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Allaiter ne vous privera pas plus de sommeil

On croit en général que l’allaitement enlève plus d’heures de sommeil aux femmes. Les gens pensent souvent qu’allaiter prend plus de temps à faire et demande beaucoup plus de temps que de préparer un biberon.

Or, une récente étude a démontré que l’allaitement ne demande pas plus de temps aux mamans que les autres façons de faire, apprend-on sur Nutrinews.
 
Ainsi, les mamans qui donnent le biberon, celles qui ont choisi l’allaitement et celles qui ont opté pour l’allaitement mixte (sein et biberon) dorment à peu près le même nombre d’heures et connaissent les mêmes interruptions de leur sommeil durant la nuit.

Il s’agit là d’un autre argument pour l’allaitement, en fait. Plusieurs autres études appuient cette manière de nourrir son bébé. Certaines ont même avancé que l’allaitement pouvait mener à de meilleurs résultats scolaires chez l’enfant quelques années plus tard.

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Son premier pyjama party est très important

Un article paru récemment dans le New York Times fait un survol du pyjama party, une étape à franchir très importante pour les jeunes filles et garçons. 

Premièrement, ce phénomène existerait depuis les années 50 et 60. Il aurait pris naissance dans les banlieues, selon Paula Fass, professeure d’histoire à l’Université de la Californie et éditrice de l’Encyclopedia of Children and Childhood. Cela serait venu du fait que les enfants avaient une chambre à eux pour la première fois.

Il n’existe aucune règle ou guide de survie pour les parents lorsque leur enfant découche pour la première fois. La plus grande inquiétude est qu’il passera la nuit chez des étrangers. Or, il ne faut pas oublier que les enfants savent ce qu’ils veulent.

Malgré tout, le premier pyjama party entraîne toute une gamme d’émotions chez l’enfant : la séparation, dormir dans un endroit méconnu, suivre les règles d’une autre famille. Il est donc important de bien connaître son enfant ainsi que la famille chez qui il se rendra.

Il faut toutefois être attentif si l’enfant n’arrive pas à passer une nuit à l’extérieur de la maison : l’anxiété de la séparation ne constitue pas un trouble du sommeil. De plus, d’autres problèmes peuvent entrer en ligne de compte, tels que l’hyperactivité, le somnambulisme et l’énurésie nocturne.

Finalement, il faut considérer que depuis les années 80, découcher n’est plus un privilège, mais bien un droit, car cela est devenu un véritable rituel de passage de l’enfance.

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Les mères dorment moins que les pères

Une récente étude de l’Université du Michigan a démontré que les femmes se lèvent deux fois et demie plus souvent la nuit que les hommes pour s’occuper des enfants.

Parue dans Social Forces, la recherche en question a porté sur les données concernant près de 20 000 parents sur le marché du travail de 2003 à 2007.

Ainsi, parmi les familles de deux travailleurs ayant un enfant de moins d’un an, la mère a plus souvent tendance à se lever la nuit pour prendre soin du bébé. La proportion est de 32 % chez les femmes contre 11 % chez les hommes.

Une fois que l’enfant a d’un à deux ans, les chiffres changent. Ainsi, la mère a un sommeil interrompu dans 10 % des cas. Pour le père, le taux demeure bas, soit deux pour cent.

Les taux baissent une fois de plus lorsque l’enfant a de trois à cinq ans. Il semble alors que les femmes se lèvent la nuit dans une proportion de trois pour cent, contre un pour cent chez les hommes.

De plus, la différence demeure malgré le statut de chaque parent. Ainsi, dans le cas où la femme est la principale source de revenus du couple, elle se lève tout de même la nuit dans 28 % des cas. Si le père a un tel rôle, il se réveille la nuit pour s’occuper de l’enfant dans quatre pour cent des cas seulement.

Les femmes semblent donc faire face à un autre facteur influant sur l’avancée de leur carrière par rapport aux hommes.

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Les bébés qui naissent la nuit ont plus souvent des problèmes au cerveau

Selon l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, si l’accouchement a lieu entre 22 h et 4 h, les poupons ont 22 % plus de risques de naître avec une pathologie au cerveau.

Cette malformation néonatale peut engendrer de l’épilepsie, une paralysie, voire entraîner la mort. Une équipe de l’École de médecine de l’Université de San Francisco s’est penchée sur la question.

Elle a observé 2 millions de bébés nés en Californie sur une période de 14 ans, comparant ensuite l’heure de naissance et les complications vécues. Des études précédentes avaient déjà établi une corrélation possible entre l’heure de l’accouchement et les complications.

Il semble que 2 000 bébés sont nés avec des problèmes au cerveau et qu’outre l’âge de la mère, les soins reçus et le nombre de grossesses vécues, l’heure de la venue au monde est en corrélation avec ceux-ci.

D’autre part, le mois de la naissance et le jour de la semaine n’influent aucunement sur l’apparition de cette pathologie.

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Les bébés dorment toute une nuit à partir de cinq mois

Les parents d’un bébé qui ne fait pas ses nuits après quelques mois seront heureux d’apprendre que cela est tout à fait normal.

Nous pouvons lire dans le journal Pediatrics les résultats d’une étude portant sur le sujet. Celle-ci a été menée par la Dre Jacqueline Henderson de l’Université de Canterbury, en Nouvelle-Zélande.

Dre Henderson a suivi, avec ses collègues, pas moins de 75 bébés en santé durant leur première année de vie.

Cette équipe de chercheurs a démontré qu’à partir de 5 mois, la moitié des bébés dormaient durant toute une nuit, le plus souvent de 22 heures à 6 heures.

Les sujets étaient observés selon trois critères : ils dormaient de minuit à 5 heures, ils dormaient durant 8 heures consécutives ou ils dormaient de 22 heures à 6 heures.

De plus, selon cette recherche, il semble que les bébés âgés de trois mois dorment habituellement de minuit à cinq heures.

D’autre part, dormir huit heures consécutives pour un poupon de quatre mois n’est pas habituel.

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Une exposition à la lumière durant le sommeil ferait grossir

Durant la nuit, les lumières de la ville pourraient grandement nuire au métabolisme du corps humain.
Des chercheurs américains ont constaté que des souris exposées à la lumière durant la nuit gagnaient plus de poids que les autres, même si elles avaient le même régime alimentaire et le même niveau d’exercices.
 
Pendant huit semaines, une équipe de l’Université de l’Ohio a soumis des souris à une lumière affaiblie durant leur sommeil. À la fin de l’étude, ces dernières avaient un indice de masse corporelle de 50 % plus élevé que celui des autres qui n’avaient pas été exposées à la lumière.
Des tests doivent maintenant se faire sur les humains afin de voir si les chercheurs obtiendront les mêmes résultats.
 
« Il est établi que pour garder la ligne il ne faut pas trop manger et il faut faire beaucoup d’exercice, mais ce facteur environnemental pourrait expliquer pourquoi certaines personnes suivant bien ces préceptes prennent malgré tout des kilos », explique Randu Nelson de l’Université de l’Ohio.
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Les lumières nocturnes des villes augmentent les risques de cancers

Il semble que l’on produit moins de mélatonine (hormone du sommeil) avec les lumières artificielles des villes la nuit et ce phénomène favoriserait la croissance des cellules cancéreuses.
 
Quatre groupes de souris ont été étudiés par une équipe du Centre de recherche chronobiologique interdisciplinaire de l’Université d’Haifa en Israël.
 
À noter que la lumière qui servait de lumière du jour était artificielle et que ces souris avaient toutes reçu des cellules cancéreuses.
 
Ainsi, un premier groupe a été exposé à de longues journées de 16 heures et des nuits de 8 heures. Le deuxième groupe avait le même rythme, mais il recevait de la mélatonine. On a soumis les rongeurs du troisième groupe à 8 heures de jour et 16 heures de nuit et finalement, le dernier groupe avait une exposition à la lumière toutes les 30 minutes durant la journée.
 
Les souris avec une exposition à la lumière du jour moins longue et celles ayant reçu de la mélatonine ont vu leurs cellules cancéreuses connaître une croissance moins importante. Par contre, les animaux ayant eu des nuits entrecoupées de lumière ont vu leur cancer croître de 1,8 cm cube, alors que le groupe ayant eu les plus longues journées avait une évolution de 5,92 cm cube.
 
Avec les lumières artificielles des villes durant la nuit, on produit moins de mélatonine et c’est ce qui favorise donc le développement du cancer.
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Les bébés nés durant la nuit ont plus de chances de mourir

Environ la moitié des femmes accouchent le soir ou aux petites heures du matin. Une étude inquiétante vient d’être publiée sur les conséquences d’une telle naissance dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology.
 
On affirme qu’il y aurait un taux plus élevé de décès et d’admissions aux soins intensifs pour les naissances qui se déroulent entre 18 h et 8 h.
 
Les chercheurs pensent que la pénurie de médecins expérimentés la nuit pourrait être un facteur de ces résultats. Souvent, ce sont des médecins stagiaires qui se retrouvent à travailler tard et ils manquent d’expérience devant les complications possibles. La fatigue du personnel peut aussi être en cause, car le quart de travail de nuit va à l’encontre du rythme naturel du corps.
 
Après avoir évalué 700 000 naissances dans des hôpitaux néerlandais, on affirme que dans certains établissements, le taux de mortalité peut atteindre 47 % de plus pour les naissances en soirée ou dans la nuit, comparativement à celles survenues le jour.
 
Les chercheurs ne veulent toutefois pas affoler les femmes enceintes et rappellent que les complications graves sont tout de même relativement rares lors des accouchements.
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Manger la nuit favorise la prise de poids

Des chercheurs de l’Université de Northwestern, en Illinois, arrivent à la conclusion que les collations nocturnes sont beaucoup plus nocives pour la santé, car elles favorisent une prise de poids. Ils ont publié les résultats de leur étude dans le magazine Obesity.

Le fait de manger à des heures contradictoires aux rythmes normaux du corps perturbe le métabolisme et provoque une prise de poids.

Durant l’expérience, on a observé que les rats de laboratoire nourris avec des aliments gras en pleine nuit ont pris jusqu’à 48 % plus de poids que ceux nourris de la même manière durant les heures normales du jour.

Plusieurs facteurs influencent le métabolisme : la température du corps, la dépense énergétique, les hormones et la qualité du sommeil notamment.

On recommande fortement d’éviter les collations nocturnes et de prendre de bons repas durant le jour afin de ne pas avoir faim à des heures anormales.

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Le juste équilibre du sommeil

Une recherche effectuée par des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université Laval démontre que des nuits de sommeil trop courtes ou trop longues augmentent le risque de souffrir de diabète de type 2 ou d’intolérance au glucose.

Cette incidence est 2,5 fois plus élevée si l’on dort moins de 7 heures ou plus de 8 heures par nuit.

276 participants ont été suivis par les chercheurs pendant 6 ans pour en arriver à ces conclusions. Pendant l’étude, 20 % des sujets jugés comme de petits et de grands dormeurs ont reçu un diagnostic de diabète de type 2, contre 7 % chez les sujets qui avaient des nuits de durée moyenne.

La recherche est publiée dans la version en ligne de Sleep Medicine.