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Les écrans dans les chambres d’enfants seraient directement reliés à l’obésité

Selon une étude publiée dans la revue médicale Pediatric Obesity, les enfants qui obtiennent une heure additionnelle de sommeil par jour ont 30 % moins de chances d’être obèses.

Ceux qui possèdent des appareils électroniques dans leurs chambres, par exemple des téléviseurs, ordinateurs, jeux vidéo et téléphones cellulaires, avaient également beaucoup plus de chances d’être en surpoids.

L’étude a été menée en Alberta auprès de 3400 enfants de cinquième année. La moitié d’entre eux possédaient un téléviseur, un lecteur de DVD ou une console de jeu dans leur chambre, alors que 21 % avaient un ordinateur, et 17 % avaient un cellulaire. 5 % des enfants possédaient tous ces appareils.

57 % des jeunes ont affirmé qu’ils se servaient de ces appareils tard le soir, alors qu’ils étaient censés dormir. Les enfants qui possédaient un appareil avaient 1,5 fois plus de chances d’être obèses, tandis que cette statistique grimpait jusqu’à 2,6 fois plus de chances si les enfants avaient trois appareils.

L’auteur de l’étude, Paul Veugelers, s’est adressé aux parents en disant que « si vous voulez que vos enfants aient un style de vie plus sain et dorment mieux, sortez la technologie de leur chambre », selon le Science Daily.

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Les effets de ne pas déjeuner sur le cerveau

Lorsqu’une personne est aux prises avec des problèmes de poids, il est facile pour elle de décider de ne plus manger du tout, ce qui est une très mauvaise idée.

C’est particulièrement vrai en ce qui a trait au petit déjeuner, selon ce qu’affirme une étude rapportée par Santelog.com.

Sauter le déjeuner aurait un impact puissant sur le bon fonctionnement du cerveau, expliquent les chercheurs qui dirigent l’étude.

Cette dernière, effectuée à l’Imperial College London et présentée devant la Society for Neuroscience lors de l’événement Neuroscience 2012, suggère que de ne pas déjeuner peut mener à de sérieux dérèglements de l’organisme.

De plus, on serait plus enclins à craquer pour de mauvais aliments, les gras surtout, plus tard dans la journée.

L’étude a été effectuée sur 22 personnes, 17 hommes et 5 femmes d’environ 24 ans. On numérisait les réponses cérébrales lors de différentes situations, soit avec un petit déjeuner ou sans. L’exercice a été répété à plusieurs reprises.

Les chercheurs concluent qu’une personne qui ne déjeune pas va consommer en moyenne 20 % de calories de trop quotidiennement, en plus de choisir les mauvais aliments.

Il serait donc plus facile, pour les gens qui se soucient de leur poids, de surveiller leur silhouette en déjeunant simplement.

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Un traitement contre l’épilepsie pour perdre du poids?

Un médicament, le zonisamide, vendu sous ordonnance et développé originalement pour traiter l’épilepsie, pourrait venir en aide aux gens qui désirent perdre du poids, affirment des chercheurs dans des propos rapportés par www.nlm.nih.gov.

Bien entendu, comme les solutions miracles n’existent pas vraiment en matière de lutte à l’obésité, cette médication devra être accompagnée d’un suivi par un spécialiste et d’une nutrition attentionnée.

Tout de même, des patients qui ont absorbé 400 milligrammes de zonisamide quotidiennement pendant un an ont perdu jusqu’à 7,5 livres, ce qui est au-dessus des moyennes enregistrées sur des patients qui ne comptaient que sur un régime et un programme d’exercices.

En contrepartie, certains effets secondaires ont été observés.

Le Dr Kishore Gadde, directeur de l’Obesity Clinical Trials Program du Duke University Medical Center à Durham, en Caroline du Nord, explique : « L’idée était de voir si l’on pouvait retrancher plus de poids si l’on associait un nouveau style de vie à ce médicament. Et la réponse est oui ».

Voilà une excellente nouvelle pour les gens aux prises avec des problèmes de poids qui voient leurs options non chirurgicales se limiter à très peu de choses.

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Grossesse et obésité – une prise en charge médicale adaptée

Une récente étude démontre que de 40 à 45 % des femmes de 25 à 35 ans, soit en âge de procréer, sont obèses en France. Aux États-Unis, c’est le tiers des femmes du même âge qui ont un problème lié à l’obésité.

Or, cela ne veut pas dire que la grossesse doit être évitée. Elle doit cependant être prise en charge adéquatement, puisque les risques inhérents sont plus importants.

Selon la gynécologue Julianne Berdah, de l’Hôpital de la Pitié Salpetrière à Paris, c’est le cas surtout lors d’un indice de masse corporelle (IMC) qui dépasse 35 kg/m2.

Medscape.fr rapporte que les risques « plus élevés d’hypertension, de prééclampsie, d’infections urinaires, de diabète gestationnel, ainsi qu’un risque de fausse couche multiplié par trois » sont les conséquences énumérées par la gynécologue.

D’autre part, il y a également de fortes chances de césarienne, puisque souvent, l’accouchement doit être provoqué.

Finalement, la future mère doit être consciente que l’obésité est aussi reliée à de plus nombreuses malformations foetales.

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Les enfants en surplus de poids beaucoup plus susceptibles de prendre des médicaments

Une nouvelle étude menée en Alberta a révélé que les enfants et adolescents souffrant d’un surplus de poids ou d’obésité prenaient plus de médicaments sous ordonnance que les enfants de poids normal dans une proportion de 59 %. Les jeunes observés avaient de 12 à 19 ans.

Les enfants âgés de 6 à 11 ans ne présentaient pas quant à eux de différence significative au niveau de la prise de médicaments, ce qui suggère aux auteurs que la médication ne devient nécessaire qu’après un certain temps de mauvaises habitudes de vie.

La coauteure de l’étude, Christina Fung, a constaté que « les patients souffrant d’embonpoint et d’obésité coûtent plus cher au système d’assurance santé en termes de médicaments », tel que rapporté par Medical News Today.

L’autre coauteur, Paul Veugelers, a indiqué que le gouvernement devrait mettre un accent beaucoup plus grand sur la prévention de l’obésité. « En investissant dans la promotion d’un mode de vie sain et actif chez les enfants, le gouvernement pourrait immédiatement obtenir un retour financier en terme de coûts associés au système de santé », a-t-il affirmé.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue médicale Archives in Childhood Diseases.

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La race et l’ethnie : facteurs déterminants de l’obésité

C’est ce que dévoile une étude publiée dans The Annals of American Academy of Political and Social Science.

« Aux États-Unis, les enfants hispaniques et les enfants noirs de mères nées dans leur pays d’origine ont un plus haut risque de surpoids que les enfants de mères blanches nées dans leur pays. En Angleterre, les enfants issus de mères noires nées dans leur pays d’origine ont un plus haut risque de surpoids, et dans certains modèles, les enfants issus de mères asiatiques nées dans leur pays ont un plus haut risque », selon les auteures de l’étude, Melissa L. Martinson, Sara McLanahan et Jeanne Brooks-Gunn.

L’obésité infantile est une grande préoccupation pour les chercheurs, puisqu’elle mène souvent à l’hypertension, au diabète et à un taux élevé de cholestérol.

Rappelons que les enfants obèses développeraient plus de risques de maladies cardiaques que l’on ne voit habituellement qu’à l’âge adulte.

Les facteurs de risques menant à des problèmes cardiaques sont la haute pression sanguine, le haut taux de cholestérol et de sucre ainsi que l’épaississement des muscles du coeur.

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L’obésité mettrait en danger le coeur des enfants

Les facteurs de risques menant à des problèmes cardiaques sont la haute pression sanguine, le haut taux de cholestérol et de sucre ainsi que l’épaississement des muscles du coeur.

Avec ces symptômes, le risque de maladie cardiaque augmente de 40 %.

Publiée dans le journal BMJ, l’étude est la preuve évidente pour les experts que l’on doit agir afin de prévenir l’obésité chez les enfants.

« Nous devons vraiment faire quelque chose pour l’obésité infantile dès le plus jeune âge des enfants. […] Nous avons prouvé que l’obésité n’est pas seulement une question d’apparence, mais peut avoir un effet à long terme sur la santé de l’enfant. En n’éradiquant pas complètement le problème, nous pourrions perdre le progrès qui a été fait dans le traitement des maladies cardiaques dans les dernières années », explique la chercheuse en chef derrière cette découverte, Claire Friedman.

Rappelons qu’à l’échelle sociale, plusieurs projets peuvent aider à contrer ce phénomène. Par exemple, une nouvelle étude de faisabilité démontre de façon probante qu’un programme d’intervention auprès des enfants obèses, accessible dans la communauté, faciliterait la perte de poids.

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Des jeux vidéo excellents pour la santé des jeunes

Selon une nouvelle étude reprise par nlm.nih.gov, les jeunes qui jouent à des jeux vidéo considérés « actifs » (Kinect sur XBOX 360, Nintendo Wii, etc.) font augmenter leur rythme cardiaque, utilisent plus d’oxygène et dépensent plus d’énergie. Résultat : ils sont plus en forme.

Qui aurait cru que les jeux vidéo viendraient à la rescousse d’un problème qu’ils ont largement contribué à faire émerger : l’obésité chez les jeunes. Cette nouvelle vague de jeux, possible grâce aux technologies modernes de reconnaissance de mouvements, permet d’encourager l’activité physique chez les jeunes, affirment Stephen Smallwood et ses collègues de l’Université Chester, en Angleterre.

« Même s’il est peu probable que ces jeux puissent procurer, à eux seuls, la quantité recommandée d’exercice physique pour contrer l’obésité et assurer le bien-être physique, ils sont un facteur majeur à court terme », concluent les chercheurs.

L’étude a été réalisée sur 10 garçons et 8 filles âgés de 11 à 15 ans, qui jouaient sur des systèmes de reconnaissance de mouvements, comme la Kinect (Microsoft, XBOX 360).

Même s’ils ne peuvent faire le travail à eux seuls, ces jeux sont plus recommandables que les jeux traditionnels avec contrôle par manette, qui demandent d’être assis.

Par exemple, Dance Central et Kinect Sports: Boxing, ciblés durant l’étude, augmentaient le niveau d’énergie déployé par ces jeunes de 150 et 263 % respectivement, par rapport aux jeux traditionnels.

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Les boissons sans sucre sont-elles efficaces chez les jeunes?

Même si ça semble évident, le doute demeure toujours lorsqu’il est question des boissons dites « sans sucre ». La question se pose spécialement chez les jeunes, ces derniers étant friands des nombreuses boissons retrouvées sur le marché.

Une étude menée à l’hôpital pour enfants de Boston démontre que la prise de poids est moins sévère lorsque les jeunes consomment des boissons dépourvues de sucre. Il s’agirait donc d’une arme puissante dans la lutte à l’obésité, fléau grandissant en Amérique du Nord.

Selon ce que nous apprend santelog.com, l’étude a été conduite par Cara Ebbeling et David Ludwig, professeurs au New Balance Foundation Obesity Prevention Center. Ces derniers ont donc évalué les consommations de boissons sucrées de 224 adolescents, puis fait la corrélation avec la masse corporelle acquise durant cette période donnée.

La différence de poids acquis entre les consommateurs de boissons sucrées et non sucrées tournerait autour de deux kilos sur une période d’un an. Il s’agit là d’une différence substantielle.

Personne ne sera surpris d’apprendre que les boissons sucrées diverses ont le plus gros impact dans la nutrition des jeunes. On parle ici de 10 à 15 % de l’apport calorique total.

 C’est donc un changement drastique pour le corps que de passer au « sans sucre », surtout lorsqu’on pense que les jeunes nord-américains consomment jusqu’à 1,7 fois plus de liquides sucrés que leurs homologues français.

Il faut également rappeler que de saines habitudes de vie prises en bas âge constituent un avantage majeur tout au long de la vie d’adulte.

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Deux nouveaux médicaments pour combattre l’obésité

Le Belviq et le Qsymia ont officiellement été approuvés en juillet dernier. Le Belviq agit en coupant la faim, tandis que le Qsymia diminue les effets sur le corps de la perte de poids en empêchant l’organisme de réagir comme s’il faisait face à la « famine ».

« Ces médicaments fonctionnent grâce à la biologie pour réduire l’appétit, diminuer la faim et améliorer la satiété », explique la spécialiste de l’obésité, Donna Ryan.

Toutefois, les patients qui consommeront ces médicaments devront quand même suivre une diète, manger moins et faire davantage d’activité physique, puisque le Belviq et le Qsymia ne feront que les aider à moins manger.

Les effets secondaires liés à la consommation de ces produits sont la constipation ainsi que le picotement des orteils et des doigts. De plus, les patients pourront avoir de la difficulté à saliver.

Le Qysmia peut aussi augmenter les battements cardiaques et peut entraîner des malformations congénitales. Le Belviq peut également intervenir avec des traitements contre les migraines ou la dépression.

Rappelons qu’il existe une corrélation probante entre la détection dans l’urine d’une forte concentration de BPA et la prévalence à l’obésité.