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Le stress et l’obésité derrière la puberté précoce

L’étude de chercheurs américains a démontré que la poitrine des petites filles dont le père était absent était 2,4 fois plus susceptible de se développer plus tôt.

L’enfant peut être affecté par des changements dans le milieu familial même si les relations entre les parents ne sont pas tendues.

« Il peut y avoir un beau-père ou l’enfant peut vivre dans deux maisons. Tout ça est assez stressant, et c’est beaucoup plus commun aujourd’hui que ça ne l’était avant », explique Richard Sharpe du Center for Reproductive Health.

Aussi, ils ont établi un fort lien entre la puberté précoce, les relations sexuelles à un jeune âge ainsi que la grossesse à l’adolescence.

De plus, les chercheurs ont remarqué que le stress à long terme menant à la puberté précoce pouvait être dû à la pression des parents de jeunes filles pour qu’elles réussissent à l’école et se conforment aux autres.

Toutefois, ces facteurs ne font pas qu’accélérer la croissance des filles. En fait, la puberté précoce est liée à un risque plus élevé de cancer du sein plus tard dans la vie.

Rappelons qu’il n’y a pas que ces facteurs émotionnels qui peuvent accélérer le développement des jeunes filles. Une grande consommation de viande et de lait peut aussi influencer le début de la puberté, de même que certains produits chimiques que l’on retrouve dans le maquillage et le vernis à ongles, qui peuvent stimuler la production d’œstrogène.

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L’obésité infantile reliée aux mathématiques

C’est du moins ce que l’on peut lire sur Eurekalert.org. En fait, l’obésité infantile a augmenté de façon dramatique dans les dernières décennies et a été reliée à de nombreux problèmes jusqu’ici, mais les chercheurs de l’Université du Missouri l’ont associée à la performance de l’enfant en mathématiques.

« Notre étude suggère que l’obésité infantile, spécialement celle qui persiste jusqu’à l’école primaire, peut affecter le bien-être social et émotionnel de l’enfant ainsi que ses performances académiques », explique la professeure adjointe du Département de nutrition et de physiologie de l’exercice, Sara Gable.

Une étude a révélé que les jeunes filles obèses dès la maternelle avaient de moins bons résultats scolaires en mathématiques dès la première année d’école. Pour ce qui est des fillettes dont l’obésité est apparue plus tard, comme en troisième ou en cinquième année, les résultats se sont cependant améliorés.

Rappelons toutefois qu’une nouvelle étude veut que les filles, naturellement, aient plus de facilité en arithmétique que les garçons, en raison de leurs aptitudes verbales et de leur facilité à mémoriser.

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D’autres facteurs de risques pour l’hypersomnie

Ce n’est pas le manque de sommeil qui est le principal facteur de l’hypersomnie, ou somnolence diurne. Selon ce que des chercheurs ont présenté au congrès Sleep 2012, l’obésité et la dépression sont en tête de liste.
 
1741 personnes ont été suivies durant cette recherche. On constate effectivement que l’obésité et le stress émotionnel sont les principaux facteurs de la somnolence et de la fatigue.
 
Les personnes en surpoids ou obèses qui obtiennent une perte de poids voient habituellement leur hypersomnie être réduite considérablement. Même chose si on traite la dépression chez une personne.
 
Mis à part l’obésité et la dépression, le manque de sommeil, l’apnée du sommeil, l’hypertension, les accidents vasculaires cérébraux et le diabète peuvent aussi jouer un rôle dans le développement de la somnolence diurne. Cependant, ils viennent tous après l’obésité et la dépression.
 
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Une vitamine bienfaitrice cachée dans le lait

Des chercheurs suisses ont mis en évidence les bienfaits d’une vitamine que l’on retrouve notamment dans le lait, la nicotinamide riboside (NR).
 
Celle-ci a la capacité de prévenir l’obésité et le diabète et améliorerait les performances musculaires, indique le Cell Metabolism.
 
Les tests menés sur des souris ont permis de constater que celles ayant reçu la NR avaient pris beaucoup moins de poids que leurs congénères, en plus de ne pas développer le diabète.
 
Ces souris étaient également plus en forme et leurs fonctions métaboliques, comme la combustion des graisses et l’oxydation des cellules, avaient été améliorées après quelques semaines.
 
Avec cette vitamine, on ne note aucun effet secondaire non plus. « Il semble vraiment que les cellules utilisent ce dont elles ont besoin au moment où elles en ont besoin, et que le reste est mis en attente sans se transformer en un quelconque dérivé dangereux pour la santé », explique le chercheur Carles Canto.
 
Maintenant, les scientifiques doivent trouver la quantité à consommer pour pouvoir bénéficier de ces bienfaits.
 
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Un surplus de neurones responsable de l’obésité

Le Nature Neuroscience nous apprend qu’un surplus de neurones dans le cerveau pourrait causer l’obésité.
 
Ces neurones se développent dans la région du cerveau nommée l’hypothalamus qui est liée au stockage de graisses. Cette région est également associée au sommeil, à la température corporelle, à la faim et la soif, entre autres.
 
Les chercheurs ont découvert que d’inhiber la prolifération de ces nouveaux neurones pourrait mener à un nouveau traitement de l’obésité.
 
Par contre, les médecins ne sont pas parvenus à expliquer les fonctions de ces nouveaux neurones qui se développent dans l’hypothalamus.
 
Leurs études menées sur des souris démontrent que celles avec un régime riche en graisses voyaient leur prise de poids être multipliée par quatre. Si on freinait les nouveaux neurones, la prise de poids était beaucoup moins importante.
 
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L’amitié influence-t-elle l’activité physique durant la petite enfance?

Selon une petite recherche effectuée par Eric Tesdahl, un étudiant diplômé du département en développement humain et organisationnel de l’Université Vanderbilt, les enfants semblent vouloir bouger davantage s’ils sont entourés ou ont des amis actifs, et l’inverse est vrai aussi.

Pour donner l’occasion aux enfants moins actifs de s’activer ou vice-versa, l’auteur de l’étude propose que lors de la pratique de sports, les enfants moins actifs soient regroupés avec des enfants plus actifs, pour influencer leur comportement sédentaire et leur permettre de changer leur vision des choses et leurs habitudes de vie.

Le spécialiste croit que ce « regroupement » aurait de bonnes chances d’influencer la situation, car sa recherche suggère que les enfants sont influencés par leurs pairs, tentent de s’imiter entre eux et ajustent leur niveau d’activité physique selon leurs proches. Ils auraient tendance à augmenter ou diminuer de 10 % leur pratique quotidienne d’activité physique selon le genre d’amis qui les entourent.

L’étude publiée en ligne le 28 mai dans Pediatrics ne prouve cependant pas si l’amitié peut avoir une incidence directe sur la façon dont les enfants sont portés vers le sport, sur le niveau d’obésité ou sur le nombre d’heures d’activité physique pratiquées quotidiennement.

Pour arriver à ces résultats, des dispositifs appelés accéléromètres ont permis de calculer le niveau d’activité physique après les cours, lors de programmes parascolaires, et ce, durant trois mois auprès de 81 enfants majoritairement hispaniques et noirs âgés en moyenne de 8 ans.

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Grossesse : plus de vitamine D pour un bébé sans obésité

Parmi les 977 femmes qui ont participé à l’étude de la Medical Research Council Lifecourse Epidemiology Unit (MRC LEU) de l’Université de Southampton, celles qui avaient un faible taux de vitamine D durant leur grossesse étaient celles qui avaient les enfants les plus gras à l’âge de six ans.

Pour une première fois, une étude serait en mesure de démontrer que la carence en vitamine D durant la grossesse peut affecter le poids d’un enfant, donc qu’il y a une relation de cause à effet entre l’état de la mère pendant la grossesse et la composition corporelle de l’enfant.

Pour le docteur Robinson, auteur principal de l’étude publiée dans la revue American Journal of Clinical Nutrition, les résultats prouvent que « dans le contexte actuel de préoccupations sur le taux de vitamine D chez les femmes enceintes et l’augmentation de l’obésité infantile, nous avons besoin d’en apprendre davantage sur les conséquences à long terme sur la santé des enfants dont les mères avaient un manque de vitamine D. […] Bien que d’autres études soient nécessaires, nos résultats viennent ajouter le poids à nos préoccupations sur ce manque chez les femmes en âge de procréer ».

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Le mode d’accouchement influence la grosseur des bébés

L’étude américaine de l’Hôpital pour enfants de Boston ne s’attarde pas ici sur le fait qu’il y a des bébés de plus gros poids parce qu’ils ont des antécédents familiaux ou que les mères obèses ont plus souvent recours à la césarienne pour accoucher.
 
Il s’agit plutôt d’expliquer que l’accouchement par voie naturelle permet à l’enfant, durant le processus de naissance, de se munir d’anticorps et de s’exposer à des bactéries bénéfiques pour son métabolisme.
 
La césarienne ferait donc en sorte que le bébé est davantage en contact avec de mauvaises bactéries qui feraient en sorte qu’il brûle éventuellement moins bien les mauvaises calories.
 
En fait, les bébés qui naissent par césarienne ont deux fois plus de chances (16 %) de devenir des enfants obèses avant l’âge de trois ans, comparativement à ceux nés par voie vaginale (7,5 %), révèle l’étude parue dans le Journal Archives of Disease in Childhood.
 
Alors que la césarienne est utilisée majoritairement pour sauver la vie de bébés ou de mères, 7 % des cas ont lieu sans raison médicale.
 
Devant ce constat d’obésité infantile et cette hausse de césariennes accordées, Sue MacDonald, du Collège royal des sages-femmes, déclare : « Cela met en évidence la nécessité d’éviter les césariennes qui ne sont pas médicalement nécessaires ».
 
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La forme physique joue sur la qualité de la grossesse à 40 ans et plus

« Vous avez plus de quarante ans, vous n’êtes pas obèse et vous êtes en bonne santé, vous vous exposez à moins de risques de complications au cours d’une prochaine grossesse qu’une personne obèse de 40 ans », a déclaré John Barton, directeur de la médecine maternelle et fœtale au Central Baptist Hospital de Lexington, dans le Kentucky aux États-Unis.

À l’exception du taux de césarienne qui est beaucoup plus élevé, et ce, peu importe le poids, les femmes en forme âgées de 40 ans ne courent pas de risques « si différents de ceux qui attendent une femme plus jeune et non-obèse », précise le spécialiste.

Cependant, les femmes obèses qui tentent d’avoir un bébé après la trentaine sont plus susceptibles de donner naissance prématurément, de souffrir de diabète gestationnel et d’hypertension artérielle, révèlent les conclusions présentées au colloque annuel de l’American College of Obstetricians and Gynecologists à San Diego, en Californie.

Alors que l’on dénombre de plus en plus de naissances chez les femmes d’un âge avancé, les chercheurs ont observé les données de 53 000 femmes enceintes pour la première fois et avec différents indices de masse corporelle pour arriver à leurs conclusions.

On rappelle que bien que les chances de stérilité soient plus élevées en vieillissant, les femmes de 40 ans et plus peuvent vivre une grossesse heureuse si elles adoptent un mode de vie sain et qu’elles sont en forme.

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La forme physique joue sur la qualité de la grossesse à 40 ans et plus

« Vous avez plus de quarante ans, vous n’êtes pas obèse et vous êtes en bonne santé, vous vous exposez à moins de risques de complications au cours d’une prochaine grossesse qu’une personne obèse de 40 ans », a déclaré John Barton, directeur de la médecine maternelle et fœtale au Central Baptist Hospital de Lexington, dans le Kentucky aux États-Unis.

À l’exception du taux de césarienne qui est beaucoup plus élevé, et ce, peu importe le poids, les femmes en forme âgées de 40 ans ne courent pas de risques « si différents de ceux qui attendent une femme plus jeune et non-obèse », précise le spécialiste.

Cependant, les femmes obèses qui tentent d’avoir un bébé après la trentaine sont plus susceptibles de donner naissance prématurément, de souffrir de diabète gestationnel et d’hypertension artérielle, révèlent les conclusions présentées au colloque annuel de l’American College of Obstetricians and Gynecologists à San Diego, en Californie.

Alors que l’on dénombre de plus en plus de naissances chez les femmes d’un âge avancé, les chercheurs ont observé les données de 53 000 femmes enceintes pour la première fois et avec différents indices de masse corporelle pour arriver à leurs conclusions.

On rappelle que bien que les chances de stérilité soient plus élevées en vieillissant, les femmes de 40 ans et plus peuvent vivre une grossesse heureuse si elles adoptent un mode de vie sain et qu’elles sont en forme.