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Quand la pollution nuit au tourisme

Mail Online nous apprend qu’un déversement de pétrole a forcé l’interdiction de se rendre sur des plages très populaires de la Nouvelle-Zélande. Un cargo s’est échoué sur les rivages.

La plage du mont Maunganui a déjà été touchée. Le Rena, un porte-conteneurs, a provoqué une marée noire qui s’étend peu à peu vers l’île de Matakana et la baie de Plenty.

On prévoit déjà que le port de Tauranga et les plages du sud de Maketu seront touchés. Jusqu’à maintenant, on estime que 300 tonnes de pétrole ont été déversées. Si le bateau fend, ses 1700 tonnes se retrouveraient dans la nature.

Tout cela s’est enclenché il y a quelques jours, lorsque le navire de 47 000 tonnes est entré en collision avec le récif Astrolabe, à Tauranga.

On ne peut pas, pour l’instant, procéder à l’extraction du pétrole déversé en raison des conditions difficiles. Malgré tout, le Service maritime de la Nouvelle-Zélande a affirmé qu’il visait à entamer le nettoyage au cours des prochains jours.

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On pourra golfer sur l’océan

On peut lire sur Forbes qu’une entreprise de la Nouvelle-Zélande spécialisée en constructions flottantes vient de déposer un projet très original. Ducth Docklands souhaite construire un terrain de golf s’étalant directement sur les côtes des Maldives.

Évalué à 500 millions de dollars, le projet se distingue des parcours sur l’eau déjà existants en ce sens qu’il serait érigé en pleine mer. Il défilerait en plusieurs îles et chacune d’entre elles serait reliée par un tunnel sous-marin.

Les golfeurs pourraient donc à la fois s’adonner à leur sport favori et admirer les fonds marins de cette région. Selon la même logique, un club serait créé, à l’instar des autres terrains de golf, sauf qu’il serait établi au creux de l’océan. Les membres s’y rendraient par ascenseur sous-marin.

On prévoit que les premiers golfeurs pourront profiter de ce parcours en 2013. Si l’accord est donné, Dutch Docklands ajoutera quelque 200 villas et 45 îles privées à ce complexe. Ce golf deviendrait évidemment le plus cher du monde.

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Impressionnante piste cyclable en Nouvelle-Zélande

Les touristes adeptes du cyclisme seront heureux d’apprendre qu’une nouvelle destination s’offre maintenant à eux.

La Nouvelle-Zélande vient d’inaugurer la première piste cyclable de son projet national des Great Rides près de Hanmer Springs.

Commençant donc au sud de l’île, la nouvelle piste St James s’étend sur 64 kilomètres. Elle mène les cyclistes à travers divers paysages.

Ainsi, les adeptes du vélo pourront admirer des lacs, des vallées et des forêts.

Parmi les 18 pites promises pour les Great Rides, la St James est la plus ardue. Elle requiert la plus grande compétence pour être traversée.

En effet, le temps d’accomplissement estimé pour des cyclistes de montagne expérimentés est de 10 heures.

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Cinéma

The Hobbit sera tourné en Nouvelle-Zélande

Après de nombreuses négociations entre le gouvernement de la Nouvelle-Zélande et Warner Bros., les deux films de The Hobbit seront bel et bien tournés au pays.
 
Le premier ministre de la Nouvelle-Zélande, John Keys a annoncé en conférence de presse que la production s’installera au pays dès février prochain. « Faire les deux films de The Hobbit ici permettra non seulement de conserver le travail de milliers de Néo-Zélandais, mais aussi de poursuivre le succès de la trilogie de Lord of the Rings en faisant la promotion de la Nouvelle-Zélande sur l’échiquier mondial », a mentionné Keys.
 
Rappelons que Peter Jackson avait menacé de tourner à l’étranger en raison d’un conflit de travail avec les syndicats qui voulaient forcer la production à négocier une entente collective illégale. Jackson avait fortement critiqué les organisations, mentionne The Hollywood Reporter.
 
La Screen Actors Guild (SAG) et l’American Federation of Television and Radio Artists (AFTRA) ont finalement levé leur boycottage le 21 octobre dernier, permettant ainsi aux artisans de travailler sur cette production.
 
C’est l’acteur britannique Martin Freeman qui a décroché le rôle-titre de Bilbon Sacquet. Le premier film de The Hobbit sortira en salles en décembre 2012 et le second en décembre 2013.
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Cinéma

La réponse de Peter Jackson

Vendredi dernier (24 septembre), sept associations artistiques néo-zélandaises ont demandé officiellement à leurs membres de ne pas travailler avec l’équipe de Jackson. Comingsoon affiche aujourd’hui la réponse publique du réalisateur à cette requête.

D’après ces regroupements, leurs membres ne devaient pas participer aux deux volets du prochain film de Peter Jackson, The Hobbit, en raison des conditions de tournage, en partie parce que les acteurs allaient être engagés sans que les conditions de leur charte soient respectées.

Dans son annonce, le réalisateur, qui rappelle ne pas être avocat, soutient que toute cette manoeuvre vient de la Media Entertainment and Arts Alliance (MEAA), le syndicat australien, qui tente d’avoir plus de pouvoir dans le milieu cinématographique de la Nouvelle-Zélande.

Prenant parole en tant que réalisateur néo-zélandais, et non en tant que membre de Warner Bros. ou de New Line Cinema, Jackson se défend bien, soulignant toutes les batailles juridiques qu’il a dû affronter pour tourner et assurant qu’il n’a rien à se reprocher ni à cacher.

Par ailleurs, il mentionne dans cet écrit que Disney ne tourne même plus en Australie à cause de trop grandes frustrations vécues avec la MEAA.

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Les amateurs de vélos trouveront leur compte en Nouvelle-Zélande

Pour un dépaysement complet, la Nouvelle-Zélande offrira aux touristes férus de cyclisme de visiter plusieurs attractions pendant des excursions à vélo.

C’est le premier ministre de la Nouvelle-Zélande en personne, John Key, qui a fait l’annonce de cette première piste. Celle-ci sera bientôt ouverte et permettra à tous d’enfourcher un vélo sur des parcours uniques dessinés pour mener les sportifs et les moins sportifs, à leur rythme, de Ruapehu à Whanganui, sur une distance de 200 kilomètres.

Parmi les lieux notables de cet itinéraire, on pourra visiter les parcs nationaux Tongariro et Whanganui, le célèbre Bridge to Nowhere, le Hapuawhenua Viaduct et plusieurs autres sites qui ont marqué l’histoire du pays ou qui offrent simplement des paysages uniques.

Cette piste ne sera que la première d’une série, car d’ores et déjà, on annonce que deux autres sont en cours de développement.

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Dossier moyen (600 mots)

Nouvelle-Zélande – Une nature fascinante

Les sites incontournables
 
L’île du Nord
L’île du Nord est principalement célèbre en raison de sa fantastique baie des Îles dont les paysages marins comptent parmi les plus beaux au monde. Mais c’est aussi une région imprégnée d’histoire. En 1840, Maoris et Britanniques se réunissaient à Waitangi pour signer un pacte qui devait garantir la paix entre les deux peuples. On peut d’ailleurs toujours visiter la maison qui fut le théâtre de cet événement. Bien que Wellington, tout au sud de l’île, soit la capitale, la majorité de la population vit à Auckland, la poétique « cité des voiles » qui est aussi la véritable porte d’entrée des visiteurs du monde entier en Nouvelle-Zélande. Vers Rotorua, au centre de l’île, l’intense activité qui règne en sous-sol jaillit au grand air, parfois même avec force : volutes de fumée, geysers indisciplinés et bassins bouillonnants, grisâtres et boueux. Un spectacle extraordinaire!
 
L’île du Sud
Ici, la nature joue la carte artistique sous ses formes, que ce soit le long des côtes déchiquetées des Marlborough Sounds ou sur les plages dorées par le soleil du parc national d’Abel Tasman. L’aspect sauvage de la côte ouest, qui captiva jadis les chercheurs d’or, exerce toujours la même fascination sur les voyageurs. Tout comme les Pancake Rocks de Punakaiki ou l’imposante silhouette des glaciers Fox ou Franz Josef. À Queenstown, le sport est à l’honneur : bungy-jumping en été et ski en hiver. Plus loin, les paysages du parc de Fiordland révèlent une beauté saisissante. Le Doubtful Sound et le Milford Sound comptent parmi les plus beaux sites de la planète et rivalisent sans peine avec le charme écossais de Dunedin ou l’allure si british de Christchurch.
 
La culture maorie
Voyager en Nouvelle-Zélande permet également d’aller à la rencontre de la culture maorie, dont les représentants comptent à ce jour pour environ 15 % de la population du pays. La plupart des Maoris vivent dans l’île du Nord, dans les régions du Northland, de la ville d’Auckland, de la baie de Plenty et dans le Waikato. Les valeurs profondes de la tradition maorie sont la vie en communauté, le partage et l’harmonie avec la nature. Parmi les arts maoris, on peut noter la danse de l’haka, le ta moko (tatouage permanent sur le visage) ou encore la sculpture, où l’influence de la nature est marquante. Beaucoup de bijoux sont en effet inspirés du motif de la fougère. Bien que présente partout au nord, un bon moyen de découvrir la richesse de cette culture est de se rendre au musée maori de Rotorua.
 
 
Le saviez-vous?
 
 
 
Les moutons
52 millions, c’est le nombre de moutons qui vivent sur le territoire néo-zélandais, soit 13 fois plus que la population totale du pays!
 
Style Art Déco
Située sur l’île du Nord, la ville de Napier est l’un des principaux centres d’Art Déco dans le monde. Ne manquez pas le festival Art & Déco qui s’y tient chaque année, du 16 au 21 février en 2010.
 
 
Les coups de cœur
– Le Tongariro National Park.
– La ville de Rotorua.
– Christchurch, la capitale économique de l’île du Sud.
– Le port d’Auckland.
– La découverte de la culture maorie.
 
 
À savoir avant de partir
La meilleure période : entre octobre et mai.
Quelques précautions : certaines régions sont situées dans une zone à forts risques sismiques.
N’oubliez pas d’emporter des chaussures de marche, des lunettes de soleil, de la crème solaire, une petite pharmacie, de l’antimoustique, ainsi qu’un maillot de bain!