Catégories
Uncategorized

L’obésité infantile plus fréquente avec des parents divorcés?

Les résultats sont basés sur l’analyse de plus de 3000 participants de 127 différentes études à travers la Norvège. Parmi les données récoltées, on retrouve la taille, le poids et la circonférence de la taille des enfants en moyenne âgés de 8 ans.

Les résultats ont été classifiés en se basant sur le genre, le statut des parents (mariés, divorcés), et les facteurs tels que l’éducation de la mère, l’ethnicité et le lieu de résidence ont été considérés.

En tout, 19 % des enfants étaient en surpoids, alors que l’obésité touchait 8,9 % des enfants. Selon Science World Report, les filles étaient plus touchées que les garçons.

Le taux d’obésité était plus élevé parmi les enfants de parents divorcés comparativement aux enfants de parents mariés. Les enfants du premier groupe étaient 54 % plus vulnérables au surpoids et 89 % plus à risque d’obésité.

Selon les chercheurs, il existe plusieurs possibilités pour expliquer ce taux élevé de risque d’obésité. Notamment, un revenu moins élevé et moins de temps pour préparer des repas équilibrés. Les enfants seraient donc nourris d’aliments mauvais pour la santé. 

Catégories
Uncategorized

Obésité infantile en baisse significative aux États-Unis

Il s’agit des résultats publiés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), rapporte Top Santé. Si l’on compare les données de ce jour avec celles de 2003, l’obésité chez les 2 à 5 ans a diminué de 43 %.

Même Michelle Obama, femme du Président des États-Unis, a commenté ces résultats ahurissants. Elle s’implique énormément dans la santé des Américains et se dit « ravie des progrès accomplis ces quelques dernières années pour faire baisser le taux d’obésité parmi les plus jeunes Américains. »

Les 4 dernières années ont été décisives selon la Première dame. Les parents et enfants participent de plus en plus au programme Let’s Move, qui encourage l’activité physique et des habitudes de vie plus saines.

Top Santé indique que jeudi dernier, 27 février, la Maison-Blanche a déclaré obligatoire l’affichage de la valeur nutritionnelle sur les emballages des aliments. Une mesure qui permettra aux consommateurs d’effectuer des choix éclairés.

Rappelons qu’il s’agit néanmoins d’une petite victoire, puisque globalement, l’obésité chez le reste des Américains n’a pas diminué.

Catégories
Uncategorized

Les 3 facteurs de risque les plus associés à l’obésité infantile

Selon une étude de l’Université de l’Illinois, chez les enfants d’âge préscolaire qui présentent un surpoids ou de l’obésité, les facteurs de risque suivants sont les plus communs : un sommeil inadéquat, un IMC qui classe le père ou la mère dans la catégorie de surpoids ou d’obésité et les restrictions alimentaires des parents, visant à contrôler le poids de l’enfant.

« Nous avons évalué 22 variables qui ont précédemment été déterminées comme des prédispositions à l’obésité infantile. Ce sont les 3 qui sont fortement ressorties du lot, et ce, même si on prenait en considération les 19 autres », explique Brent McBride, professeur du développement humain et directeur du laboratoire du développement de l’enfant à l’université.

Ce sont 329 parents de l’Illinois, dans le cadre d’une recherche nommée STRONG (Synergistic Theory and Research on Obesity and Nutrition Group) Kids Program, qui ont participé à la recherche. Il s’agissait de la première analyse de cette étude longitudinale, alors que les enfants étaient âgés de 2 ans.

Les facteurs analysés étaient très étendus et comprenaient les informations démographiques, l’historique de santé tant du parent que de l’enfant, ainsi que les habitudes alimentaires familiales.

« Si vous, en tant qu’adulte, vivez dans un environnement qui vous permet de conserver un poids élevé, rappelez-vous que votre enfant vit dans le même environnement », insiste McBride.

Catégories
Uncategorized

L’exposition du foetus à la nicotine déclenche un changement métabolique qui engendre l’obésité

C’est Daniel Hardy, docteur de la Schulich School of Medicine & Dentistry de London, au Canada, qui en est arrivé à cette conclusion. L’absorption de nicotine par le fœtus engendre des conséquences négatives, notamment le risque de l’obésité. L’une des causes réside dans un syndrome métabolique déclenché par la nicotine, qui modifie le foie et entraine une production excédentaire de triglycérides.

Pour corroborer cette théorie, des rats ont reçu 1 mg par kg par jour de nicotine, soit l’équivalent de ce à quoi un fumeur adulte est habitué. Les scientifiques ont noté qu’à la naissance, la progéniture était plus petite que la moyenne. Mais 6 mois plus tard, alors que les rats atteignaient leur maturité, ils ont découvert un changement marquant au niveau du foie, créant un excédent de triglycérides, un facteur précurseur de l’obésité.

« Nous savions que fumer pendant la grossesse était nocif. Mais le problème, c’est qu’un cinquième des femmes enceintes au Canada continue à fumer, et 30 études ont démontré que les bébés de mères fumeuses ont 47 % plus de risques de développer un surpoids », déclare Hardy.

Mais il semble y avoir de l’espoir, selon Science World Report. La recherche, en parallèle, étudie l’effet de l’acide folique, qui pourrait être l’antidote de la surproduction de triglycérides. Les effets se sont avérés concluants sur le foie endommagé d’animaux.

Catégories
Uncategorized

Les bébés nourris à la cuillère plus à risque d’obésité infantile

L’étude, menée par les chercheurs de l’Université Swansea, avait pour objectif la comparaison du style d’alimentation en rapport avec le poids des enfants. Ceux qui étaient nourris à la cuillère par le parent étaient plus enclins à l’obésité que les bébés qui utilisaient eux-mêmes la cuillère ou leurs mains.

L’analyse des habitudes alimentaires de 298 bébés a été effectuée. Lors de la première phase, les chercheurs évaluaient le bébé et la méthode d’introduction de la nourriture solide entre 6 et 12 mois. Les mêmes enfants étaient âgés de 18 à 24 mois dans la seconde phase, où on évaluait le poids et le comportement lors des repas.

Bien que les facteurs tels que l’historique maternel, l’allaitement et le poids à la naissance aient été considérés, les résultats ont tout de même démontré que les bébés qui se nourrissaient eux-mêmes avaient pris l’habitude de cesser de manger à satiété. Quant à ceux nourris à la cuillère, ils avaient tendance à prendre plus de poids, puisqu’ils mangeaient trop.

« Cela indique qu’un bébé est en mesure de gérer son appétit, ce qui pourrait avoir un effet bénéfique à long terme sur son poids et son habitude alimentaire durant toute l’enfance », a indiqué Amy Brown, responsable de la recherche, dans un communiqué.

Science World Report mentionne que l’étude se retrouve dans la revue Pediatric Obesity.

Catégories
Uncategorized

Traitement contre l’obésité infantile à l’aide de la metformine

Selon une nouvelle étude relative à l’efficacité de la metformine sur la perte de poids chez les enfants obèses, les scientifiques affirment que les effets sont à peine notables.

Bien que le médicament pour traiter le diabète de type 2 soit approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, de nombreux médecins l’utilisent également en traitement complémentaire pour la perte de poids chez les moins de 18 ans. La médication s’inscrit dans un programme de modification de l’alimentation et du niveau d’activité physique, puisqu’elle est jugée sécuritaire.

Or, selon les 14 essais cliniques et les 946 cas d’enfants de 10 à 16 ans étudiés par les chercheurs, les résultats sont très modestes. En moyenne, rapporte Medical News Today, l’indice de masse corporelle (IMC) des candidats n’aurait été réduit que de 5 %.

En conclusion, les scientifiques jugent insuffisants les avantages de l’apport de la médication par rapport aux besoins de santé des enfants obèses.

Catégories
Uncategorized

L’obésité infantile serait due à 3 principaux facteurs

Le gène de l’obésité est un facteur de plus en plus concluant lorsqu’on parle de surpoids, selon une récente étude. Il serait présent surtout chez les adultes, mais chez les enfants aussi, surtout les fillettes. Il porte les gens à trop manger, parce que cela les fait « se sentir mieux ».

Le coupable est un gène qui agit sur la satisfaction de la récompense. Il peut être relié à 3 facteurs : les prédispositions génétiques, le stress environnemental et le bien-être émotionnel.

Les responsables de la recherche, Dre Patricia Silveira et Dr Robert Levitan, respectivement de l’Université McGill et de l’Universié de Toronto, ont déclaré dans un communiqué : « En d’autres termes, l’obésité est liée à la génétique, au développement précoce et aux circonstances environnantes ».

Les tests effectués ont porté sur 150 enfants de 4 ans. Parmi ceux-ci, certaines mères avaient souffert de dépression ou de pauvreté pendant et/ou après la grossesse. Leurs enfants ont été suivis de la naissance à l’âge de 10 ans.

C’est en soumettant les enfants à divers éléments de récompense alimentaire et en tenant compte des facteurs génétiques, de croissance et d’environnement que les chercheurs en sont venus à cette conclusion.

Vous pouvez lire les détails sur le site de Science World Report.

Catégories
Uncategorized

Les lois anti-malbouffe seraient efficaces

L’étude, publiée dans la revue Pediatrics, explique que ces lois anti-malbouffe contribueraient à réduire le nombre de cas d’obésité infantile.

En fait, les chercheurs ont découvert que les enfants vivant dans les villes où ce type de loi est respecté avaient perdu davantage de poids que les autres.

Toutefois, il n’a pas été réellement prouvé qu’une corrélation existe entre ces lois et le poids des enfants. Les médecins sont malgré tout optimistes et saluent l’initiative du gouvernement d’avoir instauré de telles règles au sein des écoles.

De plus, les experts ont affirmé que pour que les lois anti-malbouffe soient efficaces, elles devaient être appliquées tout au long des années d’études de l’enfant.

Rappelons que la malbouffe, qui ne contient pas tous les éléments nutritifs dont le corps à besoin, nuirait au développement des enfants.

Les jeunes qui grandissent en consommant régulièrement de la malbouffe seraient moins intelligents que leurs pairs qui ont une alimentation mieux équilibrée. À huit ans, ces enfants auraient un QI inférieur de deux points.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

L’obésité n’affecte pas nécessairement la pression sanguine

Une étude effectuée en Louisiane a permis de démontrer que le taux d’obésité chez les enfants et les adolescents a presque triplé durant les 20 dernières années. Cependant, la pression sanguine n’a pas pour autant augmenté chez ces jeunes gens.

Durant l’étude, en fait, la pression sanguine n’a pas évolué de façon constante. Par exemple, parmi les jeunes filles de race blanche, le niveau d’obésité a monté de 7,9 à 14,4 %, tandis que la pression systolique est tombée de 103 à 101 mm Hg et que la pression diastolique est passée de 64 à 61. Pendant ce temps, la pression sanguine passait de 9,4 à 5,2 %.

En fait, seulement 154 enfants obèses sur 11 478 avaient une pression sanguine élevée. En ce sens, le traitement de l’obésité infantile ne réduirait pas nécessairement les futurs risques pour la santé.

Rappelons que selon des données parues dans l’International Journal of Obesity, un enfant obèse s’exposerait hors de tout doute à des risques pour sa santé adulte. Et réduire son indice de masse corporelle aurait un certain effet protecteur, quoique léger.

Catégories
Uncategorized

Les repas en famille sont une solution santé

Des chercheurs de la revue Rutgers ont révélé de nombreux avantages pour les enfants qui mangent fréquemment en famille, comme l’apport accru en fruits, légumes, fibres et aliments riches en calcium et vitamines.

En effet, il a été démontré que plus une famille mangeait ensemble, moins les enfants consommaient des composantes alimentaires nocives pour la santé, comme des boissons gazeuses.

Bien que les chercheurs aient constaté un faible lien entre les repas en famille et le risque d’obésité, les enfants qui partageaient le repas avec leurs parents avaient tendance à avoir un indice de masse corporelle plus faible que les autres qui avaient l’habitude de se nourrir en solo.

Il a également été prouvé que le repas familial est un moment privilégié dans la journée pour fraterniser et discuter. La santé morale de tous s’en porterait d’ailleurs mieux la plupart du temps.

En Amérique du Nord, 40 % du budget alimentaire d’une famille typique s’écoule à l’extérieur de la maison (cafétéria, restaurants, etc.).

En plus de l’effet négatif sur le budget familial, ce choix de vie est mauvais pour la santé des parents et des enfants.

De plus en plus de familles ne mangent pas ensemble. Faute de temps, de volonté et d’outils, les repas familiaux sont souvent signes d’occasions spéciales et de vacances, maintenant.