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Le cerveau des anorexiques et des obèses n’a pas les mêmes connexions

Des neuroscientifiques de l’Université du Kansas mentionnent que le cerveau des personnes anorexiques et celui des obèses sont câblés différemment.
 
Pour la première fois, on remarque les façons différentes de répondre du cerveau face à la nourriture pour chaque comportement.
 
« Un des aspects les plus intrigants de ces études du cerveau vis-à-vis de la nourriture est de montrer l’activation de zones de récompense également impliquées dans les études sur la dépendance », explique Laura Martin du Hoglund Brain Center Imaging.
 
En fait, les réponses des zones de récompense sont différentes selon les comportements alimentaires, d’après les résultats présentés lors de la rencontre de la Cognitive Neuroscience Society.
 
On a utilisé l’imagerie cérébrale pour des patients souffrant de l’un des trois types de troubles alimentaires, l’anorexie, l’obésité et le syndrome de Prader-Willi, qui se caractérise par une obésité excessive.
 
On note un lien clair entre les comportements alimentaires et l’activité cérébrale dans les zones de récompense.
 
Un autre chercheur, Kyle Simmons, travaille à mieux comprendre les préférences gustatives selon les différents comportements.
 
« Nous ne savons pas encore si des différences entre les réponses du circuit de la récompense existent entre des personnes minces et obèses. Le comprendre est essentiel si nous voulons développer des interventions efficaces contre l’obésité et certains troubles de l’alimentation », mentionne M. Simmons.
 
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Les femmes obèses devraient perdre du poids avant d’avoir un bébé

Comme le taux d’obésité est à la hausse, davantage de femmes tombent enceintes en étant déjà en surpoids. Ces kilos superflus mettent en danger leur santé et celle de leur futur bébé.

The Royal College of Obstetricians and Gynaecologists (RCOG) recommande aux femmes de maigrir avant d’être enceintes et déconseille de faire un régime pendant la grossesse.

L’organisme indique que près de 40 000 femmes sont considérées comme obèses, avec un indice de masse corporelle de 35 ou plus, et accouchent chaque année.

L’obésité augmente notamment le risque de fausse couche, de caillots de sang, de diabète gestationnel et d’hypertension artérielle. Les femmes obèses sont d’ailleurs plus susceptibles d’avoir besoin d’une césarienne d’urgence.

Les risques pour le bébé sont également importants. Les petits peuvent souffrir d’obésité et de diabète plus tard dans leur vie.

Le RCOG explique qu’en mangeant équilibré pendant la grossesse, on peut même perdre une petite quantité de poids.

Soulignons qu’il n’est pas nécessaire de manger pour deux. Les femmes enceintes n’ont pas besoin de calories supplémentaires avant le troisième trimestre. Un supplément de 200 calories par jour, l’équivalent de deux morceaux de pain grillé, est suffisant.

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Une carence en vitamine D plus nocive pour les ados

Une étude de l’Université du Missouri-Columbia démontre que les jeunes obèses ont besoin d’un plus grand apport en vitamine D pour maintenir une bonne santé.
 
Selon les travaux effectués, et publiés dans le Journal of Agricultural and Food Chemistry, ils auraient besoin de jusqu’à 4 000 UI (unité internationale), soit sept fois la recommandation actuelle de 600 UI. Malgré la grande différence, la dose de 4 000 UI serait sécuritaire et permettrait même d’améliorer la santé des jeunes.
 
« Si les adolescents obèses ne consommaient que les 600 UI recommandés, ils seraient en danger. Il faut 4000 UI pour suffisamment augmenter leur taux de vitamine D. Cela signifie que les médecins doivent évaluer avec attention le taux de vitamine D de leurs patients obèses ou en surpoids », explique l’auteure de l’étude, Catherine Peterson, dans un communiqué.
 
Ces jeunes en surpoids ont tendance à stocker la vitamine D dans les graisses, l’empêchant donc de passer dans le corps.
 
La vitamine D est essentielle à la bonne santé des os, car elle permet d’absorber le calcium.
 
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Les personnes obèses ont besoin de plus de vitamine D

Selon un document publié par The Endocrine Society (TES), les personnes obèses devraient prendre un dosage quotidien qui se situe entre 3 000 UI et 6 000 UI de vitamine D. Cela représente de cinq à dix fois l’apport quotidien recommandé.
 
Alors que l’on croyait que la dose maximale quotidienne devait être 3 000 UI pour les enfants et de 4 000 UI pour les adultes, les auteurs de cette nouvelle recherche affirment qu’il est sans danger de prendre des doses de 4 000 UI pour les enfants de plus de 8 ans et jusqu’à 10 000 UI pour les adultes.
 
« La vitamine D n’est pas toxique à ces doses puisqu’on sait que le corps en fabrique beaucoup plus lorsqu’il est exposé au soleil », explique Michael Holick, professeur à l’École de médecine de l’Université de Boston.
 
Comparativement aux personnes de poids normal, le niveau de vitamine D dans le sang n’augmente que de 50 % chez les obèses lorsqu’ils sont exposés à une lumière artificielle et qu’ils prennent une dose assez forte de vitamine D.
 
« Les personnes obèses sont à haut risque de carence, parce que leur gras corporel emprisonne la vitamine D et l’empêche de circuler dans le sang », dit le professeur Holick.
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Le quart des femmes obèses se croient minces

Une étude américaine publiée dans le journal Obstetrics & Gynecology démontre que le quart des femmes en surpoids se croient en bonne santé.
 
Pour l’étude, on a questionné 2 000 femmes sur leur taille, leurs habitudes alimentaires et leurs exercices physiques, en plus de prendre leurs mesures. Nombreuses sont les femmes qui ignoraient si elles avaient un poids santé ou non.
En fait, 25 % des femmes en surpoids ne se percevaient pas ainsi, alors que 16 % des femmes avec un poids normal avaient également une mauvaise perception d’elle-même. La plupart se croyaient trop grosses et étaient donc deux fois plus susceptibles de sauter des repas.
 
Selon les chercheurs, l’obésité est devenue tellement présente dans notre société que l’image du poids santé est maintenant perdue. Cela a de graves conséquences sur la prévention de l’obésité. Comme plusieurs croient avoir un poids santé, elles ne suivent aucun programme de remise en forme et mettent ainsi leur santé en péril.
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Plus de grossesses non désirées et d’avortements chez les femmes obèses

Selon une étude effectuée auprès de 12 000 répondants par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), les femmes en surpoids de moins de 30 ans sont quatre fois plus nombreuses à déclarer des grossesses non désirées ou des avortements.
 
L’étude portant sur le lien entre l’indice de masse corporelle (IMC) et la santé sexuelle, publiée dans le British Medical Journal, révèle également que les femmes obèses prennent moins la pilule contraceptive et qu’elles consultent moins souvent un gynécologue.
 
Une des raisons évoquées par les spécialistes pour expliquer ce phénomène est le fait que les femmes ayant un surplus de poids éprouvent davantage de crainte à l’idée de se déshabiller devant leur médecin.
 
Les femmes en surpoids ou obèses ont également plus de difficulté à trouver un partenaire. Cela explique pourquoi elles sont trois fois plus nombreuses que les femmes du même âge et de poids normal à rencontrer leur partenaire sur le Web, là où elles peuvent cacher leur poids, du moins jusqu’à la véritable rencontre.
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Les petits obèses ont plus de risques de blessures

La revue Pediatrics rapporte que les jeunes enfants obèses sont plus susceptibles de se blesser aux jambes, aux chevilles et aux pieds. Chez les petits de poids normal, les blessures se situent surtout à la tête et au visage.
 
Wendy J. Pomerantz et son équipe du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center en Ohio ont noté ce phénomène, dont ils ne s’expliquent pas encore totalement les raisons.
 
Pour l’étude, les chercheurs ignoraient comment les blessures étaient survenues, mais c’était un fait, les jeunes enfants obèses avaient plus de blessures aux membres inférieurs. On croit qu’ils sont plus vulnérables en courant et en marchant et qu’ils auraient besoin de chaussures adaptées offrant un bon soutien à la cheville.
De plus, l’activité physique progressive serait préférable pour les petits dodus. Les obèses sont plus fragiles aux entorses, aux foulures et aux luxations que les petits de poids normal.
 
Par contre, pour les blessures aux membres supérieurs comme les bras, les enfants obèses et de poids normal ne présentaient pas de différences.
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Les enfants de 3 ans obèses ont plus de risques de développer des maladies cardiaques

Les enfants qui sont obèses à l’âge de 3 ans ont plus de risques d’être victimes de maladies cardiaques à long terme.
 
Selon le journal Pediatrics, une équipe de chercheurs de l’université de la Caroline du Nord ont découvert que ces petits obèses ont un taux de protéine C réactive très élevé. Ceci est un marqueur annonçant d’éventuelles maladies cardiovasculaires.
 
De plus, on a noté un taux élevé de deux autres marqueurs inflammatoires, un à l’âge de six ans et l’autre à neuf ans.
 
Selon l’étude, chez les tout-petits de 3 à 5 ans qui sont obèses, 40 % ont un taux élevé de protéine C réactive contre seulement 17 % des enfants de poids normal du même âge.
 
Chez les 15 à 17 ans qui sont également obèses, ce taux passe à 83 %, comparativement à seulement 18 % de ceux ayant un poids normal.
 
« Nous avons été surpris par ces résultats. Nous avons établi une relation entre le poids et les niveaux élevés de certains marqueurs inflammatoires à des âges plus précoces que ce que nous avions prévu. Beaucoup d’adultes savent très bien qu’être en surpoids ou obèses n’est pas bon pour eux. Mais la plupart d’entre eux ne réalisent pas que cela peut également être mauvais pour les jeunes enfants », mentionne l’auteure principale de cette nouvelle étude, Asheley Cockrell.
 
Cette étude a été réalisée auprès de 16 335 jeunes âgés de 1 à 17 ans.
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La puberté est retardée chez les garçons en surpoids

Une nouvelle étude affirme que les garçons en surpoids voient leur puberté être retardée comparativement aux jeunes du même âge, mais de poids normal.
 
Selon les Archives of Pediatric and Adolescent Medicine, les garçons obèses ont deux fois plus de chances de ne présenter aucun signe de puberté à l’âge de 11 ans, alors que leurs congénères de poids normal commencent à voir apparaître quelques signes.
 
Un surplus de poids a donc des effets négatifs sur la croissance et le développement des jeunes préadolescents.
 
400 garçons ont participé à la recherche dont les conclusions démontrent que 14 % des obèses n’avaient pas vu des signes de maturité apparaître à la fin de l’étude, alors que ce taux était de 7 % pour les jeunes de poids normal du même âge.
 
Ce phénomène est tout le contraire chez les jeunes filles qui, si elles sont obèses, ont plus de chances de voir leur puberté se présenter plus tôt.
 
Le plus triste est que cela ajoute à la pression exercée chez les jeunes garçons obèses qui peuvent déjà être ridiculisés en raison de leur apparence et se voient ainsi stigmatisés par leur puberté tardive.
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Les personnes obèses se voient refuser des postes en raison de leur poids

Selon un sondage réalisé par Slimming World auprès de 2000 personnes, certains employeurs refusent d’embaucher des personnes obèses, car ils croient que ce se sont des travailleurs paresseux.

Ainsi, selon l’enquête comprenant 200 employeurs, le quart des hommes ont dit qu’ils refuseraient un candidat ayant un surpoids et un patron sur dix affirme l’avoir déjà fait.

Le sondage révèle également que les obèses gagnent moins d’argent que les autres employés. Ils sont souvent négligés lors des promotions, et ce, malgré leurs compétences et ils sont plus susceptibles d’être victimes d’intimidation.

Le quart des personnes interrogées disent avoir reçu des commentaires désobligeants à propos de leur poids sur leur lieu de travail. Seulement 16 % des personnes ayant un surplus de poids se sentent soutenues par leurs collègues dans leurs efforts de perdre du poids.

Pour les spécialistes, ce sondage démontre à quel point les personnes obèses peuvent être victimes de discrimination en milieu de travail.