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Art de vivre

Pas d’chicane dans ma cabane: un film à découvrir!

Après La guerre des tuques, Le journal d’Aurélie Laflamme et Félix et le trésor de Morgäa, un nouveau film québécois pour jeunes sort cet été ! Pas d’chicane dans ma cabane est un long métrage estival idéal pour les enfants à partir de 9-10 ans jusqu’à 15-16 ans.

Ce film raconte l’histoire de Justine, une élève de 12 ans qui souhaite le divorce de ses parents qui passent le plus clair de leur temps à se chicaner. Avec ses ami·e·s, ils élaborent un plan pour réaliser le souhait de Justine. Ce sujet, bien que triste, est important pour les enfants qui voient et sentent les désaccords entre les adultes autour d’eux. Malgré tout, le film est lumineux et se termine sur une note positive.

Comme tout bon film jeunesse, l’histoire est remplie de moments drôles et d’autres plus touchants. Ce qui m’a le plus frappé lors de l’écoute c’est la magie de l’enfance présente tout au long du film. En effet, l’histoire est truffée de détails qui nous permettent de plonger dans le film et de revivre la magie de l’été, de l’amitié et de penser comme un enfant que tout est possible. Le scénario, la réalisation et le jeu des acteurs amènent une touche unique à une histoire de chicane régulièrement vécue par les enfants un peu partout. Un film d’été idéal à voir en famille ou bien juste entre ado!

Alors, on se rejoint au cinéma le plus près ?

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Potins

Luc Besson condamne les paparazzis de Taipei

Le réalisateur français Luc Besson aurait une dent contre la façon de faire des médias dans la ville où il a passé 11 jours à tourner son prochain film, Lucy, dans lequel joue la plantureuse Scarlett Johansson.

Il juge avoir été harcelé alors qu’il se trouve en droit, en tant que réalisateur, de ne pas vouloir divulguer quelque information que ce soit. Il a aussi dit qu’il était trop tôt pour parler de date de sortie, alors qu’il resterait encore au moins 1 an de tournage à faire.

Besson ne voulait pas, entre autres, que les habillements et les différents looks de Johansson soient dévoilés au public avant le temps. Il dit que l’obstination des paparazzis l’a parfois empêché de se concentrer sur le tournage.

« Faire le tournage de nuit a été un véritable enfer à cause des constantes intrusions des paparazzis », dit-il.

Scarlett Johansson joue dans Lucy un mulet qui, en transportant de la drogue, entre en contact avec un super-sérum lui donnant des pouvoirs surhumains.

Luc Besson serait aussi mécontent de voir que les médias avaient rapporté qu’il voulait quitter Taiwan avant la fin du tournage en guise de protestation, ce que le cinéaste nie.

Il rapporte aussi combien il est faux de dire que Lucy est basé sur le trafic de drogue, qui n’est qu’une toute petite partie du film. Sans vraiment donner de détails, il a terminé en défendant son travail : « Le film est à propos de l’intelligence au sens pur. On n’utilise que 10 % de notre capacité intellectuelle… Qu’arriverait-il si on l’utilisait au complet? »

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Luc Besson condamne les paparazzis de Taipei

Le réalisateur français Luc Besson aurait une dent contre la façon de faire des médias dans la ville où il a passé 11 jours à tourner son prochain film, Lucy, dans lequel joue la plantureuse Scarlett Johansson.

Il juge avoir été harcelé alors qu’il se trouve en droit, en tant que réalisateur, de ne pas vouloir divulguer quelque information que ce soit. Il a aussi dit qu’il était trop tôt pour parler de date de sortie, alors qu’il resterait encore au moins 1 an de tournage à faire.

Besson ne voulait pas, entre autres, que les habillements et les différents looks de Johansson soient dévoilés au public avant le temps. Il dit que l’obstination des paparazzis l’a parfois empêché de se concentrer sur le tournage.

« Faire le tournage de nuit a été un véritable enfer à cause des constantes intrusions des paparazzis », dit-il.

Scarlett Johansson joue dans Lucy un mulet qui, en transportant de la drogue, entre en contact avec un super-sérum lui donnant des pouvoirs surhumains.

Luc Besson serait aussi mécontent de voir que les médias avaient rapporté qu’il voulait quitter Taiwan avant la fin du tournage en guise de protestation, ce que le cinéaste nie.

Il rapporte aussi combien il est faux de dire que Lucy est basé sur le trafic de drogue, qui n’est qu’une toute petite partie du film. Sans vraiment donner de détails, il a terminé en défendant son travail : « Le film est à propos de l’intelligence au sens pur. On n’utilise que 10 % de notre capacité intellectuelle… Qu’arriverait-il si on l’utilisait au complet? »

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Cinéma

Un avant-goût du prochain Moore

Une surprise attendait les cinéphiles ce week-end dans les salles de cinéma. L’irrévérencieux Michael Moore, bien connu pour ses films documentaires choc, a commencé à annoncer les couleurs de sa prochaine production dans une première bande-annonce.

Le cinéaste y apparait seul à l’écran et demande aux gens, dans ces temps économiquement difficiles, de donner généreusement aux… sociétés en péril.

Moore fera son analyse toute personnelle sur ce qu’il appelle le plus grand vol dans l’histoire des États-Unis : le plan de sauvetage des grandes compagnies par le gouvernement américain.

Le film, qui n’a toujours pas de titre, est prévu en salles le 2 octobre prochain. Sans surprise, il semble qu’il soit déjà assuré de provoquer une nouvelle fois l’indignation collective par rapport à un sujet épineux de l’actualité.