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Les grand-mères fumeuses peuvent nuire à leurs petits-enfants

Même si la femme enceinte ne fume pas durant sa grossesse, elle risque tout de même d’avoir un enfant qui aura un problème de croissance ou de développement. Pourquoi?

Une nouvelle étude au Royaume-Uni démontre que si les grand-mères fumaient à l’époque durant leur propre grossesse, elles peuvent transmettre les risques et effets néfastes du tabagisme jusqu’à leur troisième génération.

En effet, si la grand-mère maternelle fumait pendant sa grossesse, il a été prouvé que leurs petits-fils, à l’adolescence, avaient pour la plupart un problème de surpoids et de santé cardiovasculaire, entre autres.

D’autre part, si la mère et la grand-mère fumaient, les petites-filles naissaient plus petites (taille et poids) que celles dont les mères fumaient, mais pas les grand-mères.

Sachez que les grand-mères du côté paternel ont également une incidence sur leurs petits-enfants.

L’étude a été publiée dans l’American Journal of Human Biology.

Dans le monde entier, près de 250 millions de femmes fument tous les jours. Fumer durant la grossesse peut aussi engendrer des troubles du comportement et psychiatriques chez le futur enfant, rappelle Science World Report.

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Travailler à temps partiel ne nuit pas à l’allaitement maternel

Publiée dans le Journal of Human Lactation, une étude prouve qu’un retour progressif au travail pour les femmes qui allaitent devrait être priorisé par les employeurs ou même les parents, car les horaires moins chargés et variés n’ont aucun effet négatif sur l’allaitement maternel, si les nouvelles mamans allaitent déjà depuis plus de trois mois. 

Il semblerait même que les femmes qui ont un emploi à temps partiel – une fois que l’adaptation « difficile » du retour au boulot a été effectuée pour maman et bébé – allaitent plus longtemps leur bambin que celles qui demeurent au foyer pendant un long congé de maternité.

En revanche, les femmes qui donnent le sein pendant la même période (trois mois et plus), mais qui doivent recommencer à travailler à temps plein ont 1,82 fois plus de risque d’abandonner plus vite le projet de l’allaitement, et 2,25 fois plus de risques que les mères restées à la maison pendant au moins 3 mois.

Parmi toutes les femmes qui ont le désir ou l’objectif d’allaiter pendant au moins trois mois après avoir accouché, 28,8 % d’entre elles sont incapables d’atteindre leur objectif, relate Santé Log.