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Un décès sur dix est lié au manque d’exercice dans le monde

Le tiers des adultes ne bougent pas assez, selon les données, et une étude publiée dans The Lancet révèle qu’un décès sur dix dans le monde peut être lié au manque d’exercice physique.
 
Seulement en 2008, 5,5 millions des 57 millions de décès rapportés dans le monde étaient causés par l’inactivité physique.
 
« Le rôle de l’inactivité physique continue à être sous-évalué en dépit de preuves solides existant depuis plus de 60 ans quant à son impact sur la santé. Il en reste beaucoup à faire pour traiter l’absence d’exercice comme un vrai problème de santé publique », mentionne le chercheur Harold W. Kohl.
 
L’inactivité physique serait également liée à 6 à 10 % des quatre grandes maladies, soit les maladies cardio-vasculaires, le diabète de type 2, le cancer du sein et celui du côlon.
 
Ces maladies ont plus de risques de se développer si vous faites moins de 150 minutes d’activité physique modérée par semaine, ce qui représente environ 30 minutes de marche rapide, cinq jours par semaine.
 
Seulement pour les maladies cardiovasculaires, on rapporte qu’en 2008, 400 000 décès auraient pu être évités simplement avec des exercices réguliers.
 
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Le surpoids chez l’enfant est-il réellement lié à la défaite scolaire?

À en croire les dires de la Dre Stephanie von Hinke Kessler Scholder de l’Université de York, lorsqu’un enfant obèse n’obtient pas de bons résultats scolaires, il ne faudrait pas mettre la faute sur son surpoids, mais plutôt sur des éléments environnementaux qui peuvent influencer le poids infantile, comme le statut socio-économique de la famille.

L’Economic and Social Research Council (ESRC) britannique appuie la spécialiste qui « a voulu vérifier si l’obésité entrave directement la performance ou si les enfants obèses réussissent moins bien en raison d’autres facteurs confondants, associés également à l’obésité, comme les niveaux d’éducation ou de revenus de la famille ».

En explorant les données et l’ADN d’environ 4000 enfants participants à l’étude Children of the 90s Birth Cohort Study et en découvrant deux marqueurs génétiques importants qui permettent de pointer du doigt les jeunes qui sont prédisposés à l’obésité, l’experte a pu conclure que les enfants obèses réussissent effectivement légèrement moins bien en classe.

Toutefois, lorsque la chercheuse ne se penche que sur les marqueurs génétiques de l’obésité et ne tient pas compte d’autres facteurs environnementaux, elle ne trouve aucune preuve de cause à effet entre l’obésité et le succès ou la défaite scolaire.

Voilà pourquoi la recherche doit se poursuivre, pour prouver plus en détail que des éléments comme la classe socio-économique de la famille, par exemple, peuvent être des facteurs qui ont plus d’impact sur les résultats scolaires que le poids de l’enfant.

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Bientôt un vaccin contre l’obésité

(Relaxnews) – Un nouveau vaccin contre l’obésité a enregistré des résultats prometteurs sur des rats de laboratoire. Ce nouvel outil, qui pourrait s’avérer « révolutionnaire » selon les scientifiques, contribue à stimuler le système immunitaire pour s’en prendre à une hormone qui ralentit le métabolisme et encourage la prise de poids.

L’étude a été publiée dans la revue Journal of Animal Science and Biotechnology. Des tests en laboratoire ont montré qu’à peine quatre jours après l’injection du vaccin, les rats obèses enregistraient une perte de 10 % de leur masse corporelle.

Les chercheurs ont testé deux versions légèrement différentes du vaccin, et toutes deux confirmaient cette perte de 10 % à la suite d’une piqure de rappel, 22 jours plus tard.

Pour juguler l’obésité, ce nouveau vaccin recourt à une forme modifiée de somatostatine, une hormone peptidique. Chez les souris, mais aussi chez l’homme, la somatostatine inhibe l’action de l’hormone de croissance et permet la perte de poids.

Même si, pour cette étude, les cobayes ont reçu de fortes doses du vaccin, une autre étude, dont a récemment parlé le Telegraph anglais, a montré l’efficacité de ce vaccin à moins forte dose. Avant de tester ce vaccin sur des sujets humains, les chercheurs vont mener une batterie de tests sur des cochons et des chiens obèses.

Par ailleurs, l’agence sanitaire américaine a récemment autorisé la mise sur le marché du Lorcaserin, le premier traitement contre l’obésité à être commercialisé depuis plus de dix ans. Ce médicament est distribué par Belviq et fabriqué par le laboratoire Arena Pharmaceuticals.

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Un simple vaccin contre l’obésité?

Publiée hier (9 juillet) dans la dernière édition du Journal of Animal Science and Biotechnology, l’étude n’en est qu’à ses balbutiements.

Elle es présentement effectuée sur des souris, mais les résultats sont déjà probants. 

Il s’agit en fait d’un vaccin à base de somatostatine JH17 et JH18 modifiés, une hormone peptidique. Cela amène notre organisme à produire des anticorps contre la somatostatine, sans pour autant affecter les hormones de croissance. 

Conséquence? Le métabolisme augmente sa dépense énergétique et la maintien, ce qui mène à la perte de poids. 

Pour le moment, les résultats obtenus suite à l’injection sur des souris obèses ont été concluants.  Une perte de 10% du poids corporel était déjà enregistrée 4 jours après la première injection.  

Pendant les 6 semaines de traitement, les souris évaluées poursuivaient un régime hypercalorique, mais au terme de la recherche, la perte de 10% avait été maintenue. 

Keith Haffer, principal responsable de la percée de ce vaccin, rappel que la recherche doit être poursuivie afin de connaître les conséquences à long terme de l’utilisation d’un tel vaccin. 

D’autre part, il s’agit avant tout d’une solution contre l’obésité chronique, de plus en plus répandue à travers le monde, ce qui éliminerait la médication et les chirurgies normalement employées pour stabiliser la situation.

Il n’est donc pas question de l’utiliser pour une perte de poids superficielle.

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Un simple vaccin contre l’obésité?

Publiée hier (9 juillet) dans la dernière édition du Journal of Animal Science and Biotechnology, l’étude n’en est qu’à ses balbutiements.

Elle es présentement effectuée sur des souris, mais les résultats sont déjà probants. 

Il s’agit en fait d’un vaccin à base de somatostatine JH17 et JH18 modifiés, une hormone peptidique. Cela amène notre organisme à produire des anticorps contre la somatostatine, sans pour autant affecter les hormones de croissance. 

Conséquence? Le métabolisme augmente sa dépense énergétique et la maintien, ce qui mène à la perte de poids. 

Pour le moment, les résultats obtenus suite à l’injection sur des souris obèses ont été concluants.  Une perte de 10% du poids corporel était déjà enregistrée 4 jours après la première injection.  

Pendant les 6 semaines de traitement, les souris évaluées poursuivaient un régime hypercalorique, mais au terme de la recherche, la perte de 10% avait été maintenue. 

Keith Haffer, principal responsable de la percée de ce vaccin, rappel que la recherche doit être poursuivie afin de connaître les conséquences à long terme de l’utilisation d’un tel vaccin. 

D’autre part, il s’agit avant tout d’une solution contre l’obésité chronique, de plus en plus répandue à travers le monde, ce qui éliminerait la médication et les chirurgies normalement employées pour stabiliser la situation.

Il n’est donc pas question de l’utiliser pour une perte de poids superficielle.

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Le cercle d’amis influence l’obésité?

Les résultats d’une nouvelle étude de l’Université Loyola, parus dans la revue PLoS ONE, prouvent que le cercle d’amis peut influencer le poids d’une personne.

En effet, les chercheurs ont découvert que les étudiants du secondaire prenaient plus de poids si leurs amis pesaient plus qu’eux. Inversement, les jeunes qui s’entouraient de personnes ayant un poids moindre demeuraient plus minces ou prenaient du poids moins rapidement.

Les spécialistes ont examiné les données de 1775 jeunes de deux écoles secondaires, qui devaient répondre à des questions et se soumettre à la pesée. Le but était de savoir si le lien entre le cercle d’amis et l’obésité provenait de l’influence entre comportements réciproques ou du simple fait que ceux qui se ressemblent s’assemblent.

Leur conclusion est qu’il y a un peu de ces deux causes dans le lien. Ainsi, il est vrai que le poids initial influence le choix des amis, mais l’influence sociale porte aussi les jeunes à imiter les comportements de leurs pairs.

Et malheureusement, cette influence est encore plus vraie pour les voies plus préjudiciables, donc les adolescents peuvent facilement reproduire les mauvais comportements alimentaires de leurs amis.

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La chirurgie bariatrique peut augmenter les abus d’alcool

Le Journal of American Medical Association dévoile une étude un peu surprenante concernant la chirurgie de l’obésité ou bariatrique.
 
Apparemment, elle augmente le risque d’abus d’alcool chez les patients dans les deux ans qui suivent l’intervention.
 
L’étude a suivi près de 2000 personnes ayant subi ce type de chirurgie. 70 % avaient eu un pontage gastrique, qui consiste à réduire la taille de l’estomac et raccourcir l’intestin, 25 % avaient un anneau gastrique, et 5 % avaient eu un autre type d’intervention.
 
On a suivi ces patients un mois avant la chirurgie, puis on les a revus un an et deux ans après.
 
Ils ont été considérés comme ayant des troubles liés à l’alcool s’ils étaient incapables de cesser de boire une fois qu’ils avaient commencé ou encore s’ils avaient des pertes de mémoire liées à leur consommation. Les hommes et les jeunes adultes étaient les plus vulnérables.
 
Comparativement à leur consommation avant l’intervention chirurgicale, on a noté une augmentation de 50 % de la prévalence des troubles liés à l’alcool. Une personne sur huit prenait en moyenne 3 verres d’alcool par jour après deux ans.
 
Cette constatation met en évidence qu’il faut également un suivi concernant la consommation d’alcool des patients qui ont subi ce type d’intervention pour perdre du poids.
 
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La peau de la pomme pour vaincre l’obésité

Si vous consommez des pommes, mangez-les avec leur peau. Celle-ci contient de l’acide ursolique qui a la faculté d’accélérer la combustion des calories.
 
Selon la revue PLoS ONE, les chercheurs sont parvenus à réduire l’obésité des souris qui avaient une alimentation riche en gras avec ce type d’acide.
 
L’acide ursolique a non seulement la faculté de brûler les graisses, mais augmente également la masse musculaire.
 
Ces deux phénomènes ont été observés sur des souris obèses, ce qui laisse croire à l’équipe de l’Université de l’Iowa que cela pourrait aussi protéger contre le prédiabète et la maladie du foie gras.
 
« Grâce à de précédentes recherches, nous savions que l’acide ursolique augmente la masse musculaire et l’énergie chez des souris saines, ce qui pouvait suggérer ses bénéfices dans le traitement de l’atrophie musculaire », explique le professeur Christopher Adams.

 
De plus, on constate que l’acide ursolique aurait aussi la capacité d’augmenter la graisse brune qui, elle, contribue à protéger de l’obésité.
 
« Notre étude suggère que l’acide ursolique augmente le muscle squelettique et le tissu adipeux brun, entraînant une combustion plus importante de calories et donc un effet protecteur contre l’obésité liée à un régime riche en graisses », ajoute le professeur.
 
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Les géants alimentaires se défendent

Alors que le maire de New York, Michael Bloomberg, tente d’interdire la vente de boissons sucrées de plus d’un demi-litre dans les restaurants de la ville, le PDG de Coca-Cola, Muhtar Kent, se défend.
 
Dans une entrevue accordée au Wall Street Journal, M. Kent refuse que le secteur des sodas en général et son groupe en particulier soient pointés du doigt pour l’épidémie d’obésité dans la société.
 
« Il s’agit d’un problème de société compliqué sur lequel nous devons tous travailler pour trouver une solution. C’est pourquoi nous travaillons avec les gouvernements, le secteur des affaires et la société civile pour avoir des programmes de vie active dans tous les pays où nous sommes présents d’ici à 2015 », a déclaré Kent en entrevue.
 
Le PDG rappelle que 800 produits faibles en calories ou encore sans calories ont été lancés dans les cinq dernières années.
 
« Je trouve que c’est inexact et injuste d’accuser un seul ingrédient, un seul produit, une seule catégorie d’aliments », ajoute-t-il.

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Les boissons gazeuses ne sont pas responsables de l’obésité infantile

En fait, la plupart des jeunes ou des enfants qui consomment des boissons gazeuses sucrées ne sont pas plus à risque de développer de l’obésité que leurs camarades qui boivent des boissons meilleures pour la santé.

« Nous avons découvert que les boissons sucrées étaient les plus populaires durant l’enfance, mais n’avons pas remarqué de lien consistant entre la consommation de ces boissons et le surpoids ou l’obésité », explique l’auteure de la recherche, Susan J. Whiting.

Toutefois, il ne faut pas sous-estimer les dommages que peuvent causer de telles boissons à la santé globale des enfants, ni les écarter de la liste des facteurs pouvant mener à l’obésité infantile.

« Les habitudes alimentaires et de boissons formées tôt dans la vie ont tendance à se poursuivre jusqu’à l’âge adulte. La surconsommation de boissons sucrées pourrait augmenter les risques de surpoids et d’obésité chez votre enfant », dit-elle.

Rappelons que les enfants qui consomment régulièrement des boissons gazeuses seraient plus à risque de développer des maladies cardiovasculaires en vieillissant.