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Art de vivre

Plus de 90 millions d’Américains sont obèses

Selon les chiffres publiés par le Centers for Disease Control and Prevention (CDC) le nombre d’Américains qui souffrent de surpoids ne cesse d’augmenter.

C’est l’État de la Virginie-Occidentale qui détient le triste record du pourcentage de la population la plus obèse du pays. Selon les chiffres de 2017, 38 % de la population était en surpoids.

À l’autre bout du spectre, c’est au Colorado que les gens ont le moins de problèmes d’obésité. Seulement 22,6 % des habitants de cet État ont un problème d’obésité.

Le plus inquiétant dans ces résultats, c’est l’accroissement du nombre d’obèses sur une période de 25 ans. En 1990, seulement 15 % de la population américaine était considérée obèse. Aujourd’hui, aucun État américain ne se rapproche de ces chiffres.

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L’étude du CDC s’est aussi intéressée aux groupes ethniques touchés par ce problème de surpoids. Les Afro-américains, les hispanophones et les Américains d’origine mexicaine voient leur nombre d’obèses croitre plus rapidement que les autres ethnies de la société.

Voici les États américains avec le plus grand nombre de personnes obèses : 

  1. Virginie-Occidentale (38.1 %)
  2. Mississippi (37.3 %)
  3. Oklahoma (36.5 %)
  4. Iowa (36.4 %)
  5. Alabama (36.3 %)
  6. Louisiane (36.2 %)
  7. Arkansas (35 %)
  8. Kentucky (34.3 %)
  9. Alaska (34.2 %)
  10. Caroline du Sud (34.1 %)

Photo : Boris Roessler/picture-alliance/Cover Images

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Sport et Santé

Le décalage horaire : l’une des causes de l’obésité

Les scientifiques de cette recherche ont associé le dysfonctionnement du rythme circadien (cycle de sommeil et d’éveil) à la perturbation de la bactérie intestinale.

Habituellement, le mécanisme du cycle de sommeil et d’éveil aide l’organisme à synchroniser les activités biologiques, informe Science World Report. Comme celui-ci est déphasé par le décalage horaire, l’altération de son rythme affecte directement la communauté microbienne du système digestif.

Par conséquent, des problèmes métaboliques peuvent apparaître et notamment mener à l’obésité. Selon les chercheurs, considérant le rythme déjà effréné que l’on mène, croiser fréquemment différents fuseaux horaires ne fait qu’exacerber le métabolisme.

Lors de l’expérience du dérangement du rythme circadien chez des rongeurs, ceux-ci prenaient non seulement du poids, mais l’altération microbienne engendrait aussi des symptômes du diabète.

« Cette découverte surprenante nous permettra sans doute de créer des traitements préventifs pour ces gens, afin de réduire les risques de complications », a expliqué Eran Elinay, auteur de l’étude publiée dans la revue spécialisée Cell.

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Bébé et cie

Les repas en famille, une tradition qui se perd

Mieux vaut commencer tôt, évidemment, parce que faire changer les habitudes d’un adolescent peut représenter un défi de taille.

Plusieurs études indiquent que le repas en famille diminue l’obésité et les troubles de l’alimentation chez l’enfant, en plus d’apporter une dose supplémentaire de bonheur.

Parenting Squad rappelle également que discuter pendant le repas développe le vocabulaire des enfants encore mieux que pendant la lecture.

Quelques astuces pour faire de cet instant une priorité :

– Ne laissez personne s’isoler pendant le repas. Aucun téléphone, iPod ou télévision.

– Mettez de la musique et profitez-en pour laisser les enfants vous faire connaître leurs groupes préférés à tour de rôle.

– Faites un tour de table pour vous mettre à jour sur les devoirs et leçons, les examens, congés et sorties scolaires, puis partagez les prochaines activités prévues en famille.

– Concoctez les repas avec les enfants pour profiter d’un temps supplémentaire ensemble, tout en leur donnant des trucs culinaires.

– N’hésitez pas à apporter une pizza de temps à autre pour le plaisir. Profitez-en pour jouer à un jeu simple pendant le souper.

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Uncategorized

Les réseaux sociaux pour perdre du poids plus efficacement

Le rapport de l’équipe du Dr Hutan Ashrafian, du département de chirurgie et du cancer de l’Imperial College à Londres, a été présenté lors du congrès WorldInnovation Summit for Health (WISH).

Il faisait partie des 20 rapports rédigés pour la politique mondiale de la santé, indique Science World Report. Bien que la contribution des médias sociaux soit modeste pour aider à la perte de poids, elle est tout de même présente.

« L’un des avantages de l’utilisation des médias au lieu d’autres méthodes est la gratuité. Faire partie d’une communauté qui les soutient permet aux patients de communiquer tant avec leurs pairs que des spécialistes de la santé », a expliqué Dr Ashrafian.

Selon lui, cela responsabilise également les personnes obèses en quête de perte de poids, tout en diminuant les coûts du système de santé. Aux États-Unis, plus du tiers des adultes sont obèses, ce qui a coûté 147 milliards $ pour l’année 2008 à elle seule.

Les médias sociaux font donc désormais partie des stratégies pour encourager la population à perdre du poids.

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L’épidémie d’obésité continue son ascension

Ce ne sont pas toutes les régions qui sont aussi durement touchées. Science World Report mentionne que certains États comme le Delaware, l’Idaho, le New Jersey, le Tennessee et le Wyoming n’arrivent toujours pas à stopper l’augmentation du taux d’obésité.

« L’obésité en Amérique a atteint un point critique. Les taux d’obésité sont trop élevés, et la disparité de ceux-ci est profondément troublante », a indiqué le Dr Jeffrey Levi de la Trust for America’s Health.

« Nous devons accentuer la prévention, et les efforts doivent commencer dès la petite enfance », insiste Levi. Selon lui, les communautés n’ont pas encore implanté de programmes ou de politiques efficaces.

Les taux ont grimpé à près du tiers de la population dans 20 États, mentionne le rapport établi par la Trust for America’s Health. Le Mississippi et la Virginie-Occidentale détiennent le ratio d’obésité le plus élevé avec 35,1 % de la population, alors que l’Arkansas suit de près avec 34,6 %.

Plus alarmant encore, l’obésité morbide a quadruplé depuis 30 ans.

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Pour perdre du poids, mangez japonais!

Au Japon, il y a un très faible taux d’obésité (3 % chez les femmes), entre autres parce qu’ils consomment des aliments de qualité, mais en petite quantité. Ils mangent modérément et tranquillement tout en dégustant des aliments frais, pour la plupart. Un Nippon saura toujours s’arrêter avant de se sentir gonflé.

Ils n’ont pas peur de concocter des plats faciles avec des aliments frais (fruits, légumes, poisson, riz, végétaux), laissant ainsi de côté le gras, la farine, la cuisine préparée et même l’utilisation du micro-ondes.

Au petit-déjeuner, ils mettent tout leur cœur dans la préparation d’un repas équilibré et soutenant incluant végétaux, riz, soupes (le miso), œufs et thé vert : un essentiel à leurs vies, relate le site Améliore Ta Santé.

Le riz est la base de leur alimentation. Ils mangeront du poisson cru comme le maquereau et le saumon, ainsi que des pâtes. Ce ne sera toutefois pas des spaghettis, mais plutôt de l’udon ou des ramens faibles en glucides.

Ils y mélangeront des antioxydants riches en calcium et protéines tels que le soja et le tofu. Un moyen de remplacer les produits laitiers quasi inexistants dans leur régime.

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Les femmes ménopausées et obèses doivent bouger pour éviter une arythmie

L’arythmie est un rythme cardiaque irrégulier. Il peut être plus fort que la normale, soit plus de 100 battements à la minute ou plus faible, donc moins de 50 battements à la minute.

Selon un rapport de l’École de médecine de l’Université de Stanford en Californie, faire de l’exercice est bon pour contrer l’arythmie, toutefois, il serait meilleur et plus concluant si l’activité physique est intense.

Les chercheurs ont questionné 81 000 femmes ménopausées de tailles fortes et âgées de 50 à 79 ans. Ils leur ont demandé combien de fois elles sortaient plus de 10 minutes par jour et combien de fois elles pratiquaient de façon vigoureuse une activité physique.

Il s’est avéré que les femmes ménopausées obèses qui ont été jugées les plus actives physiquement ont 20 % moins de risques de développer une fibrillation auriculaire (FA) par rapport à celles qui sont aussi rondes, mais qui ont un faible niveau d’activité physique.

Même si certaines recherches antérieures démontrent que l’exercice intense peut augmenter le risque de FA, cela ne concerne pas les femmes âgées, selon les chercheurs cités sur le site Science World Report.

La recherche a été publiée dans le Journal of the American Heart Association.

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L’obésité augmente le risque de certains cancers

Selon des chercheurs britanniques, parmi les 22 cancers les plus courants, 17 ont un lien avec l’obésité des gens.

Chez les femmes obèses, le risque de développer un cancer de l’utérus est particulièrement alarmant. 

En effet, à chaque prise de poids de 5 kg/m2, il y aurait 62 % plus de risques qu’une femme soit atteinte d’un cancer de l’utérus. Ce gain de poids déclenche 31 % plus de risques du cancer de la vésicule biliaire, 25 % du cancer des reins et 9 % du cancer de la thyroïde, énumère Top Santé. 

Des chercheurs britanniques ont fait l’importante association obésité-cancer à la suite de l’analyse de 5 millions de personnes âgées de 16 ans et plus sur une période de 7 ans. Plus précisément, ils se sont attardés sur les 167 000 sujets qui ont été touchés par un cancer durant l’étude parue dans The Lancet

Pour le docteur Krishnan Bhaskaran, principal auteur de l’étude : « Le surpoids agit selon divers processus selon le type de cancer ». 

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Les troubles du métabolisme frappent aussi les enfants obèses

Les troubles du métabolisme habituellement réservés aux adultes guettent désormais aussi les enfants en bas âge qui sont en surpoids ou obèses.

Diabète, hypertension et maladie cardiovasculaire… ce sont toutes des pathologies qui peuvent toucher autant les adultes obèses que les bambins qui ont des problèmes de poids.  

Parus dans le Journal of the American Medical Association Pediatrics, les résultats de chercheurs italiens démontrent que parmi les 5700 enfants âgés de 2 à 6 ans entre 2011 et 2012, 600 d’entre eux ont dépassé leur poids santé en à peine un an. 

Grâce à un test sanguin, on a découvert que 40 % des enfants obèses souffraient d’hypertension, de mauvais cholestérol et/ou d’un niveau de sucre élevé dans le sang… tous des troubles qui peuvent engendrer un risque accru de diabète de type 2 et de maladie cardiovasculaire. 

La stéatose hépatique non alcoolique (affection dans laquelle la graisse s’accumule dans les cellules du foie) a même frappé un tiers des bambins en surpoids ou obèses, écrit Top Santé. 

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Les nouilles instantanées augmentent le risque de maladies cardiaques

Hyun Joon Shin chercheur de l’étude a décidé d’analyser plus en profondeur le lien entre la grande consommation de nouilles instantanées et le risque de syndrome cardiométabolique. Il s’agit d’une agglomération d’anomalies métaboliques qui augmente le risque de maladies cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et de diabète.

Sa recherche s’est avérée concluante. Manger plus de deux fois par semaine des nouilles de type « Ramen » a de réelles conséquences. Or, les risques étaient plus marqués chez les femmes.

Le bisphénol A (BPA), produit chimique utilisé pour le conditionnement des pâtes dans des contenants en mousse de polystyrène, pourrait être l’un des responsables de cette différence entre les sexes. Selon des travaux antérieurs, le BPA affecte la manière dont les hormones (surtout l’œstrogène) envoient des signaux à travers le corps, mentionne Science World Report.

Cette nouvelle étude parue dans le Journal of Nutrition s’est penchée sur les habitudes alimentaires des habitants de la Corée du Sud. Ce peuple est réputé pour être le plus grand consommateur de nouilles instantanées dans le monde.