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La présentation influence la consommation de fruits

Une recherche effectuée par l’Université Cornell, dans l’État de New York, démontre qu’il est facile de faire augmenter la consommation de fruits.

En effet, présenter un fruit dans un plat coloré, plus attrayant pour l’oeil, augmente de 104 % ses ventes.

Dévoilée dans quelques jours lors de l’American Dietetic Association Conference de San Diego, cette étude met en évidence une meilleure mise en marché des fruits pour augmenter leur consommation.

Appuyée par la Maison Blanche aux États-Unis, et en particulier par la première dame, Michelle Obama, cette initiative rappelle que ces dispositions peuvent facilement être mises en place à la maison ou dans les écoles pour faire mieux apprécier les fruits aux enfants.

Les chercheurs de l’Université Cornell rappellent que la consommation de fruits est un excellent moyen de combattre l’obésité infantile, un fléau de plus en plus important en Amérique.

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Plus d’intimidation pour les jeunes obèses

Un enfant obèse serait plus à risque de souffrir d’une maladie chronique, mais aussi d’intimidation que les autres. C’est à ce constat que sont parvenus des chercheurs européens en voulant établir les enjeux de l’augmentation de l’obésité chez les enfants depuis les dernières années.

Pour ce faire, ils ont évalué des données portant sur 8 568 jeunes Irlandais de 9 ans. Il s’agissait de renseignements recueillis par le biais de sondages, lesquels étaient faits dans le cadre scolaire avec les enfants, puis à la maison avec ces mêmes enfants et leurs parents.

Les risques pour la santé des enfants étaient entre autres les problèmes métaboliques, musculosquelettiques et cardiaques, de même que certains types de cancers. Quant à l’intimidation, il semble qu’elle soit l’une des conséquences des stéréotypes liés à l’obésité.

D’autre part, les enfants accusant un surpoids semblaient plus propices à souffrir d’inégalités sociales et de problèmes d’éducation et psychologiques.

On a finalement remarqué, comme lu sur Eurekalert, que le surpoids était un problème touchant plus souvent les filles que les garçons.

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Les parents sont plus conscients de l’obésité infantile

Une enquête menée auprès de 2 000 parents révèle que nous sommes de plus en plus concernés par l’obésité. Il semble même qu’un grand nombre d’entre eux (85 %) se sont dits responsables de l’état de santé de leurs enfants et souhaiteraient faire plus d’exercice avec eux.

Cette recherche américaine a aussi confirmé le taux grandissant d’obésité infantile dans la société d’aujourd’hui : un parent sur huit considérait que son enfant accusait un surpoids, lisons-nous sur OnePoll.

Plusieurs ont par ailleurs répondu que leur enfant était obèse et la majorité de ces derniers ont avoué tenir comme responsable leur mauvaise alimentation. Ajoutons que certains parlent encore beaucoup d’une possible raison génétique pour expliquer les problèmes de poids de leur progéniture.

Bien que les parents semblent conscients des défis que représente l’obésité chez la génération de demain, très peu semblent équipés pour y répondre efficacement. L’éducation demeure la meilleure voie.

À l’heure actuelle, seulement 58 % des répondants disaient avoir un enfant de poids normal. On prédit qu’en 2050, 25 % des enfants seront obèses, c’est-à-dire qu’ils auront un indice de masse corporelle supérieur à 30.

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Multiples influences sur l’obésité infantile

En se basant sur l’idée que l’obésité infantile peut être abordée en fonction du comportement et de facteurs multiples et externes, des chercheurs incluent maintenant le marketing et le milieu de vie parmi ces derniers.

Précisément, une étude parue dans Pediatrics suggère que les nouvelles télévisées ont plus d’influence que les autres sources d’information quant aux changements comportementaux individuels.

D’autre part, les journaux semblent plus toucher le milieu de vie, en ce sens qu’ils apportent des changements à l’école, dans le voisinage et dans l’industrie des boissons. La télévision serait plus directement liée aux solutions parentales quant au comportement de l’enfant.

Les solutions les plus souvent trouvées par les parents étaient un changement du régime alimentaire (45 %) et l’exercice (36 %).

Ces résultats de l’École de santé publique Johns Hopkins Bloomberg proviennent d’une analyse de sources d’information parues entre 2000 et 2009.

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On comprendrait mal l’obésité infantile

Selon une équipe de chercheurs de l’Université de l’Illinois, l’obésité infantile dépend de multiples facteurs, lesquels sont variés et parfois difficiles à cibler. La nouvelle approche qu’ils proposent pour ce problème a été publiée dans Child Development Perspectives.

En général, lorsqu’un enfant souffre d’obésité, on suggère plus d’exercices physiques et on leur demande de manger moins. Pourtant, quand on regarde plutôt pourquoi ces enfants mangent trop et ne bougent pas suffisamment, on réalise que les raisons sont nombreuses.
 
Les chercheurs ont relevé entre autres le temps d’écoute de la télévision, les effets de l’allaitement et même le quartier dans lequel vit l’enfant. Bien sûr, on a aussi pris en considération les prédispositions génétiques.
 
Ce dernier facteur, qui semblait pourtant être devenu un mythe au cours des dernières années, a encore toute son importance. On estime que 30 à 40 % de la population ont des marqueurs génétiques les prédisposant à de plus grands risques d’obésité.

On espère donc mieux comprendre ce problème de santé en l’abordant selon les aspects « cellule, enfant, clan (ou famille), communauté, pays et culture ».

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Recommandations d’éducatrices quant à l’obésité

L’Association nationale des puéricultrices de la France a fait part de recommandations quant à l’obésité infantile. Elles suggèrent en fait un modèle d’hygiène de vie.

Bien que faire des activités physiques et bien manger soit au centre des préoccupations encore une fois, les éducatrices mentionnent cette fois l’importance du sommeil chez l’enfant.
 
Mentionnons au passage qu’au cours des derniers mois, on a souvent parlé d’un lien entre le manque de sommeil et le développement de l’obésité chez l’enfant.
 
L’association appuie donc cette ligne de pensée et soutient que le sommeil est en effet primordial quant au maintien d’une bonne santé.

Laurence Guéry, coordonnatrice du réseau de prévention et prise en charge de l’obésité des Yvelines, a affirmé : « Il faut savoir que le sommeil joue un rôle important dans la mise en place des mécanismes de régulation de l’appétit et de la dépense énergétique ».

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L’allaitement diminue les risques d’obésité infantile

Les enfants nés d’une mère souffrant de diabète de grossesse auraient un risque plus élevé de souffrir d’obésité infantile, mais selon ce que rapporte HeathDay News, une nouvelle étude prouve que l’allaitement diminue ce risque. 

Parmi les bébés ayant été exposés au diabète dans l’utérus de leur mère, ceux ayant été allaités durant 6 mois ou plus étaient moins sujets à l’obésité infantile à l’âge de 6 à 13 ans que les enfants dont la mère n’avait pas souffert de diabète durant sa grossesse.

Soulignons que les résultats de cette recherche étaient les mêmes pour les bébés de différentes ethnies.

Toutefois, cet effet protecteur n’a pas été perçu chez les bébés ayant été allaités durant moins de six mois.

La chercheuse principale, Dr Dana Dabelea, a déclaré : « Nos données suggèrent que la promotion de l’allaitement pourrait être une stratégie efficace pour réduire les risques d’obésité infantile chez les descendants de mères ayant souffert de diabète de grossesse. »

Dr Dabelea souligne également que l’obésité infantile et l’exposition au diabète de grossesse dans l’utérus ont toutes deux été liées au développement futur d’un diabète de type 2.

Cela signifie que l’allaitement pourrait également aider à réduire les risques futurs de développement du diabète de type 2.

Un expert ayant écrit un éditorial par rapport à cette recherche a affirmé que ces découvertes renforçaient ainsi l’importance de l’allaitement.

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Nos enfants mangent-ils trop de collations?

Est-ce que les collations jouent un rôle dans l’épidémie de cas d’obésité infantile que l’on observe depuis quelques années?

Selon Gina Bucciferro, pédiatre et diététicienne du Centre médical de l’Université de Loyola, les collations peuvent jouer un rôle important dans l’apport quotidien de nutriments nécessaires à la bonne santé d’un enfant, lit-on sur Medical News Today.

Aux États-Unis seulement, 88 % des enfants n’ingèrent pas la quantité attendue de fruits par jour et 92 % ne mangent pas suffisamment de légumes pour répondre aux mêmes critères.

Les collations devraient donc être perçues comme une manière efficace de combler ces manques nutritionnels, mais certaines règles devraient être respectées

Ainsi, on recommande de se sustenter après avoir fait une activité physique et l’on propose à ce moment de manger des fruits, des légumes et des céréales entières sans sucre ni gras.

De plus, en proposant ces mêmes aliments deux à trois heures avant un repas, on répondra encore une fois aux besoins nutritionnels de l’enfant sans gâcher son appétit, ce qu’un aliment riche en gras ferait.

D’autre part, il faut éviter de proposer les collations comme des récompenses, car notre relation avec la nourriture se crée à un jeune âge.

Finalement, demeurez aux aguets quant à votre enfant afin de déceler s’il mange une collation pour se désennuyer. Si c’est le cas, proposez plutôt une activité, qu’elle soit physique ou qu’il s’agisse de colorier tout simplement. Réduire le temps devant la télévision constitue une voie positive.

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L’obésité infantile est liée aux mauvaises habitudes, pas à la génétique

Des chercheurs américains de l’Université du Michigan ont observé les élèves de treize collèges.
 
Selon l’American Heart Journal, ils ont constaté que la génétique n’avait souvent rien à voir avec l’obésité infantile de ces derniers.
 
Les enfants qui étaient obèses ou en surpoids mangeaient le plus souvent à la cantine et ces dernières servent des repas déséquilibrés et gras aux jeunes. Toutefois, la loi Hunger-Free Kids, votée en 2010, prévoit des menus plus sains et faibles en gras et en sel prochainement.
 
Ces jeunes, en plus de manger des aliments qui n’étaient pas sains pour leur santé, faisaient moins de sport et passaient plus de temps devant la télévision ou à jouer à des jeux vidéo.
 
« Pour l’enfant en surpoids extrême, le dépistage génétique peut être envisagé. Pour les autres cas, l’augmentation de l’activité physique, la réduction du temps passé devant l’écran et l’amélioration de l’équilibre nutritionnel des repas scolaires sont des mesures beaucoup plus prometteuses pour inverser les tendances actuelles à l’obésité chez les enfants », disent les chercheurs.
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Nouvelles recommandations de l’OMS

En ce moment, 43 millions d’enfants dans le monde souffriraient d’obésité ou de surpoids.

Devant ces présentes données, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a émis de nouvelles recommandations.

Tout d’abord, les milieux de vie et d’apprentissage des enfants ne devraient offrir en aucun cas des aliments hautement commercialisés contenant de fortes teneurs en gras saturés, en acides gras, en sel et en sucre.

Ces lieux comprennent les écoles, les garderies, les prématernelles, les centres récréatifs ainsi que les unités de pédiatrie.

Selon l’OMS, l’exposition au marketing et à la publicité des aliments riches en gras et en sel prédisposerait les enfants à choisir de mauvaises habitudes alimentaires et à développer ainsi un surpoids ou l’obésité.