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Percée étonnante dans le traitement des troubles alimentaires

Plusieurs troubles alimentaires pourraient être mieux traités dans un avenir rapproché, si les récentes découvertes d’un groupe de chercheurs de l’Université d’East Anglia s’avéraient fondées.

Selon Nutrition News, ces spécialistes auraient réussi à cerner le processus qui régit le contrôle de l’appétit, en plus de déterminer que notre relation avec notre estomac serait tracée dès la naissance.

Certaines personnes seraient appelées à manger plus que d’autres « naturellement », la différence s’établissant dès la formation du cerveau chez le bambin.

Toutefois, les chercheurs en tête de ces recherches croient qu’il est possible de « recâbler » le cerveau d’une telle façon que l’on permettrait à ces gens de retrouver des sentiments de faim et un appétit dans la moyenne.

Exit alors les problèmes d’obésité, et on croit même que ce procédé permettrait des percées intéressantes dans le traitement d’autres troubles de la santé, comme l’anorexie.

Dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience, les chercheurs font état d’un groupe de cellules souches qui permettraient la régénération des neurones capables de réguler efficacement l’appétit, une découverte fascinante!

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Des avantages inédits pour les grossesses tardives

Il semblerait donc que contrairement à ce qu’en disent les médecins et autres spécialistes, il n’y a pas que des dangers qui sont reliés aux femmes enceintes qui dépassent la trentaine. Avec une grossesse tardive, la croissance du bébé serait favorisée, et son métabolisme moins à risque de contracter des maladies infantiles.

Selon PLoS ONE, ce sont 277 bébés qui ont été pesés et suivis. Les chercheurs ont par ailleurs constaté que la production de la molécule IGF-I, chaînon important de la croissance, se faisait en plus grande quantité chez ces enfants. Cela expliquerait que tous les bébés étaient plus grands que ceux des mères de moins de 30 ans.

Quant aux mamans de plus de 35 ans, à ces données s’ajoutait un poids différent et mieux réparti. Les gras étaient moins présents, donnant des bébés plus minces, mais ayant développé une sensibilité accrue au sucre. Résultat : un avantage qui fait chuter le risque d’obésité.

Pour le moment, les chercheurs de cette étude sont les seuls à contrer les autres études, qui tendent toutes vers les risques associés aux grossesses tardives. À vous de voir si les avantages prévalent pour vous lancer dans l’aventure.

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Le Québec franchit le cap : un Québécois sur deux en surpoids

Ça y est! Le Québec vient de franchir une étape peu enviable dans le dossier de l’obésité en Amérique du Nord, alors qu’un récent rapport fait état d’un Québécois sur deux qui serait en situation de surpoids.

Il s’agit d’une progression spectaculaire, alors que la statistique ne parlait que d’un citoyen du Québec sur trois dans cette situation à la fin des années 80.

Selon les chiffres publiés par l’Institut national de santé publique du Québec et rapportés par La Presse, non seulement 50 % des Québécois souffrent d’embonpoint, mais de plus en plus de ceux-là s’approchent carrément de l’obésité.

On parle donc de 2 075 000 Québécois qui ne sont pas du tout près de leur poids santé, dont plus de 1 000 000 sont obèses.

De plus, on rapporte que le fléau touche plus les hommes que les femmes, et que le Québec n’est pas la pire province canadienne en la matière.

On constate également, en conclusion, que le problème de société touche aussi plus largement les gens à faible revenu ainsi que certaines personnes sans études supérieures.

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Moins manger n’est pas gage de longévité

Il faut bien distinguer la différence entre le fait de manger peu et avoir un corps en santé, rapporte Top Santé, alors qu’une étude sur l’obésité rappelle que le fait de moins manger n’est pas un gage de longévité.

Si l’on inverse le raisonnement, donc, ce n’est pas le fait de manger beaucoup qui met votre santé (et votre vie) en danger, mais plutôt la prise de poids associée à ces comportements alimentaires qui crée un impact sur la durée de vie potentielle.

On revient ici sur la fameuse étude qui traçait un lien entre les nombreux centenaires recensés au Japon et leurs habitudes alimentaires, mais voilà que plusieurs autres recherches sur le sujet placent un bémol sur ce genre de raisonnement.

D’autres tests sur des rongeurs ont permis de constater que la quantité de nourriture ingérée ne changeait rien à leur espérance de vie.

Un constat qui fait dire au magazine La Recherche, qui publiait ces nouvelles conclusions : « Si on ne peut pas vivre plus longtemps en mangeant moins, on peut en revanche vivre plus longtemps en mangeant mieux ».

De sages paroles!

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Coca-Cola crée la surprise en abordant le sujet de l’obésité

C’est toute une décision que celle des dirigeants de Coca-Cola, qui ont abordé ouvertement le sujet de l’obésité, un fléau qui met en cause plusieurs produits, dont les boissons gazeuses.

C’est donc doublement stupéfiant que de voir l’une des deux plus grandes multinationales de boissons gazeuses se pencher sur l’épineuse question du surpoids, comme le rapporte La Presse.

Le tout se déroule sur notre propre territoire, au Québec, alors que Coca-Cola lance une publicité dans laquelle on peut entendre : « Si vous buvez et mangez plus de calories que vous en dépensez, vous allez prendre du poids ».

Une évidence qu’il serait facile de contrer en bougeant plus, en mangeant mieux et en consommant moins de boissons gorgées de sucre, comme le Coke.

La compagnie suggère aussi de se tourner vers ses mini-canettes ou encore ses boissons moins lourdes, comme la nouvelle Vitaminwater Zero.

L’initiative a été décriée par la directrice de la Coalition Poids, Suzanne Pellerin, qui s’exclame : « L’objectif de Coca-Cola, c’est de détourner le regard de ses produits, c’est de laisser croire que si les gens engraissent, c’est parce qu’ils ne font pas suffisamment d’activité physique. »

Un dossier à suivre, qui risque de beaucoup faire jaser les Québécois prochainement.

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La vitamine E serait une arme redoutable pour lutter contre les troubles liés à l’obésité

L’obésité est un problème en soi et peut occasionner plusieurs problèmes, mais d’autres troubles de la santé peuvent survenir à cause d’une masse corporelle trop élevée.

Notamment des symptômes et maladies que l’on n’associait pas toujours à l’obésité il n’y a pas si longtemps, mais qui sont pourtant encouragés par cet état de fait, par exemple certaines maladies du rein.

Voilà que des spécialistes de la Case Western Reserve University croient pouvoir démontrer que plusieurs problèmes de santé liés à l’obésité, à commencer par ces problèmes aux reins, pourraient être contrés ou prévenus par une consommation accrue de vitamine E.

Cette dernière serait donc très efficace en prévention de plusieurs maladies, rapporte Science Daily, et les chercheurs se réjouissent de ce constat.

La vitamine E peut être retrouvée de façon naturelle dans les huiles végétales, les noix et les grains, les légumes à feuilles vertes ainsi que dans plusieurs céréales fortifiées.

Les conclusions officielles de ces chercheurs américains doivent être dévoilées aujourd’hui (24 avril) lors du congrès annuel de l’American Society for Biochemistry and Molecular Biology.

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Pour combattre l’obésité, des Français lancent une fourchette vibrante

Pour combattre l’obésité et les problèmes digestifs, une société fondée par un Français a mis en vente mercredi (17 avril), sur un site dédié au financement de projets innovants, une fourchette qui vibre lorsqu’on mange trop vite.

Les internautes qui souhaitent soutenir la société HAPILABS, fondée en Californie par Fabrice Boutain, reçoivent une HAPIfork dès lors que leur don dépasse 89 dollars sur le site Kickstarter.

Offerte pour le moment en rose, vert ou bleu, la fourchette devrait être livrée à ses clients plus tard dans l’année, précise la société sur le site.

Discrète et pouvant passer au lave-vaisselle, elle comporte entre autres une diode, un port USB et est accompagnée d’un logiciel permettant à ses utilisateurs de mesurer dans le temps leurs progrès vers un mode d’alimentation plus sain.

« Notre produit est toujours au stade du prototype, mais nous sommes ravis de l’accueil reçu jusqu’à maintenant », a commenté Fabrice Boutain dans un communiqué.

Inventée par le Français Jacques Lépine, la HAPIfork s’appuie sur des études suggérant qu’en mangeant moins vite, il est possible de perdre du poids et d’éviter des problèmes digestifs.

« Au cours d’un repas, le sentiment de satiété est ressenti au bout de 20 minutes. Plus vous mangez vite, plus vous mangez », assure la société sur le site Kickstarter.

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Les repas santé fonctionnent pour réduire l’obésité infantile

La revue médicale JAMA Pediatrics a publié les résultats d’une étude menée auprès de 4870 enfants qui vivaient dans 40 États américains. Parmi ceux-ci, 2350 mangeaient à l’école en payant le plein prix, 1570 mangeaient à l’école en payant un prix réduit offert aux familles dans le besoin, et 950 ne mangeaient pas à l’école.

Dans les États où les standards nutritionnels étaient sous les recommandations nationales, le taux d’obésité était le double chez les enfants qui participaient au programme de dîner à prix réduit, comparativement à celui des enfants qui ne mangeaient pas à l’école, avec 26 % et 13 % respectivement.

Lorsque les États respectaient les normes nationales de nutrition, la différence entre les taux d’obésité pour les deux groupes d’enfants était beaucoup moins grande, avec 21 % et 17 % respectivement.

Les repas offerts dans les écoles américaines ont été critiqués maintes fois dans les dernières années, à cause de leur piètre qualité et de leur prépondérance en malbouffe.

La diététiste de renom Marion Nestle a réagi à ces résultats dans un éditorial, affirmant que « malheureusement, lorsqu’on parle de nourriture dans les écoles, la politique est plus importante que la science », selon MedPageToday.

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Les écoles peuvent jouer un rôle primordial sur la santé

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude qui met en relief l’importance et l’impact des écoles sur la santé de ses étudiants.

Pas seulement pour les plus jeunes, apprend-on, mais aussi au niveau universitaire. Selon les chercheurs américains en tête de cette nouvelle recherche sur l’obésité et la nutrition, les écoles qui usent de politiques très strictes en matière d’alimentation permettent à leurs étudiants de se maintenir en bonne santé et dans les moyennes de poids jugées « normales ».

« Je crois que c’est une preuve que les écoles plus “santé” ont un impact positif, mais c’est une preuve préliminaire. C’est loin d’être définitif », tient à préciser Anne Barnhill, qui commente l’étude sans toutefois y participer.

Du côté de l’auteur de l’étude, le Dr Daniel Taber de l’Institute for Health Research and Policy situé à l’Université de l’Illinois (Chicago), il croit fermement que les étudiants qui se font servir des repas moins onéreux, donc moins nutritifs, affichent des taux d’obésité plus flagrants.

On note également l’impact de l’absence des infâmes machines distributrices, dans lesquelles abondent sandwichs de seconde zone, croustilles et chocolats, sur la santé des corps étudiants.

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Les régimes plus efficaces le matin

Des chercheurs israéliens ont testé les effets d’un régime peu calorique (1400 kcal/jour) sur un groupe de femmes considérées comme obèses et souffrant du syndrome métabolique sur une période de 12 semaines.

Un premier groupe consommait un plus grand apport en calories le matin, et l’autre groupe, le soir.

À noter que le syndrome métabolique décrit un ensemble de facteurs de risque pour plusieurs maladies graves telles que le diabète de type 2, les troubles cardiovasculaires et les AVC.

Les résultats de l’étude, publiés dans le magazine Obesity, ont indiqué que le groupe du matin avait perdu plus de poids et de tour de taille que le groupe de soir.

De plus, les triglycérides avaient affiché une baisse de 33,6 % chez les volontaires matinales, contre une hausse de 14,6 % pour les autres. La tolérance au glucose était aussi meilleure dans le premier groupe.

En conclusion, il est maintenant prouvé qu’il est préférable pour les gens obèses souffrant du syndrome métabolique de consommer une plus grande quantité de calories de leur régime amaigrissant au déjeuner et au diner plutôt qu’au souper.