
Saviez-vous qu’en Chine, on mange parfois le homard vivant? Qu’aux États-Unis, vous pourriez vous délecter d’un gâteau au fromage à l’alligator? Qu’en Écosse, le haggis se compose du cœur, du foie et des poumons du mouton, hachés finement avec des oignons et cuits avec de l’avoine et du bouillon, avant d’être servis dans l’estomac du mouton?
Ce top 10 pour le moins inhabituel demande deux choses du voyageur : un estomac solide et une ouverture d’esprit et de découverte.
Parmi les autres « spécialités » recensées, vous verrez notamment un plat de genoux de poulets chinois, de la langue sanglante d’Allemagne, un plat de melon amer africain, des fèves longuement fermentées (et gluantes) du Japon, des feuilles de cactus mexicaines, des larves australiennes et, pour terminer, de délicieuses pies de vaches de la Toscane, en Italie.
Ces plats sont souvent le résultat de périodes où la pauvreté sévissait durement dans une région du monde et où les habitants, obligés de laisser aller les beaux morceaux aux mains des riches, se devaient d’être inventifs avec ce qui restait d’une carcasse d’animal ou de ce que la nature environnante leur offrait.
Indéniablement, l’assiette mondiale a beaucoup à nous apprendre pour nous dépayser.
Le chercheur Michael Marmot, de l’American Institute for Cancer Research, affirme que de saines habitudes de vie permettent de réduire du tiers l’incidence de cancer.
Convaincu que les gens peuvent prévenir l’apparition de la maladie, le Dr Marnot indique qu’une alimentation équilibrée, un programme d’exercices régulier et un poids santé diminuent de 40 % le risque de cancer du côlon et du sein.
22 autres experts ont travaillé avec M. Marmot à décortiquer les habitudes de vie liées à différents types de cancer, dont celui des poumons. Leurs conclusions vont dans le même sens que celles de la World Health Organization, qui recommande une alimentation riche en fruits et légumes, en produits de grains entiers, avec moins de portions de viandes.
« Notre étude démontre qu’en apportant des changements significatifs au quotidien, on peut réduire le nombre de cas de cancer », a conclu le Dr Marmot.