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Le bisphénol A, omniprésent et responsable de l’obésité infantile

L’étude menée auprès de 3000 enfants et adolescents est plutôt inquiétante. La recherche, effectuée par la New York University School of Medicine, conclut à une corrélation probante entre la détection dans l’urine d’une forte concentration de BPA et la prévalence à l’obésité.

Ainsi, durant l’étude, plus de 90 % des jeunes âgés de 6 à 19 ans présentait une concentration de BPA détectable dans leur urine. Pour déterminer le lien entre le taux de concentration et les risques d’obésité, l’indice de masse corporel (IMC) était également pris en considération.

Or, les résultats publiés par le Dr Leoardo Trasande de la NYU School of Medicine, selon santelog.com, démontrent clairement que le taux élevé de BPA augmente le risque d’obésité chez les enfants de plus de deux fois et demie.

Ce n’est pas tant cette information qui choque, que le fait que le bisphénol A est omniprésent, et ce, jusque dans les préparations de lait que les nourrissons boivent. Il s’agit d’un produit chimique environnemental, interdit dans certains pays, du moins pour la nourriture pour bébé.

Le Dr Trasande a même indiqué que plusieurs études ont déjà traité du sujet, indiquant même que le BPA pouvait perturber de nombreux mécanismes métaboliques. Seulement, le lien avec l’obésité infantile n’avait pas encore été mis en lumière.

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La graisse abdominale est un plus gros facteur de risque pour le diabète

Le journal JAMA dévoile que la graisse abdominale est un plus grand facteur de risque pour le diabète de type 2 qu’une obésité mieux répartie sur l’ensemble du corps.
 
Les personnes ayant plus de graisse viscérale (abdominale) développent généralement une plus grande résistance à l’insuline et ont donc plus de risques de développer le diabète.
 
« Une augmentation marquée de la prévalence du surpoids et de l’obésité a contribué à un doublement de l’incidence du diabète de type 2 ces 30 dernières années. Le prédiabète, une situation clinique intermédiaire entre l’hyperglycémie et le diabète, est également associé à l’obésité et entraîne un risque accru de maladies cardiovasculaires (MCV) et de décès. L’indice de masse corporelle (IMC), si associé au diabète en population générale, ne suffit pas à qualifier le risque de diabète chez les personnes obèses », explique le Dr James A. de Lemos de l’Université du Texas.
 
Beaucoup de personnes obèses résistent au développement de maladies métaboliques, observent les chercheurs. L’incidence du diabète n’augmenterait pas seulement avec l’obésité, mais il est grandement accru lorsque l’on parle de graisse abdominale.
 
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Comment répondre à votre enfant qui demande s’il est gros?

Un enfant obèse dépasse l’IMC (indice de masse corporelle) normal qui devrait être associé à son âge, son sexe et sa grandeur, entre autres. Mais parfois, la marge est mince. Pour un enfant, 20 kg peut représenter le poids normal, 22 kg de l’embonpoint, puis 25 kg de l’obésité. Ainsi, si vous vous posez la question, demandez à votre médecin.

Il se peut même que la question fatidique vienne justement à la suite d’une rencontre avec le pédiatre. « Maman? Est-ce que je suis gros (ou grosse)? »

D’abord, soyez honnête, mais préparez-vous des réponses positives et réalistes.

Il faut avouer à son enfant que selon son médecin, ou selon votre constat, il faudrait qu’il soit plus en santé. Dites-lui qu’il est beau de toute façon, qu’un surplus de poids n’empêche en rien le charme d’une personne. Cependant, apportez-lui des faits, causés par l’obésité à long terme. Difficulté à faire des activités, douleurs physiques, souffle court, etc.

Axez également la conversation sur l’importance de bouger, de choisir des aliments qui éviteront que notre ventre crie après 1 heure. Dites-lui que vous êtes là pour l’accompagner dans le processus.

S’il le faut, emmenez votre enfant à l’épicerie et faites le tour des allées avec lui pour qu’il se familiarise avec les changements que vous devez, vous aussi, apporter à votre alimentation.

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Enfant unique, enfant obèse?

Menée auprès de 12 700 enfants de 2 à 9 ans, et ce, dans 8 pays européens, cette recherche à grande échelle affiche des résultats sans équivoque. Ceux-ci, selon santelog.com, sont publiés dans la revue Nutrition and Diabetes.

De plus, le surpoids et l’obésité chez les enfants uniques ne présentaient aucune corrélation avec le mode de vie de l’enfant, et c’est ce qui préoccupe les chercheurs. Ainsi, malgré le questionnaire soumis aux parents, relativement à l’activité physique, le sexe, le poids de naissance, etc., ce ne sont que les enfants seuls qui présentaient un risque accru d’obésité de 50 %.

« Être un enfant unique est donc un facteur de risque de surpoids indépendant des autres facteurs explicatifs », note une chercheuse de l’Université de Göteborg, Monica Hunsberger.

Cette étonnante constatation pousse les responsables à vouloir effectuer de nouvelles recherches, mais cette fois concentrées uniquement sur les familles ayant un enfant unique. La raison est simple : plus de 22 millions d’enfants en Europe présentent un surpoids, et les familles ont de moins en moins d’enfants.

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Programme communautaire qui contribuerait à la diminution de l’obésité infantile

En ce moment, seuls les parents qui ont les moyens peuvent offrir des programmes de perte de poids accompagnés de spécialistes en clinique à leurs enfants. Or, la recherche proposée par le Temple University’s Center for Obesity Research and Education (CORE) indique que le programme clinique peut facilement être enseigné au niveau de la communauté.

Selon eurekalert.org, il a été prouvé qu’à la suite d’une période de 6 mois de ce traitement avec accompagnateur, 10 % des participants n’étaient plus considérés comme obèses.

« C’est impressionnant », a déclaré Gary Foster, directeur du CORE et instigateur de la recherche. « Si un programme tel que celui-ci était implanté à travers le pays, il y aurait 10 % moins d’enfants obèses. C’est un impact considérable qui aurait des répercussions significatives sur l’économie et les services de santé ».

Les enfants et leurs parents prenaient part à 12 séances de groupe sur les bonnes méthodes de nutrition, des idées d’activités et des méthodes pour éviter les aliments gras, frits ou sucrés. En parallèle, 12 autres rencontres individuelles permettaient de voir où en était la progression et quelles étaient les difficultés rencontrées.

Foster a mentionné que les accompagnateurs n’avaient jamais traité l’obésité infantile auparavant, ce qui démontre la facilité d’apprentissage de cette méthode clinique. Si le programme était intégré à la communauté, à travers les écoles, églises ou autres institutions communautaires, l’impact serait grandiose.

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Lire les étiquettes permet de rester mince

Des chercheurs ont voulu savoir s’il y avait un lien entre l’obésité et la lecture des étiquettes nutritionnelles. Selon l’Agriculturals Economics, il y en aurait bel et bien un, surtout chez les femmes.
 
Les femmes qui prennent le temps de lire les informations nutritionnelles des aliments pèseraient près de 4 kilos de moins que les femmes qui ne lisent pas les étiquettes.
 
« Nous avons d’abord analysé le profil des consommatrices qui lisent l’étiquette nutritionnelle lors de l’achat, puis nous sommes passés à l’étude de la relation avec le poids », explique l’auteure principale des travaux, Maria Loureiro.
 
De plus, on constate également que les fumeurs sont moins susceptibles de lire les informations nutritionnelles des produits.
 
L’étude révèle que 58 % des hommes disent lire les étiquettes, contre 75 % des femmes. La différence de poids se note surtout chez les femmes.
 
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Obésité chez l’enfant et l’adolescent : causes différentes, mais liées

Il s’agit des conclusions d’une étude menée auprès de 19 125 enfants de 1 à 17 ans, divisés en deux catégories, soit avant et après 9 ans. C’est à l’Université de la Caroline du Nord que les chercheurs ont procédé au sondage. Les résultats détaillés, selon santelog.com, se retrouvent dans l’édition du 10 septembre 2012 de la revue Pediatrics.

Avant l’âge de 9 ans, c’est la mauvaise alimentation ou le surplus de consommation de nourriture qui développe l’obésité. Par conséquent, ces enfants deviennent de moins en moins actifs physiquement.

Après 9 ans, la sédentarité étant déjà installée, même si les préadolescents et adolescents consomment moins de calories que leurs pairs, ils maintiennent ou accroissent leur obésité. Impossible, donc, de contrer le surplus de masse graisseuse accumulée au cours des années de la petite enfance et de l’enfance.

Il n’y a pas de multiples solutions, les parents doivent sans attendre porter une attention particulière à la consommation de nourriture de leurs jeunes enfants.

Justement, une étude ultérieure mentionnait qu’il faut éviter de forcer l’enfant s’il n’a pas faim. Qui plus est, ne laissez jamais un jeune enfant se cloîtrer et devenir inactif, car il en paiera le prix à l’adolescence, moment où il est le plus difficile de se priver de nourriture.

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Composé chimique inévitable qui cause l’obésité chez les filles

C’est une recherche menée à l’Emory University qui rapporte ces données, publiées sur santelog.com. Les PFC sont des composés industriels qui se retrouvent notamment dans les ustensiles de cuisine antiadhésifs et dans les emballages alimentaires. Impossible d’y échapper.

Il a déjà été démontré que les PFC augmentaient le risque d’obésité et de diabète chez l’adulte, mais désormais, il faut en tenir compte également au niveau prénatal. Les PFC se retrouvent dans les fluides humains, et donc également dans le lait maternel et le sang du cordon ombilical.

Un total de 447 jeunes filles ont participé à l’étude britannique appuyée par les Centers for Disease Control and Prevention. Un suivi a été effectué à partir de la grossesse, jusqu’à 20 mois suivant la naissance des fillettes.

Bien que le poids à la naissance fût inférieur à la normale, les fillettes obtenaient un poids supérieur à la moyenne dès l’âge de 20 mois.

La chercheuse principale et professeure d’épidémiologie, Michele Marcus, explique : « Les recherches précédentes sur l’animal et sur l’humain suggèrent que l’exposition prénatale aux PFC peut avoir des effets néfastes sur la croissance fœtale et postnatale ».

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Trop manger : les enfants sont sous pression

Que ce soit pour terminer leur assiette, manger de force des légumes qu’ils ne veulent pas avaler ou simplement les obliger à se nourrir lorsqu’ils n’ont pas faim, ces mauvaises habitudes sont le fruit, bien souvent, d’une mauvaise conception de la faim et de la satiété.

L’étude, mentionnée sur le site medicalnewstoday.com, indique que les jeunes enfants âgés de 2 à 4 ans, dont au moins l’un des parents est obèse ou en surpoids, peuvent éviter l’obésité plus tard. Pour ce faire, les parents doivent appliquer la technique « DOR » ou Division de responsabilité.

Le principe a pour but d’enseigner aux parents à laisser l’enfant choisir la quantité de nourriture qu’il souhaite ingérer, sans le forcer à se gaver. S’il n’a pas faim au repas, il faut l’accepter.

Il a été démontré que les parents en surpoids qui suivaient un régime pour modifier leurs habitudes alimentaires étaient plus enclins à forcer leurs enfants à manger, puisqu’il s’agissait d’aliments santé. En contrepartie, les parents qui appliquaient le principe DOR transmettaient un meilleur enseignement de bonnes habitudes alimentaires à leurs enfants.

Le Dr Agras, qui a mené l’étude, affirme que tout parent « doit améliorer ses efforts pour enseigner la façon adéquate de se nourrir, en choisissant des aliments santé. Mais dans tous les cas, il faut éviter de mettre de la pression pour que l’enfant se nourrisse ».

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L’exposition prénatale aux PFC pourrait entraîner l’obésité chez l’enfant

(Relaxnews) – Une étude britannique a montré que l’exposition prénatale aux polluants domestiques que l’on trouve communément dans les ustensiles de cuisine antiadhésifs, certains emballages de produits ou des revêtements imperméables pouvait entraîner la naissance de nouveau-nés plus petits que la normale, susceptibles par la suite de souffrir d’obésité.

Pour cette étude, des chercheurs des Centers for Disease Control and Prevention se sont intéressés à 447 petites filles britanniques et leurs mères. Ils ont remarqué qu’une forte exposition aux composants perfluorés (PFC) entraînait des nourrissons plus petits à la naissance, mais des bébés plus lourds à 20 mois, pouvant ainsi ouvrir la voie à l’obésité.

Pour mener cette recherche, publiée dans la revue Environmental Health Perspectives, les scientifiques ont mesuré les taux de concentration de PFC dans le sang de la mère et ont analysé l’association entre la concentration de PFC prénatale et le poids du bébé à la naissance, puis à 20 mois.

En début d’année, un groupe de chercheurs américains avait par ailleurs montré que les bureaux étaient potentiellement plus toxiques que les maisons, après avoir mesuré les taux de PFC présents dans le sang d’employés. Ces substances toxiques sont présentes dans certains revêtements traités contre les tâches, la peinture et le mobilier de bureau. Cette étude a montré que les concentrations de PFC pouvaient être trois à cinq fois plus fortes au bureau qu’à la maison.