Catégories
Uncategorized

L’alcool nuit à la qualité de votre sommeil

Top Santé rapporte une étude qui démontre clairement que l’alcool nuit à la qualité du sommeil.

Bien sûr, boire quelques verres peut permettre de rejoindre le pays des rêves plus rapidement, mais ce n’est pas un gage de « bon sommeil », loin de là.

En fait, selon les spécialistes du London Sleep Center en tête de cette étude, l’alcool affecte les cycles du sommeil et ouvre la porte à une panoplie de troubles subséquents. Insomnie, sommeil agité, cauchemars, voilà des problèmes qui peuvent apparaitre à la suite d’une consommation d’alcool trop importante ou trop tardive.

Les sujets qui se sont prêtés au jeu de l’étude en question ont tous confirmé avoir ressenti des troubles du sommeil dans la deuxième partie de la nuit, et ce, peu importe la quantité ingérée. Cette dernière n’aurait pas vraiment d’incidence sur la qualité de vos nuits, et le fait que l’alcool semble donner un accès plus simple vers Morphée ne serait qu’une arme à deux tranchants.

Les experts londoniens concluent qu’il faudrait attendre environ deux heures avant d’aller au lit si l’on a consommé de l’alcool le soir même.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Fantasmes réalisés au Seven Hotel de Paris

L’hôtel Seven de Paris propose une série de suites qui permettent aux touristes et aux Parisiens de réaliser certains fantasmes, soit de vivre des nuits à l’image de certaines personnalités célèbres qui ont marqué l’histoire ou de certains grands courants sociaux et artistiques.

Si l’on comprend mal pourquoi l’hôtel porte le nom de « sept » de prime abord, de l’avis même du Daily Mail qui rapporte la nouvelle, on comprend mieux lorsqu’on réalise que celui-ci comprend sept suites, toutes inspirées de thèmes classiques comme Marie Antoinette ou encore 007.

Qui n’a jamais fantasmé de passer des nuits dignes de James Bond ou de la fameuse Marie Antoinette. Cette dernière était par ailleurs connue pour son côté volage et festif…

Le chiffre sept est également présent dans la promotion de l’établissement, qui parle d’un « septième ciel » pour les voyageurs. À en juger par les photos diffusées, on peut le croire.

Le Seven Hotelest situé dans le cinquième arrondissement de Paris et propose des nuitées enchanteresses à ses visiteurs. Réservez dès maintenant votre place et devenez, l’espace de quelques nuits, une reine mythique ou encore un agent double zéro, tout cela en plein Paris.

Catégories
Uncategorized

Gastronomie nocturne : un ennemi à abattre

The National Library of Medicine rapporte un avertissement de l’Academy of Nutrition and Dietetics voulant que votre pire ennemie en matière de nutrition puisse bien être cette petite collation tardive avant d’aller au lit.

Si elles sont à déconseiller pour des raisons de métabolisme, elles prennent aussi souvent la forme de croustilles, pâtisseries et autres interdits, ce qui ajoute au problème.

Pour les spécialistes consultés, la gastronomie nocturne aurait bien plus à voir avec les émotions qu’avec la faim. Le stress, l’angoisse, l’anxiété, l’ennui et combien d’autres émotions risquent fort de vous pousser vers la barre de chocolat plus que la faim elle-même.

Savoir gérer et reconnaitre ses émotions est donc un grand pas en avant pour éviter de manger le soir, mais il est aussi conseiller de ne pas souper trop tôt.

En effet, pour ceux qui se reconnaissent dans ce comportement, il est conseillé de prendre le souper plus tard, en début de soirée, afin d’être bien rassasié. On conseille aussi de conserver votre dessert pour plus tard, au lieu de le manger immédiatement après le repas principal.

On termine en suggérant de se mettre au lit plus tôt, car on rappelle qu’en plus de vous donner un sommeil plus long et réparateur… qui dort dîne!

Catégories
Uncategorized

Une étude révèle un variant génétique qui « prédit » l’heure… de la mort

Une nouvelle saisissante fait le tour des médias et du Web depuis quelques heures, alors que le Beth Israël Deaconess Medical Center publie une étude concernant un variant génétique qui pourrait prédire l’heure de votre mort, ou à tout le moins la période de la journée.

Aussi terrifiante qu’invraisemblable, cette nouvelle est transmise par plusieurs sources, dont Santelog.com. Le site rapporte également que le variant permet de savoir si vous êtes une « personne de nuit », un noctambule ou encore un lève-tôt né.

Si cette dernière information est plus évidente à déduire par nous-mêmes, il en va autrement du moment de notre mort! Or, il semble pourtant logique que la fameuse « horloge biologique » qui régit tant de choses au cours de notre vie puisse aussi déterminer le moment du dernier souffle.

L’horloge circadienne (terme véritable de l’horloge biologique) détermine les moments de la journée où vous vous sentez plus en forme, et ceux où vous êtes plus somnolent.

Le Dr Andrew Lim, auteur principal de l’étude, déclare : « De précédents travaux chez les jumeaux ont suggéré que le retard ou la précocité de l’horloge peut être héréditaire. Des expériences sur l’animal ont également suggéré l’influence de gènes spécifiques ».

En clair, les chercheurs croient qu’une telle découverte pourrait influencer le choix de certains traitements chez des patients en phase terminale, entre autres.

Catégories
Uncategorized

La technologie et la dépression

De plus en plus de chercheurs croient que la folie des technologies qui frappe l’homme partout dans le monde depuis quelques années pourrait bien avoir quelques effets néfastes sur la santé mentale.

Plusieurs études viennent progressivement corroborer ces théories, dont une publiée récemment, que rapporte santelog.com.

Cette fois, c’est le très populaire iPad qui est visé par l’enquête des chercheurs des universités Johns Hopkins et Rider. Plus précisément, ceux-ci se sont penchés sur l’utilisation du iPad la nuit. Bien sûr, ceci peut s’appliquer aux autres tablettes du genre sur le marché.

C’est l’exposition anormale à ce type de luminosité qui inquiète les chercheurs, celle-ci pouvant jouer un rôle dans le développement de la dépression, selon eux.

Ce n’est d’ailleurs pas la première étude qui trace un lien entre le fait de laisser des lumières allumées la nuit et des symptômes de dépression nerveuse.

De plus, le déclin cognitif pourrait être influencé par de tels comportements.

Les chercheurs rappellent que le corps est synchronisé à un « cycle solaire », qui permet une balance entre les périodes d’éveil et de repos. Ne pas respecter les périodes de repos et poursuivre l’exposition à la lumière des appareils électroniques pourrait s’avérer néfaste pour votre santé mentale.

Catégories
Uncategorized

Du sommeil de qualité pour contrer l’obésité

Santelog.com rapporte une étude de l’Académie de Nutrition et de Diététique, qui affirme pouvoir faire une corrélation entre le manque de sommeil et la prise de poids substantielle.

Ainsi, lorsque vient le temps de construire un plan de match pour perdre des kilos en trop, il faudrait inclure le sommeil dans sa stratégie. Il est facile (et normal) de se concentrer sur son régime alimentaire et sur les exercices physiques, mais si on n’en dort plus la nuit, les effets seront plus limités, toujours selon l’étude.

Plusieurs recherches ont déjà démontré certaines corrélations entre le manque de sommeil partiel (moins de six heures par nuit), et il semble qu’elles avaient raison.

De fait, les gens dorment de moins en moins et gagnent du poids, un facteur souvent oublié par les praticiens et nutritionnistes, souligne la professeure Sharon Nickol-Richardsons, de l’Université de Pennsylvanie.

Son équipe a étudié d’autres recherches publiées entre 1996 et 2011 afin de faire la corrélation entre la privation de sommeil et son effet sur l’organisme.

Les chercheurs concluent qu’en plus de nuire au métabolisme, le manque de sommeil augmente l’appétit, ou l’impression d’avoir faim, deux facteurs qui ne favorisent en rien la perte ou la régulation de poids.

Catégories
Uncategorized

Retrouver le plaisir de manger le soir

Depuis que la guerre aux kilos est entamée dans notre société, nombreux sont les comportements désormais « interdits » par la communauté scientifique et médicale.

Ainsi, en suivant les indications des nutritionnistes et autres spécialistes, les sacrifices sont nombreux. L’un de ceux-là est de ne plus manger le soir.

En fait, il s’agirait plutôt d’un mythe, affirme www.conseilsnutrition.tv. De l’espoir pour les amoureux des collations nocturnes?

D’abord, il faut comprendre que le problème n’est pas vraiment le fait de manger après que le soleil se soit couché. Si la nourriture ingérée s’inscrit dans votre apport calorique quotidien normal, voilà qui ne causerait pas de problème.

Il faut donc être attentif aux signaux du corps et éviter de manger lorsqu’on n’a pas vraiment faim. Grignoter durant de longues heures devant la télévision demeure donc un ennemi du tour de taille.

Également, un problème qui peut survenir la nuit, c’est de manger lorsqu’on est épuisé et affamé. Dans ces conditions, il est facile de craquer pour de « mauvais » aliments, plus gras et moins nutritifs.

Si vous êtes friands des repas en soirée, il suffit donc de choisir les bons aliments et de surveiller vos calories durant le jour, afin de « garder de la place » dans votre apport quotidien.

Catégories
Uncategorized

Travailler de nuit augmente les risques de cancer du sein de 40 %

Le travail de nuit perturbe le rythme circadien, ce qui est déjà reconnu pour augmenter les risques de maladies cardiaques et de troubles métaboliques.
 
Une nouvelle étude parue dansl’International Journal of Cancer confirme maintenant que le travail de nuit est cancérigène.
 
Les chercheurs ont comparé le parcours professionnel de 1200 femmes ayant eu un cancer du sein entre 2005 et 2008 à celui de 1300 autres femmes qui n’ont pas eu de cancer.
 
On constate que 13 % des répondantes qui ont eu un cancer ont déjà travaillé de nuit, contre 11 % chez le groupe en bonne santé.
 
Les femmes qui ont fait partie d’une équipe de nuit voient leurs risques de cancer du sein augmenter de 35 %. Si elles ont travaillé de nuit pendant plus de 4,5 ans, ces risques grimpent à 40 %, et ils se retrouvent à 43 % si les femmes ont travaillé trois nuits ou moins par semaine.
 
De plus, on apprend que si les femmes ont travaillé de nuit plus de quatre ans avant leur première grossesse menée à terme, les risques de cancer du sein sont accrus de 95 %.
 
« Nos travaux confortent les résultats d’études antérieures et posent le problème de la prise en compte du travail de nuit dans une optique de santé publique, d’autant que le nombre de femmes travaillant avec des horaires atypiques est en augmentation », indique l’auteur principal de la recherche, Pascal Guénel.
 
Catégories
Uncategorized

Papa peut aussi créer des liens avec bébé

D’abord, les nouveaux papas devraient créer des liens avec leur poupon et avoir une approche personnelle, selon l’auteur du livre The Baby Bonding Book for Dads, James di Properzio.

« Le contact face à face est crucial. Leurs neurones miroirs deviennent fous et essaient d’enregistrer les signaux pour apprendre à vous imiter et comprendre vos réactions », dit l’auteur.

Aussi, il est suggéré de remplacer maman pour l’heure du coucher. Faites donc de ce temps de la journée une occasion de vous rapprocher de l’enfant. De plus, n’hésitez pas à vous lever la nuit pour donner le biberon.

Ensuite, l’auteur propose d’apprendre à changer la couche et nourrir votre bébé.

Finalement, il soutient que les pères doivent être présents pour leurs enfants, même lors des moments plus difficiles. L’habileté des pères à intervenir lors de ces moments pourrait leur donner plus de confiance en tant que parents.

Rappelons qu’aujourd’hui, les pères participent davantage à l’éducation de leurs enfants qu’il y a 30 ans. Plus des trois quarts des répondants d’un sondage français croient également que l’amour et le réconfort ne doivent pas seulement être prodigués par la mère, et que l’autorité ne doit pas venir seulement du père.

Catégories
Uncategorized

Un environnement sécuritaire la nuit pour prévenir le décès du bébé

« Plusieurs de ces cas de MIN sont reliés aux environnements de sommeil non sécuritaires, et ces décès sont totalement évitables. La position la plus sécuritaire pour les bébés est de dormir sur le dos dans leur propre couchette sans matelas mou », explique la professeure associée du MU Sinclair School of Nursing, Patricia Schnitzer.

Les études de Schnitzer et ses collègues ont montré que dans plus de 70 % des cas de MIN, les poupons se trouvaient sur des surfaces appropriées, comme des lits d’adultes ou des canapés. De plus, dans 64 % des cas, l’enfant n’était pas seul dans son lit ou était couché avec ses parents.

Soulignons que plus de 4500 poupons meurent chaque année durant leur sommeil aux États-Unis, et ce, même après que le gouvernement ait instauré sa campagne Back-to-Sleep, qui encourage les parents à faire dormir leurs enfants sur le dos.

« Depuis la campagne Back-to-Sleep, le nombre décès reliés à la mort inattendue du nourrisson a diminué, mais les décès de poupons par suffocation durant leur sommeil a dramatiquement augmenté. Partager le lit avec son bébé est plus commun maintenant, donc nous voulons aider les nouveaux parents à comprendre les risques », dit la professeure Schnitzer.

Rappelons que dans l’État du Wisconsin, une campagne a été lancée pour faire connaitre les multiples dangers qu’encourt un nourrisson en dormant dans le même lit que ses parents.