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Des repas fréquents donnent-ils des enfants plus minces?

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 18 849 enfants et jeunes âgés de 2 ans et plus, provenant de nombreux pays très différents.

Les enfants qui mangeaient 4 ou 5 fois par jour avaient 22 % moins de chance d’être obèses que les enfants qui ne prenaient que 3 repas.

Les garçons répondaient mieux à cette façon de manger que les filles, par contre, puisque les chercheurs ont conclu qu’il y avait peu de différence observée chez les filles.

Les chercheurs croient que manger plus fréquemment pourrait mieux réguler l’appétit et la compensation énergétique, accroître le ratio entre les glucides et les graisses, déplacer la majorité des calories plus tôt dans la journée, et faire la promotion d’un mode de vie plus sain.

« Les écoles ont peut-être un rôle important à jouer pour améliorer les préférences et les habitudes alimentaires des enfants, et selon cette perspective, intégrer des repas plus petits, mais plus fréquents dans l’environnement scolaire pourrait être une bonne manière de contrer l’obésité infantile », a noté l’auteure de l’étude, Mary Yannakoulia, selon Med Page Today.

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L’effet « Biggest Loser » fonctionne vraiment

Une étude en provenance des États-Unis pose la question suivante : « Devrait-on créer des incitatifs aux personnes qui doivent perdre du poids? », afin de lutter plus efficacement contre l’obésité.

C’est que d’après les observations effectuées par les chercheurs du Michigan en tête de cette étude, les chiffres démontrent que des incitatifs à la perte de poids sont efficaces, tout autant que l’effet de compétition.

Un effet que l’on pourrait qualifier « d’effet Biggest Loser », en lien avec la populaire émission de téléréalité qui met en vedette des gens aux prises avec des problèmes de poids extrêmes et qui doivent compétitionner entre eux.

Les chercheurs américains ont donc créé un système de récompense financière pour un groupe donné, en le sous-divisant pour tester les effets à court et à long terme. Un autre groupe devait également tenter de perdre du poids, mais sans incitatif financier.

Résultat? Le groupe qui devait s’affronter en plus d’avoir la chance de gagner de l’argent a perdu jusqu’à près de dix livres de plus que les autres!

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Les enfants obèses risquent d’avoir des problèmes rénaux plus tard

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 5000 personnes nées en Angleterre en 1946, qui avaient été suivies depuis l’enfance.

Plus celles-ci étaient devenues obèses jeunes, plus elles avaient de chances d’avoir une maladie rénale à 60 ans. Le risque était deux fois plus élevé que chez les personnes qui n’avaient jamais souffert d’embonpoint, ou même celles qui avaient développé un surpoids entre 60 et 64 ans.

« Les preuves s’accumulent pour signifier que l’obésité en bas âge est un facteur clair de diabète. Ce que cette étude signifie est que les patients obèses, diabétiques ou pas, devraient passer des tests de dépistage des maladies rénales », a noté la néphrologue Janice Lea, selon MedPageToday.

L’auteure de l’étude, la Dre Dorothea Nitsch, a expliqué : « Nous avons estimé que 36 % des maladies rénales pourraient être prévenues dans la population américaine si personne ne souffrait de surpoids avant l’âge de 60 ans ».

Les résultats ont été publiés dans le Journal of the American Society of Nephrology.

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Est-ce que les enfants obèses peuvent perdre du poids par eux-mêmes?

Le journal médical Pediatrics a publié les résultats d’une nouvelle étude portant sur 50 enfants en surpoids ou obèses de 8 à 12 ans, ainsi que leur famille.

Le traitement durait 5 mois, et la famille était presque autosuffisante; c’est-à-dire que les suivis avec des professionnels de la santé étaient minimaux.

Après cette période, les enfants ont réussi à réduire leur indice de masse corporelle de façon significative, et cette perte de poids s’est même maintenue pendant 6 mois.

Les chercheurs ont été enchantés des résultats, puisque ceux-ci prouvent que ce programme peut fonctionner même pour les familles qui n’ont pas beaucoup de moyens ou de temps.

« Ce programme offre aux familles une structure qui les aidait à le suivre. Les parents et les enfants reçoivent un manuel, lisent ensemble un chapitre par semaine et tentent d’appliquer leurs connaissances à la maison. Deux fois par mois, ils viennent dans notre clinique pour une rencontre qui dure vingt minutes; il s’agit d’une énorme différence par rapport aux programmes de perte de poids traditionnels, où il y a un rendez-vous d’une heure et demie par semaine », a expliqué l’auteure, la Dre Kerri Boutelle, selon Science Daily.

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Une croissance linéaire chez les enfants associée à une meilleure santé plus tard

Une étude portant sur 8362 enfants nés dans 5 pays émergents (Brésil, Guatemala, Inde, Philippines et Afrique du Sud) a tenté d’évaluer la manière dont la santé générale était liée à leur croissance durant différentes périodes cruciales du développement.

Les bébés qui avaient un poids de naissance plus élevé et qui avaient suivi une courbe de croissance linéaire jusqu’à deux ans étaient nettement avantagés. Ils couraient moins de risques d’avoir des problèmes de glycémie, d’être de petite taille à l’âge adulte et de ne pas avoir complété leur éducation secondaire.

En contraste, ceux qui avaient connu une prise de poids rapide après l’âge de deux ans avaient plus de chances de souffrir d’embonpoint et de pression artérielle élevée, et ce, même si leur poids était considéré comme insuffisant au départ.

« Les pays qui font face au double défi de la malnutrition et de l’émergence de l’obésité ont besoin de bien connaître les effets de la croissance au début de la vie, particulièrement durant les 1000 premiers jours », a noté l’auteure de l’étude, la Dre Linda Adair, selon Medscape.

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Moins de risque d’obésité lorsque l’on retarde les aliments solides chez les bébés

Des chercheurs ont donné à des rats nouveau-nés du lait dont la composition était plus similaire à celui de leur mère (avec une majorité de calories dérivées des graisses), ou encore du lait enrichi de glucides (qui était donc la source première des calories).

Après 3 semaines, les ratons ont été sevrés et ont reçu de la moulée en portions contrôlées. Pendant ce temps, ils ont grossi normalement, de manière similaire aux ratons qui étaient nourris par leur mère. Lorsque l’accès à la nourriture est devenu libre, les ratons ont développé de l’obésité.

« Plusieurs aliments et jus donnés aux bébés humains ont une haute teneur en glucides, en particulier des sucres simples », a expliqué l’auteur de l’étude, Mulchand Patel, selon Medical News Today.

« Notre hypothèse était donc que l’introduction trop rapide des aliments solides augmente l’apport en glucides, ce qui fait grimper la production d’insuline et cause une sorte de “programmation métabolique” qui prédispose l’enfant à devenir obèse. »

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Des programmes structurés aident les enfants de familles défavorisées à perdre du poids

Une nouvelle étude a porté sur 280 enfants et jeunes âgés de 10 à 17 ans, qui étaient en surpoids ou encore obèses.

Ces jeunes avaient été référés par leur médecin pour participer à un programme de perte de poids structuré, dans ce cas-ci Weight Watchers.

À la fin du programme, 53 % des participants avaient atteint ou même surpassé les recommandations de poids officielles.

Ceux qui avaient pris part au programme pendant plus de 12 semaines et qui avaient assisté à au moins 10 rencontres avaient vu leur indice de masse corporelle baisser de plus de 5 %, en moyenne, selon Medical News Today.

Les problèmes de poids chez les jeunes touchent particulièrement les familles défavorisées, à cause d’une mauvaise alimentation et d’un manque d’exercice.

« Notre analyse suggère que ces programmes ont permis à la majorité des participants d’atteindre les recommandations. Les professionnels de la santé devraient donc considérer de recommander leurs patients à des programmes similaires », ont noté les auteurs.

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Les enfants dépressifs risquent plus de développer des problèmes de santé

Des chercheurs américains ont étudié les données provenant de 201 enfants dépressifs avec un âge moyen de 9 ans, ainsi que 195 de leurs frères et sœurs qui n’avaient jamais souffert de dépression.

Pour former un 3e groupe de contrôle, 161 enfants du même âge et du même sexe, qui n’avaient pas d’historique de dépression, ont également été inclus.

À l’âge de 16 ans, ces jeunes ont été évalués à nouveau, s’attardant entre autres aux taux de tabagisme, d’obésité et d’activité physique au sein des trois groupes.

22 % des enfants qui avaient souffert de dépression étaient obèses, comparativement à 17 % de leurs frères et sœurs, et 11 % des enfants du groupe de contrôle.

Un tiers des enfants dépressifs fumaient quotidiennement, comparativement à 13 % de leurs frères et sœurs, et seulement 2 % des autres.

Les données étaient similaires pour ce qui est de l’activité physique : les jeunes dépressifs étaient les moins actifs, et ceux appartenant au groupe de contrôle l’étaient le plus.

Les chercheurs ont également remarqué qu’un historique de dépression était associé à un risque accru de développer des problèmes cardiaques, peu importe si les jeunes de 16 ans souffraient toujours de dépression ou pas, selon Science Daily.

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Les enfants dépressifs risquent plus de développer des problèmes de santé

Des chercheurs américains ont étudié les données provenant de 201 enfants dépressifs avec un âge moyen de 9 ans, ainsi que 195 de leurs frères et sœurs qui n’avaient jamais souffert de dépression.

Pour former un 3e groupe de contrôle, 161 enfants du même âge et du même sexe, qui n’avaient pas d’historique de dépression, ont également été inclus.

À l’âge de 16 ans, ces jeunes ont été évalués à nouveau, s’attardant entre autres aux taux de tabagisme, d’obésité et d’activité physique au sein des trois groupes.

22 % des enfants qui avaient souffert de dépression étaient obèses, comparativement à 17 % de leurs frères et sœurs, et 11 % des enfants du groupe de contrôle.

Un tiers des enfants dépressifs fumaient quotidiennement, comparativement à 13 % de leurs frères et sœurs, et seulement 2 % des autres.

Les données étaient similaires pour ce qui est de l’activité physique : les jeunes dépressifs étaient les moins actifs, et ceux appartenant au groupe de contrôle l’étaient le plus.

Les chercheurs ont également remarqué qu’un historique de dépression était associé à un risque accru de développer des problèmes cardiaques, peu importe si les jeunes de 16 ans souffraient toujours de dépression ou pas, selon Science Daily.

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L’épidémie des collations

Selon une étude américaine récente, à la fin des années 70, les enfants âgés de 2 à 6 ans ne mangeaient qu’une seule collation entre les repas. Aujourd’hui, c’est plutôt trois. Ça donne un nombre de collations considérables à la fin de la journée!

Les collations sont importantes, « parce que les enfants ont à la fois un petit estomac et de grands besoins énergétiques », affirme une spécialiste en alimentation des petits, la Dre Katja Rowell.

Toutefois, si les enfants mangent constamment tout au long de la journée, ça ne leur donne pas la chance de comprendre leur faim et leur sentiment de satiété.

Cela pourrait même les rendre plus difficiles : si les enfants arrivent à table et qu’ils n’ont pas vraiment faim, ils seront beaucoup moins enclins à essayer de nouveaux aliments.

Les experts de l’obésité croient maintenant que la fréquence de l’alimentation, et pas seulement la grosseur des portions, est responsable du nombre de calories excessif que consomment beaucoup d’enfants. L’obésité chez les enfants peut survenir avec seulement 165 calories de trop par jour : c’est à peine une poignée de croustilles!

Les parents auraient donc intérêt à limiter les collations et à bien les choisir parmi les aliments équilibrés, qui ne donneront pas faim tout de suite après.