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Exposition Astérix à la BNF, dopée à la potion magique

La Bibliothèque nationale de France accueillera du 16 octobre prochain au 19 janvier 2014 une grande exposition Astérix, l’irréductible Gaulois devenu culte au fil de 34 albums, bientôt 35, traduits en 107 langues et dialectes et vendus à plus de 350 millions d’exemplaires dans le monde.

Au coeur de la rétrospective, un don exceptionnel fait par Albert Uderzo à la BNF en mars 2011. Il recouvre les planches originales de trois albums : Astérix le Gaulois, premier titre de la série, publié dans le journal Pilote à compter du 29 octobre 1959, La Serpe d’or, deuxième épisode, et Astérix chez les Belges, vingt-quatrième album dont le scénariste René Goscinny, mort brutalement le 5 novembre 1977, ne vit jamais la publication.

Le prochain album, et premier sans Uderzo, Astérix chez les Pictes, doit sortir le 24 octobre, signé Jean-Yves Ferri (De Gaulle à la plage) et Didier Conrad (dessinateur de Raj et des Marsukids).

L’exposition restitue l’osmose entre Uderzo et Goscinny et la genèse d’Astérix, retraçant en parallèle l’enfance et la jeunesse des deux auteurs, leur rencontre, leurs créations communes, le lancement de Pilote, pour lequel ils recherchèrent un nouveau personnage et choisirent les Gaulois.

Puis des planches originales ou imprimées, notes manuscrites et scénarios dactylographiés dialoguent avec des pièces archéologiques « rappelant l’ancrage historique, mais aussi la distanciation parodique » de la série, souligne la BNF.

La troisième partie mesure et analyse le phénomène Astérix à travers son formidable succès national et international, les adaptations cinématographiques, l’exploitation publicitaire, la déclinaison en jeux et jouets, jusqu’à la création d’un parc d’attractions.

L’exposition décortique ensuite l’humour des scénarios, des dialogues et du graphisme. Le parcours s’achève sur une incursion dans l’intimité des deux génies du 9e art.

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Venez goûter à la cuisine d’Astérix et Obélix

Quiconque a lu les bandes dessinées d’Astérix le Gaulois sait très bien que, à la dernière case de l’histoire, nos amis gaulois sont attablés pour un énorme banquet où l’on voit immanquablement Obélix se gaver de sangliers, un mets qui semble être le seul de sa diète alimentaire.

Pourtant, comme vous pourriez le découvrir vous-mêmes, la cuisine gauloise d’antan était beaucoup plus diversifiée que ce que l’on veut bien montrer dans les aventures du petit guerrier.

Le site archéologique de Bibracte, situé dans le département français de Saône-et-Loire, est ouvert de la mi-mars à la mi-novembre. En plus du site, l’endroit propose un musée, un centre de recherche ainsi qu’un restaurant qui se consacre à faire découvrir la cuisine gauloise d’antan.

Le Chaudron, nom de l’établissement, vous donne la chance de goûter à des plats qui ont rassasié les Gaulois il y a 2 000 ans.

Parmi les plats offerts, on retrouve les rouleaux de chou aux lentilles sur galettes de pois cassés, la salade gauloise, le jambon cuit au foin, la sauce aigre-douce aux myrtilles ou le fromage blanc en faisselle au miel, pour n’en nommer que quelques-uns.

Bon appétit!

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Une exposition pour les 50 ans d’Astérix à Paris

Le plus célèbre Gaulois de la francophonie, Astérix, le rusé petit guerrier qui fait la joie des amateurs de bandes dessinées depuis 1959, fête ce mois-ci ses 50 ans.

Le Musée de Cluny à Paris souligne l’évènement avec Astérix au Musée, une exposition unique qui retracera le parcours du Gaulois et de sa bande dans l’imaginaire de ses créateurs, René Goscinny et Albert Uderzo.

À l’intérieur du frigidarium restauré des thermes gallo-romains du musée de Cluny, les visiteurs auront l’unique chance d’admirer une trentaine de planches originales des deux créateurs, ainsi que des manuscrits authentiques ayant servi à la conception et la réalisation de certains albums d’Astérix le Gaulois.

L’exposition commence le 28 octobre 2009 et se terminera le 3 janvier 2010.

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Cinéma

Grande première pour Astérix aux Jeux olympiques

Dans le cadre du tapis rouge pour les prochaines aventures de notre Gaulois préféré, La Presse a envoyé un journaliste couvrir l’évènement très médiatisé qui se tenait sur les Champs-Élysées.

Plusieurs célébrités se sont déplacées pour Astérix aux Jeux olympiques, dont Clovis Cornillac, Alain Delon, Benoît Poelvoorde, Stéphane Rousseau, Franck Dubosc, qui ont foulé le tapis où crépitaient les flashs des appareils.
 
L’humoriste québécois prête ses traits à Alafolix, l’athlète qui représente la Gaule à la plus prestigieuse compétition sportive, et qui tombe amoureux d’Irina, une magnifique princesse grecque.
 
Thomas Langmann, le coréalisateur et producteur, a même avoué avoir eu beaucoup de difficulté à trouver son Alafolix : « J’avais évidemment adoré Les invasions barbares, mais jamais je n’aurais pensé un seul instant à Stéphane pour notre film. Puis, je l’ai vu dans une interview à la télé et l’idée a commencé à faire son chemin. Je suis ensuite allé le voir sur scène à deux reprises et je n’ai alors plus eu de doutes. »
 
Tout a été mis en place par les producteurs afin que ce troisième opus cinématographique de la franchise, dont le budget de production atteint 120 $M, connaisse le succès auprès des cinéphiles : rencontres de presse, présence médiatique monstre et sortie en salles sur 5 000 écrans européens.
 
Le film Astérix aux Jeux olympiques prendra l’affiche au Québec 11 juillet 2008.