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Coca-Cola va aborder la question de l’obésité dans des publicités

(AFP) – Le géant américain des boissons sans alcool, Coca-Cola, va aborder la question de l’obésité dans des publicités qui seront diffusées aux États-Unis, où l’effet sur la santé de la consommation des sodas fait débat.

Le groupe a annoncé dans un communiqué la diffusion, sur des chaînes câblées nationales, d’une vidéo « qui encourage chacun à garder à l’esprit que toutes les calories comptent pour gérer son poids, y compris celles des produits Coca-Cola et de toutes les nourritures et boissons ».

Coca-Cola y rappelle aussi son « engagement à offrir davantage de choix de boissons, y compris des options à faibles ou sans calories, et à communiquer clairement le nombre de calories contenues dans tous ses produits ».

Une autre publicité dit pour sa part « clairement qu’une canette de Coca-Cola fait 140 calories » et « encourage les gens à s’amuser en brûlant ces calories », indique encore le groupe.

Coca-Cola rappelle dans son communiqué qu’il soutient déjà une série d’initiatives visant à encourager l’exercice physique, et dit avoir été le premier groupe de boissons aux États-Unis à fournir des indications nutritionnelles et caloriques sur ses produits.

« Nous sommes engagés à rassembler les gens pour lutter contre l’obésité », affirme dans le communiqué Stuart Kronauge, responsable des boissons gazeuses du groupe en Amérique du Nord. « Coca-Cola tient un rôle important dans cette lutte », ajoute-t-il.

Le débat sur les méfaits des sodas a notamment été alimenté récemment par une interdiction partielle des ventes de sodas de plus d’un demi-litre décidés par la ville de New York.

La décision, qui entrera en vigueur courant mars et s’appliquera dans les restaurants, les stades et les salles de cinéma, vise à lutter contre l’obésité dans une ville dont 58 % des habitants sont obèses ou en surpoids, selon des statistiques de la mairie.

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La maladie d’Alzheimer serait encouragée par l’obésité

Santelog.com et quelques autres sources rapportent que des chercheurs ont établi un lien entre l’Alzheimer et l’obésité.

Bien que l’on ne puisse exclusivement pointer du doigt le surpoids pour cette terrible maladie dégénérative, il semble néanmoins que celui-ci pourrait jouer un rôle important dans son déclenchement et son développement.

C’est ce qu’on comprend des conclusions de ces chercheurs, publiées dans le magazine Diabetes. On parle entre autres de la protéine Tau et des plaques amyloïdes au cerveau, deux facteurs associés à la maladie d’Alzheimer.

Or, l’obésité engrange ces protéines et favorise donc, directement ou indirectement, le développement de maladies comme l’Alzheimer et la démence. Même son de cloche en ce qui concerne le diabète de type 2, qui peut lui aussi mener à la maladie d’Alzheimer.

C’est notamment la présence de cette protéine Tau dans l’hippocampe qui poserait problème, comme l’explique le chargé de recherche David Blum, de l’INSERM.

« Une pathologie aggravée tant du point de vue de la mémoire que des modifications de la protéine Tau », lance le chercheur, pour qui ces liens ne font aucun doute possible.

De plus en plus de recherches démontrent les multiples conséquences d’un gain de poids trop important.

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La technologie dans votre fourchette

La technologie n’a pas que de mauvais côtés en ce qui a trait à la santé. On parlait notamment de ces applications pour téléphone intelligent, qui proposent de compter vos calories ingérées pour vous, et de quelques autres astuces technologiques du genre.

En voici une nouvelle qui devrait faire quelques adeptes. Il s’agit d’une fourchette électronique qui vous alerte lorsque vous mangez trop rapidement, rapporte La Presse.

Il est vrai que l’un des facteurs qui peuvent aider à la perte de poids est de ralentir le rythme en mangeant, de prendre de petites bouchées et de bien mastiquer.

S’il est parfois dur d’y parvenir, affamé devant un délicieux repas, la fourchette électronique sera là pour vous prévenir!

L’inventeur, Jacques Lépine, avoue avoir créé l’outil afin de régler un problème qu’il vivait lui-même.

« On démontre de plus en plus que manger vite est mauvais, que ça contribue à faire grossir. Je n’arrivais pas à corriger ce comportement. Et puis un jour, en regardant ma fourchette, je me suis dit que j’y arriverais peut-être avec la fourchette. »

Il semble qu’il y soit parvenu. Son invention sera présentée au fameux CESde Las Vegas, avant d’être commercialisée en avril prochain, si tout va comme prévu.

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La majorité des enfants ne se conforme pas aux recommandations d’activité physique

Le gouvernement américain et l’American Academy of Pediatrics ont publié des recommandations claires pour la bonne forme physique des enfants : ceux-ci devraient faire au moins 60 minutes d’activité physique modérée quotidienne et ne devraient pas passer plus de deux heures par jour devant la télé, les jeux vidéo ou l’ordinateur.

Même si 70 % des enfants étaient assez actifs, 54 % dépassaient la limite pour les écrans. Dans un article publié dans la revue médicale JAMA Pediatrics, les chercheurs ont noté que le fait de se conformer à une recommandation ne prédisait pas nécessairement que l’autre était respectée, et ils ont donc rappelé l’importance d’émettre celles-ci séparément.

L’étude a porté sur 1218 enfants âgés de 6 à 11 ans. Les filles, les enfants plus vieux, les hispanophones, les enfants de familles plus aisées et les obèses étaient moins susceptibles d’atteindre leurs 60 minutes d’activité.

Les enfants hispanophones en particulier respectaient pourtant plus que les autres les limites pour les écrans, ce qui a poussé les chercheurs à dire que même si les enfants ne passent pas beaucoup de temps devant la télé, ça ne veut pas nécessairement dire qu’ils feront plus d’exercice, rapporte Med Page Today.

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L’antagoniste du fructose : le glucose

On a beaucoup parlé, et encore tout récemment, du fructose et de ses effets néfastes sur la santé. On vous apprenait cette semaine que les études concluent non seulement que le fructose est mauvais pour la santé (notamment parce qu’il est employé dans plusieurs produits de consommation usinés sous la forme de sirop de maïs, par exemple), mais aussi parce qu’il donne une impression de faim… sans fin.

Le fructose ne donne donc pas l’impression de satiété, ce qui pousserait les gens à manger davantage, malgré l’ingestion d’une tonne de calories.

Cependant, ce n’est pas le cas du glucose, qui fait ici figure d’antagoniste à son camarade. En effet, selon santelog.com, le glucose réussit quant à lui à envoyer le bon message de satiété à l’organisme, ce qui ne donne pas envie à l’individu qui en consomme de manger de nouveau tout de suite après.

Les chercheurs de Yale en tête de l’étude croient même que le glucose offre plus qu’une impression d’être rassasié, mais aussi un sentiment de plénitude, de bien-être.

C’est ce qu’observent les chercheurs chez les sujets qui favorisent le glucose au fructose, et c’est aussi vérifiable chez les animaux.

Bien sûr, on rappelle que le sucre en général est mauvais pour l’organisme, et que l’on doit en limiter sa consommation.

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Le sucre : un ennemi à surveiller durant les fêtes

Prendre du poids durant les fêtes est un classique, presque une véritable tradition de Noël. Cependant, il n’est pas obligé d’en être ainsi, rapporte e-sante.fr.

Il suffit de surveiller spécialement les quantités de sucre ingérées, puisque ce dernier est l’ennemi numéro un d’une taille de guêpe.

On apprend par ailleurs que selon certaines spécialistes, la mauvaise presse que connait le sucre ne serait vérifiable dans les faits que lorsque les quantités sont trop importantes. Le sucre ne serait donc pas nécessairement « toxique » comme on l’entend un peu partout, et l’est dramatiquement moins lorsque consommé avec modération.

Alors, s’il ne faut surtout pas se priver des bonheurs gastronomiques durant les fêtes, selon la diététicienne consultée par le site, il serait par contre bénéfique de faire des choix éclairés et d’éviter certains produits.

Les plus néfastes et sucrés sont notamment les boissons gazeuses, les biscuits et gâteaux industriels (vendus en boîtes), les bonbons et les céréales commerciales sucrées, la crème glacée et les pâtisseries.

On conseille d’éviter massivement ces produits ou d’en consommer avec une extrême modération, afin de profiter des autres beaux repas de Noël qui comprendront déjà leur part de glucose.

Bien sûr, on rappelle l’importance de faire de l’exercice, le parfait allié à la lutte au surpoids… et au sucre.

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L’obésité chez les tout-petits est en baisse

Le Journal of the American Medical Association rapporte qu’après une augmentation constante depuis les années 90, une légère baisse de l’obésité pédiatrique a été observée. Le taux d’obésité extrême est quant à lui passé de 2,22 % en 2003 à 2,07 % en 2010.

L’étude a porté sur plus de 27 millions d’enfants américains provenant de 30 États et appartenant à des familles à faible revenu.

Durant la période, l’obésité extrême a diminué chez tous les groupes ethniques, sauf pour les Amérindiens, incluant ceux de l’Alaska. La plus grande réduction a été observée chez les enfants de 2 ans et chez ceux d’origine asiatique ou des îles du Pacifique.

Les résultats suggèrent « des progrès récents modestes dans la prévention de l’obésité chez les jeunes enfants », a avancé le Dr Liping Pan, auteur de l’étude, cité par MedPageToday. « Mais il y a encore des implications très importantes pour la santé publique, à cause des risques pour la santé associés à l’obésité et à l’obésité extrême durant l’enfance, étant donné que ces risques perdurent pour la vie entière. »

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La metformine a un effet bénéfique chez les enfants souffrant d’obésité morbide

Dans le cadre d’une nouvelle étude portant sur 151 enfants qualifiés de « très obèses », la moitié ont reçu de la metformine, tandis que les autres ont pris un placebo.

Lorsqu’ils ont reçu de la metformine, les enfants ont vu leur IMC baisser de façon significative, en association à une amélioration de leur glycémie à jeun. De plus, ces améliorations étaient toujours observables après six mois.

Il s’agissait de la première étude observant les effets de la metformine sur une population pédiatrique. La science a déjà établi que ce médicament retarde l’apparition du diabète de type 2 chez les adultes.

« Nos données apportent une preuve que la metformine est efficace, sécuritaire et bien tolérée chez les enfants obèses à risque de développer le diabète de type 2 », a dit l’auteure de l’étude, la Dre Deborah Kendall, citée par EurekAlert!.

Elle a ajouté : « La metformine pourrait même également stimuler ces patients à effectuer des changements dans leur style de vie, ce qui peut mener à une réduction des risques reliés au diabète de type 2 et à ses problèmes associés ».

L’étude a été menée en Grande-Bretagne, et les résultats ont été publiés dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism.

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Chez les enfants, le sel et les boissons sucrées vont de pair

Des chercheurs australiens ont analysé les données provenant d’enfants et de jeunes de 2 à 16 ans et ont découvert un lien direct entre la consommation de sel et celle de boissons sucrées.

Chaque gramme de sel supplémentaire ajoutait en fait 17 grammes de boissons sucrées comme les jus et les sodas par jour.

En moyenne, les enfants consommaient plus de 6 grammes de sel par jour, un excédent énorme par rapport aux recommandations maximales de 1,5 gramme, ainsi que 248 grammes de boissons sucrées.

Parmi tous les enfants et jeunes étudiés, 62 % buvaient des boissons sucrées de façon quotidienne; la proportion était plus forte chez les enfants plus vieux et ceux provenant de milieux plus défavorisés.

Les enfants qui buvaient plus d’une boisson sucrée par jour étaient 35 % plus susceptibles d’être en surpoids ou encore obèses.

Les chercheurs ont expliqué qu’étant donné la corrélation entre le sel et les boissons sucrées, « la réduction du sel était associée non seulement à une amélioration de la tension artérielle, mais également à une réduction de la consommation de boissons sucrées, ce qui peut avoir un effet direct sur l’obésité chez les enfants », tel que rapporté par MedPageToday.

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Manger moins de gras pourrait suffire à faire perdre du poids

www.nlm.nih.gov rapporte les conclusions d’une équipe de chercheurs britanniques qui croient que le simple fait de « couper dans le gras » permettrait une perte de poids.

C’est du moins ce qu’ils affirment dans une étude publiée dans le journal BMJ. Selon eux, il n’y a pas que les régimes qui sont bénéfiques pour perdre quelques kilos. Remplacer des aliments gras par d’autres qui le sont moins, et par conséquent réduire sa consommation de corps gras, peut permettre aux gens qui aimeraient perdre quelques kilos d’y parvenir.

Les chercheurs de l’Université d’East Anglia parlent d’une perte de poids d’environ 3,5 livres, en moyenne, chez les sujets observés.

Pour parvenir à ces conclusions, on a observé les changements chez des sujets qui ont coupé les matières grasses de façon significative, puis on les a comparés à ceux observés chez d’autres qui n’ont rien changé à leur alimentation.

On constate que le simple fait d’abaisser la consommation de gras permet au corps de maigrir, naturellement.

L’étude compilait des résultats obtenus dans 33 essais et contrôles un peu partout dans le monde, notamment en France, aux États-Unis, au Canada et en Nouvelle-Zélande.