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Les enfants obèses plus sujets aux douleurs des membres inférieurs

C’est ce que révèle les résultats d’une étude effectuée par la Dre Sharon Bout-Tabaku et ses collègues du Nationwide Children’s Hospital et de l’Ohio State University aux États-Unis.

Selon medicalnewstoday.com, les chercheurs démontrent que les enfants obèses avec des douleurs aux membres inférieurs ont une qualité de vie et une santé moindres que les enfants obèses qui ne sont pas aux prises avec cette souffrance.

Lors de l’étude, 175 enfants obèses ont participé au processus. De ce nombre, 51 ressentaient de la douleur aux membres inférieurs. En tenant compte de l’âge, du sexe, de la motricité physique, du niveau d’exercice et de la santé psychosociale de l’enfant, ceux qui souffraient obtenaient visiblement des résultats plus bas.

Ainsi, les enfants obèses ayant des douleurs étaient plus ciblés émotionnellement, socialement et relativement à l’environnement scolaire. Cependant, le niveau de la forme physique n’était pas nécessairement influencé.

L’auteure conclut donc : « Nos découvertes soutiennent l’importance de la recherche sur la douleur des membres inférieurs quant à l’évaluation de la santé des enfants obèses. Cette douleur joue un rôle important lors de la prise en charge pour la perte de poids ou les programmes d’exercice physique ».

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Les enfants uniques plus à risque de devenir obèses

Les enfants uniques seraient en fait deux fois plus susceptibles de devenir obèses que les enfants qui ont des frères et soeurs.

L’étude a évalué l’indice de masse corporelle de 12 700 enfants européens de deux ans jusqu’à neuf ans pour en arriver à cette conclusion.

Selon les chercheurs, ce risque accru pourrait venir du style de vie différent des enfants uniques.

« Les enfants uniques jouent moins dehors, vivent souvent dans des ménages ayant un faible niveau d’éducation et sont plus susceptibles d’avoir des télévisions dans leur chambre », expliquent les auteurs.

Les chercheurs envisagent de mener une seconde étude qui permettra de cibler les causes exactes de ce risque élevé.

Rappelons que l’obésité dérèglerait l’horloge circadienne du corps — reliée aux cycles du sommeil —, entraînant une puberté précoce. L’obésité en début de puberté peut affecter le pancréas, le foie et d’autres glandes endocrines.

Il existe une corrélation entre la puberté précoce et les cancers des organes reproducteurs ainsi que le diabète, entre autres.

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Les enfants obèses plus susceptibles d’avoir des calculs biliaires

Les auteurs de l’étude, publiée dans le Journal of Pediatric Gastroenterology & Nutrition, affirment que les enfants très obèses sont six fois plus à risque d’avoir des calculs biliaires, tandis que les enfants modérément obèses sont quatre fois plus à risque, et que les enfants obèses ont deux fois plus de risques.

Cela a de quoi inquiéter les experts, qui soulignent que ce problème de santé est habituellement décelé chez les adultes plutôt que chez les enfants.

Les calculs biliaires sont des pierres ou des grumeaux qui s’accumulent dans les voies biliaires ou dans la vésicule biliaire.

Ceux qui en souffrent ressentent de la douleur sous les côtes, au côté droit du corps. Ils transpirent, vomissent, ont mal au dos et à l’épaule droite. Ils peuvent même avoir des coliques biliaires, une infection de la vésicule biliaire, une jaunisse et une pancréatite.

Rappelons toutefois que lorsque vient le temps de perdre du poids, il faut être prudent. Certains régimes réduisent la masse osseuse, augmentant donc les risques de fractures et de calculs biliaires.

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Les risques d’un deuxième cancer sont plus élevés chez les femmes obèses

Déjà, le surpoids était associé à un risque accru de développer certains types de cancers, dont le cancer du sein. Maintenant, une étude parue dans le Breast Cancer Research and Treatment révèle que le surpoids accroît les risques de récidives du cancer dans le même sein ou de développer un nouveau cancer dans l’autre sein.

En plus, il y a des risques également associés à un cancer de l’endomètre ou colorectal.

Après une méta-analyse de plusieurs études prospectives, l’obésité lors d’un premier cancer du sein accentue de 37 % les risques de développer un cancer du sein controlatéral, ainsi que de 40 % les risques d’avoir un autre cancer dans le même sein.

Cependant, le risque s’élève à 96 % quant au cancer de l’endomètre ou le cancer colorectal.

Voilà donc d’autres bons arguments dans la lutte contre l’obésité.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Diabète : la mortalité moins élevée chez les obèses que chez les autres

(WASHINGTON-AFP) – Le taux de mortalité des diabétiques de type 2 dont le poids est normal est supérieur à celui des personnes atteintes de la même maladie et qui sont obèses ou en surpoids. C’est ce que révèle une étude parue mardi dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).

Selon ces travaux, les diabétiques de poids normal ont un taux de mortalité général, ne résultant pas de causes cardio-vasculaires, nettement plus élevé que les diabétiques obèses ou en surpoids.

Les adultes atteints de diabète de type 2 de poids normal ont été peu étudiés par la médecine, car cette maladie touche surtout les personnes obèses. Dans la présente étude, 10 % environ des participants diabétiques avaient un poids normal.

L’excès de poids est un facteur de risque important pour développer la maladie, mais des facteurs familiaux, l’ethnicité et l’âge peuvent aussi jouer un rôle, soulignent les auteurs de cette recherche.

« Il est possible qu’une prédisposition génétique explique pourquoi ce sous-groupe dans la population connaît un risque particulièrement élevé de mortalité et de diabète », explique le Dr Mercedes Carnethon, professeur de médecine adjoint à l’Université Northwestern et principal auteur de ces travaux.

Des adultes plus âgés et qui ne sont pas de race blanche courent un plus grand risque de développer du diabète avec un poids normal, selon cette étude.

Avec le vieillissement et la diversification de la population aux États-Unis, les cas de diabète de type 2 affectant les personnes d’un poids normal vont probablement augmenter, estime le Dr Carnethon.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Pas plus de risque de décès pour les obèses

Une nouvelle étude publiée dans le Journal of American Board of Family Medicine remet en cause la croyance populaire qu’un surplus de poids est synonyme d’un plus grand risque de décès.
 
En fait, l’obésité ne devient plus « meurtrière » que si elle est accompagnée de diabète ou d’hypertension. Sans ces deux facteurs, les chercheurs vont même jusqu’à dire que les personnes en surplus de poids ont moins de risques de décès que les personnes ayant un poids normal.
 
Attention, l’étude ne dit pas que l’obésité est l’idéal et n’affecte pas la santé. Elle demeure tout de même une menace qui affecte la qualité de vie. Elle a une incidence sur la santé et peut aussi causer de l’apnée du sommeil, des maladies cardiaques, de l’arthrose et autres.
 
Cependant, les données recueillies sur 51 000 personnes ayant de 18 à 90 ans, suivies pendant 6 ans, démontrent qu’un surplus de poids n’entraîne pas automatiquement plus de risques de décès.
 
« Durant les 6 années de suivi de l’étude, nous avons constaté que seule une obésité sévère a été associée à un risque accru de décès, en raison de ses comorbidités », déclare le professeur Anthony Jerant.
 
L’étude dévoile également que peu importe la présence de diabète ou non, les personnes trop maigres doublent par contre leur risque de décès.
 
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Les protéines à la rescousse contre l’obésité

(Relaxnews) – Des chercheurs de l’Inserm ont réussi à démontrer comment les protéines alimentaires, présentes dans la viande, le poisson et les oeufs, et recommandées à grande échelle par les régimes amincissants hyperprotéinés, Dukan en tête, pouvaient générer une sensation de satiété, généralement ressentie plusieurs heures après un repas.

Publiés dans la revue scientifique Cell le jeudi 5 juillet, ces travaux permettraient d’améliorer la prise en charge des patients obèses ou en surpoids.

Dans cette nouvelle étude, les scientifiques ont montré que l’absorption de protéines alimentaires permettait de déclencher des échanges entre le système digestif et le cerveau, provoquant ainsi un effet « coupe-faim ».

En détail, ce sont des récepteurs présents dans le système nerveux, notamment connus pour leur rôle dans le système nerveux du plaisir, qui permettent l’échange de messages entre le cerveau et le système digestif.

« Sollicités trop fortement, ces récepteurs peuvent devenir insensibles. Il faudrait donc trouver le meilleur moyen de les activer “modérément” afin de garder leur effet bénéfique à long terme sur le contrôle de la prise alimentaire », assurent les principaux auteurs de l’étude.

Ces travaux pourraient ouvrir la voie à de nouvelles pistes thérapeutiques dans le traitement du surpoids et de l’obésité.

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Les enfants moins populaires pourraient devenir obèses

Le fait de ne pas être populaire à la petite école ne fait pas seulement que ternir le quotidien des enfants. Des chercheurs suédois ont trouvé que les enfants plus malmenés par leurs camarades vers l’âge de dix ans sont plus susceptibles de souffrir d’obésité et de plus haute pression sanguine lorsqu’ils auront 40 ans.

Ces effets de l’impopularité apparaissent davantage chez les femmes.

Cependant, ces problèmes de santé n’apparaissent pas uniquement chez les enfants ayant subi de l’intimidation, puisque le simple fait d’être tenu à l’écart, isolé des autres, peut les entraîner.

Et ce n’est pas tout. Les chercheurs ont étudié plus de 900 jeunes de 16 ans pendant 27 ans. À la fin de l’étude, publiée dans PLoS ONE, les problèmes de santé des jeunes laissés pour compte dépassaient l’obésité et les troubles de la pression sanguine, puisqu’ils ont aussi diagnostiqué le diabète, les carences en bon cholestérol ainsi que de mauvais gras dans le sang des enfants touchés.

Rappelons également qu’avant l’âge de 12 ans, les enfants qui sont victimes d’intimidation sont quatre fois plus susceptibles que les autres de s’automutiler.

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Les ex-obèses demeurent stigmatisés par leur passé

Une étude parue dans le journal Obesity attire une fois de plus l’attention sur la stigmatisation des obèses dans la société et le milieu professionnel.
 
Même une perte de poids importante ne semble pas changer l’image que les gens ont des obèses. Ces personnes demeurent moins attrayantes à leurs yeux que celles qui ont toujours maintenu un poids santé.
 
Les chercheurs ont analysé les points de vue de 273 étudiants ayant en moyenne 21 ans. On leur a présenté cinq scénarios d’une jeune femme fictive de 31 ans dont le poids avait été modifié pour chaque scénario.
 
On constate que les personnes minces après avoir perdu beaucoup de poids demeurent prisonnières de leur image aux yeux des autres.
 
Ainsi, un historique d’obèse ne peut être effacé avec un retour au poids santé. Ces personnes demeurent toujours moins attrayantes que les autres.
 
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Les enfants obèses pourraient devenir aveugles

En fait, le risque de développer de l’hypertension intracrânienne idiopathique (IIH) chez les enfants obèses serait particulièrement élevé chez les filles de race blanche plus âgées, selon les experts.

Les patients âgés de IIH souffrent généralement de différents symptômes causés par une trop grande pression sur le cerveau, qui peut mener à la cécité.

Les chercheurs ont examiné plus de 900 000 jeunes âgés de 2 à 19 ans et ont diagnostiqué l’IIH chez 78 d’entre eux. Ils ont remarqué que 85 % de ceux-ci étaient des filles, et que la moitié d’entre elles souffraient d’obésité.

« Cette recherche est la meilleure preuve à ce jour que l’obésité est associée à l’IIH chez les enfants. Elle suggère aussi que l’épidémie d’obésité infantile peut mener à une hausse des morbidités reliées à l’IIH, dont la cécité », explique l’auteure de l’étude et docteure au Kaiser Permanente Los Angeles Medical Center Neurology Department, Sonu Brara.

Rappelons que le diabète de type 2, l’hypertension et l’obésité, qui sont des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans, atteignent même les bébés aujourd’hui.