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Des chercheurs tracent un lien évident entre le sucre et le cancer

Nutrition News rapporte que des chercheurs espagnols ont finalement déterminé avec plus de précision les liens entre le cancer, ainsi que d’autres problèmes de santé, et une consommation élevée de sucre.

Il semble que ce soit véritablement la dose consommée qui soit en cause, notamment dans le développement du cancer et du diabète.

Peu dangereux à petites doses donc, même qu’on confirme l’utilité du sucre pour l’organisme, c’est lorsqu’on abuse de la substance que les problèmes peuvent poindre à l’horizon.

« Nous avons été surpris de constater que les changements du métabolisme causés par le sucre avaient un impact sur les risques de cancer. Nous enquêtons maintenant sur les autres composantes du régime alimentaire qui peuvent influencer les risques de cancer », explique la Dre Custodia Garcia-Jimenez.

Les chercheurs de l’Université Rey Juan Carlos rappellent que l’on ignorait jusqu’à quel point les taux de sucre, ainsi que l’obésité due au sucre, pouvaient augmenter les risques de cancer.

On croit qu’un cancer sur trois pourrait être prévenu grâce à une amélioration du régime alimentaire et à l’activité physique.

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L’allaitement ne prévient pas l’obésité

Des chercheurs de la Biélorussie ont enrôlé 17 046 bébés nés en 1996 et 1997, à travers 31 centres familiaux. La moitié de ceux-ci ont implanté une série de mesures dictées par l’Organisation mondiale de la santé pour encourager l’allaitement (le « groupe d’intervention »), et les autres non (le « groupe de contrôle »).

Selon les chercheurs, ceci a eu une très grande influence sur la durée et l’exclusivité de l’allaitement, ce qui a permis de bien établir une causalité entre l’allaitement et la croissance, incluant le poids.

À trois mois, 43 % des bébés du groupe d’intervention étaient allaités exclusivement, comparativement à seulement 6 % des bébés du groupe de contrôle.

Des années plus tard, alors que les enfants avaient un âge moyen de 11,5 ans, un suivi a été effectué, et une série de mesures anthropomorphiques ont été prises. Il n’y avait qu’une différence de 0,19 kilogramme entre les enfants provenant des deux différents groupes.

« Les résultats de cette étude à large portée indiquent que l’intervention pour promouvoir l’allaitement n’a pas réduit les mesures d’adiposité ni la prévalence de surpoids ou d’obésité chez les préadolescents », ont observé les auteurs, selon Med Page Today.

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Moins manger grâce à un nouveau type d’intervention

The National Library of Medicine rapporte qu’une nouvelle technique développée dans le cadre de la lutte à l’obésité permettrait à certaines personnes de manger moins ou d’avoir moins faim, selon les conclusions des chercheurs de la New York Cardiovascular Research basés à New York.

Il s’agit d’une intervention peu invasive, mais qui aurait déjà fait ses preuves lors des premiers essais cliniques. Cinq patients ont pour l’instant testé l’opération, et ils ont en grande majorité perdu du poids, parfois jusqu’à 45 livres.

La technique propose de bloquer une artère située dans l’estomac, empêchant ainsi un certain apport sanguin vers l’organe, un processus qui produit une hormone que l’on dit « responsable » de la faim.

Moins de sensation de faim, donc, pour les patients qui subiraient l’intervention et qui pourraient ainsi avoir un meilleur contrôle sur ce qu’ils mangent.

Présenté lors du congrès annuel de l’American College of Cardiology, ce rapport soulève l’optimisme de plusieurs chercheurs, mais il faudra attendre des tests plus poussés pour parler d’une véritable percée.

« Si des études plus larges et aléatoires démontrent des résultats similaires, ceci pourrait s’avérer une méthode alternative simple à la chirurgie de l’estomac que l’on connait en ce moment. »

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L’obésité des enfants due aux parents qui ne savent pas cuisiner

Si vous faites partie de ces parents qui n’ont aucune notion de cuisine et qui s’en tirent avec des plats préparés, vous avez deux choix. Ignorer cet article ou comprendre que vous êtes bien loin d’être seuls et qu’il y a des solutions, notamment des livres de recettes faciles, prêtes en 15 à 30 minutes.

Selon une étude effectuée par la campagne britannique Change4Life, rapportée par le Telegraph, 71 % des parents disent ne pas avoir le temps de faire à manger. Seulement 16 % affirment cuisiner des recettes à partir d’ingrédients de base, la plupart du temps 1 à 4 fois par semaine au maximum.

Annabel Karmel, auteure de plusieurs livres de recettes pour les enfants, accuse les grands-parents de ne jamais avoir éduqué leurs enfants à l’art culinaire. « On peut pourtant préparer un bon repas en 15 minutes. Plutôt que de servir des croquettes de poulet, il suffit d’opter pour du poulet mariné passé sous le grill. »

N’oubliez pas que tous les plats préparés contiennent plus de matières grasses, de sucre et de sel. Si vous êtes trop occupé, essayez d’être plus organisé. Préparez des légumes coupés avant la semaine, puis servez-vous de riz ou nouilles précuits.

D’autre part, évitez les collations avant le souper. Des enfants qui ont faim seront plus enclins à manger de nouveaux aliments.

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Les programmes de soccer après l’école n’ont pas d’effet sur l’obésité infantile

Le journal JAMA Pediatrics publie les résultats de l’analyse d’un programme appelé SCORES, qui a lieu dans une douzaine de villes américaines, plus précisément dans des milieux défavorisés associés à un fort taux d’obésité infantile.

La recherche en question a inclus 156 enfants de 4e et de 5e année qui participaient à ce programme consistant en 2 à 3 pratiques de soccer hebdomadaires après l’école, ainsi qu’une partie le samedi.

Les chercheurs ont noté que la participation des enfants était sur une base volontaire, ce qui fait qu’ils n’assistaient pas nécessairement à toutes les pratiques et faisaient en moyenne 1,4 heure de soccer par semaine.

Les enfants ont augmenté leur activité physique d’intensité modérée à vigoureuse de 3,4 minutes durant la semaine, ainsi que de 18,5 minutes durant le match. Ces résultats ont été jugés « modestes, mais tout de même significatifs ».

Par contre, les enfants souffrant d’embonpoint ou d’obésité n’ont malheureusement pas vraiment perdu de poids ou augmenté leur niveau de forme physique, ont fait remarquer les chercheurs, selon MedPageToday.

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L’obésité de la mère pourrait altérer le développement du cerveau du bébé

Des chercheurs ont analysé le liquide amniotique provenant de 8 femmes enceintes obèses ayant subi une amniocentèse, ainsi que celui provenant de 8 femmes formant un groupe de contrôle.

Bien sûr, chacune ayant un bébé du même sexe et du même âge gestationnel que les femmes du premier groupe.

Chez les femmes obèses, l’expression des gènes impliqués dans le processus normal d’apoptose du système nerveux central était beaucoup moins élevée.

De plus, le liquide amniotique des femmes obèses avait un taux neuf fois plus élevé provenant d’un gène appelé APOD. En temps normal, celui-ci protège les neurones, mais il devient probablement néfaste lorsqu’il est présent en trop grande quantité.

Une experte, la Dre Mary D’Alton, a expliqué que les données ne signifient pas que tous ces enfants auront un cerveau anormal, rappelant qu’il s’agit uniquement d’une étude préliminaire.

Mais elle a fortement suggéré aux femmes obèses d’aller chercher conseil avant d’essayer de tomber enceinte. « Nul besoin d’attendre pour cela… Il y a une multitude de raisons pour lesquelles ces femmes devraient perdre du poids, » selon Med Page Today.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors du récent congrès de la Society for Maternal-Fetal Medicine.

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Y aurait-il un lien entre l’obésité et le déficit d’attention chez les enfants?

Une étude a soumis un groupe de souris à un régime très riche en graisses (environ 60 % des calories), et un autre à un régime très pauvre en matières grasses (environ 10 %).

La diète occidentale comporte normalement entre 35 % et 45 % de graisses.

« Après seulement une semaine de ce régime, même avant que l’on puisse constater une prise de poids, le comportement des souris du premier groupe a commencé à changer, » a affirmé l’auteur, le professeur Gregory Freund, selon Science Daily.

Les souris sont devenues plus anxieuses, et ont développé des déficits d’apprentissage et de mémoire. Si les souris changeaient de régime et revenaient à une alimentation faible en gras, ces problèmes disparaissaient au bout d’une semaine.

Si les souris continuaient avec ce régime trop gras, les effets négatifs se poursuivaient au cours des semaines suivantes.

Au bout de 10 semaines, toutefois, le niveau de dopamine revenait à la normale parce que le corps compensait ce régime inadéquat; mais à ce stade, les souris étaient devenues obèses et faisaient du diabète.

« L’étude suggère qu’une alimentation trop grasse pourrait déclencher de l’anxiété et des problèmes de mémoire chez les enfants qui ont des prédispositions génétiques, » a ajouté M. Freund.

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Une mauvaise réponse au stress pourrait contribuer à l’obésité chez les enfants

L’étude américaine a porté sur 43 enfants âgés de 5 à 9 ans ainsi que sur leurs parents. Pour tenter d’évaluer la réaction des enfants à un élément de stress, les chercheurs ont fait passer un test consistant en 5 minutes d’anticipation, suivi par 10 minutes de stress.

Durant la période de stress, les enfants devaient prononcer un discours et accomplir une tâche mathématique. Le stress des enfants a été mesuré à travers le niveau de cortisol contenu dans leur salive, prélevée avant et après le test.

De plus, les chercheurs ont mesuré la consommation de nourriture de ces enfants, en leur demandant d’évaluer leur niveau de faim, puis en les laissant choisir parmi 10 sortes de grignotines. En moyenne, les enfants ont mangé 250 calories, même s’ils avaient dit n’avoir pas très faim. Certains n’ont mangé que 20 calories, alors que d’autres en ont avalé 700.

Les enfants qui avaient produit plus de cortisol avaient un indice de masse corporel beaucoup plus élevé et ont mangé beaucoup plus que les autres, même sans avoir faim. C’était aussi le cas des enfants dont le taux de stress était resté élevé, donc qui avaient du mal à récupérer, selon EurekAlert!.

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Prévenir la transmission de l’obésité entre la mère et l’enfant

Les enfants nés de ces femmes ont souvent un poids et un taux d’adiposité plus élevés à la naissance. Ils sont beaucoup plus à risque que les autres de souffrir eux-mêmes d’obésité et de diabète plus tard.

Des chercheurs ont donc tenté d’identifier les facteurs-clés qui influencent l’obésité des enfants, incluant l’alimentation de la mère durant la grossesse et sa prise de poids, mais aussi la manière de nourrir le bébé après sa naissance ainsi que la dynamique familiale en regard du style de vie et du niveau d’activité.

L’auteur de la présente étude, Michaels Symonds, professeur à l’Université de Nottingham au Royaume-Uni, a expliqué que dans le cas des femmes obèses, la notion du poids gestationnel doit être vue différemment de celle des autres femmes.

Ce poids « doit être regardé dans un contexte plus large. L’ampleur de la prise de poids durant la grossesse devrait être établie en observant la composition du corps ainsi que la réponse métabolique et endocrinienne, à la fois chez la mère et chez le bébé » selon ce que rapporte EurekAlert!.

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Le comportement des mères obèses influence le risque pour leurs enfants

La revue Appetite a publié les résultats d’une thèse qui s’est attardée à la relation entre les mères et leurs enfants, en lien avec l’obésité. L’auteure a étudié le cas de 222 familles défavorisées d’origine afro-américaines et latino-américaines.

L’aspect ethnique était particulièrement pertinent, puisque la plupart des études précédentes ont mis l’accent sur les familles caucasiennes appartenant à la classe moyenne. Aux États-Unis, 17 % des enfants et jeunes sont obèses, mais ce problème affecte particulièrement les minorités : 21 % des jeunes afro-américains, et 22 % des jeunes latino-américains.

La chercheuse a découvert que lorsque les mères continuent à manger alors qu’elles n’ont plus faim et ont une attitude plus contrôlante envers leurs enfants face à la nourriture (par exemple en les forçant à finir leur assiette et en les menaçant ou les privant de nourriture), les enfants étaient en général beaucoup plus difficiles.

Les mères qui « mangeaient leurs émotions » ou qui avaient peu de contrôle envers leur propre consommation de nourriture avaient quant à elles souvent des enfants qui mangeaient trop et « avaient un désir intense de manger ».

« Lorsqu’un jeune enfant dit qu’il n’a plus faim, les parents doivent écouter et lui faire confiance. Et il est important de limiter la disponibilité des “mauvais” aliments, comme les sucreries, mais il ne faut pas non plus les rendre si rares qu’ils deviennent trop tentants », a conseillé l’auteure, Halley Morrison, selon Science Daily.