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L’obésité et les grossesses à un âge avancé doubleraient le risque de décès durant l’accouchement

Une étude menée sur des femmes londoniennes et publiée dans le journal médical Lancet a révélé que le nombre de décès chez les femmes enceintes avait doublé depuis 2005.

En 2010-2011, presque 20 accouchements sur 100 000 se sont mal terminés pour la mère, tandis que six ans plus tôt, il y en avait mois de 10.

Plusieurs cliniques de maternité s’inquiètent et ne peuvent faire face à ce nombre élevé de naissances risquées.

Aucune autre étude n’est comparable, puisque le Centre for Maternal and Child Enquiries du Royaume-Uni, qui se pencherait normalement sur la question, a dû cesser d’investiguer pour économiser de l’argent.

Les chercheurs ont pointé du doigt l’augmentation des cas d’obésité ainsi que la tendance à reporter la grossesse à un âge plus avancé comme causes de complications des accouchements.

« Deux facteurs sont combinés : les services de maternité sont sous la pression d’un taux d’accouchement de plus en plus élevé et ils doivent s’occuper de plus en plus de femmes avec des accouchements complexes », explique la secrétaire générale du Royal College of Midwives, Cathy Warwick.

Rappelons que le nombre plus élevé de femmes ayant recours à la fertilisation in vitro, qui augmenterait les chances d’avoir des jumeaux ou des triplets, donne cours à plus d’accouchements complexes.

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Le saumon d’élevage pourrait causer le diabète et l’obésité

Les substances toxiques de l’environnement ayant le lien le plus évident avec l’obésité, les syndromes métaboliques et le diabète sont les biphényles polychlorés (BCP) ainsi que les pesticides chlorés, des produits interdits d’utilisation depuis des décennies.

Ces substances toxiques sont appelées polluants organiques persistants, car ils restent longtemps dans l’organisme et s’accumulent avec le temps. En fait, les experts soutiennent qu’elles restent de 50 à 75 ans dans le corps.

Des études japonaises ont démontré qu’un haut niveau de BPC pouvait entraîner un diabète de type 2, puisqu’il cause une hausse du taux de sucre dans le sang.

Or, la plus grande source de ces composés toxiques pour l’humain est le saumon d’élevage.

Cependant, depuis qu’il a été prouvé que le poisson réduit les risques de maladies cardiaques, sa consommation a nettement augmenté.

Rappelons que pour connaître la provenance du poisson que vous achetez, il est possible de demander à votre poissonnier, si l’endroit où il a été pêché n’est pas indiqué sur l’étiquette.

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Le stress augmenterait le risque d’obésité chez les filles

C’est ce qu’une étude publiée dans l’édition du mois de mai de Pediatrics révèle.

L’étude s’est faite sur 1605 enfants de niveau préscolaire. Les experts ont noté différents facteurs de stress, comme les symptômes dépressifs chez la mère, la consommation de substances par celle-ci, l’insécurité à la maison ou encore la violence conjugale.

À l’issue de leur recherche, ils ont découvert que les filles qui vivaient plus d’un de ces facteurs de stress avaient un risque accru d’être obèses à l’âge de cinq ans.

Les fillettes avec plus de deux de ces facteurs étaient encore plus à risque de développer l’obésité.

Cependant, du côté des garçons, aucune donnée significative pouvant relier le stress à l’obésité n’a été relevée par les chercheurs.

Selon les auteurs de l’étude, ces facteurs de stress sont souvent vécus par des familles plus fragiles.

Ils estiment que les adultes qui côtoient des enfants, une fois mis au courant de ces facteurs, pourraient reconnaître plus facilement les enfants à risque et aider à développer des programmes d’intervention.

Rappelons que le diabète de type 2, l’hypertension et l’obésité, qui sont des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans, atteignent même les bébés aujourd’hui.

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Le stress augmenterait le risque d’obésité chez les filles

C’est ce qu’une étude publiée dans l’édition du mois de mai de Pediatrics révèle.

L’étude s’est faite sur 1605 enfants de niveau préscolaire. Les experts ont noté différents facteurs de stress, comme les symptômes dépressifs chez la mère, la consommation de substances par celle-ci, l’insécurité à la maison ou encore la violence conjugale.

À l’issue de leur recherche, ils ont découvert que les filles qui vivaient plus d’un de ces facteurs de stress avaient un risque accru d’être obèses à l’âge de cinq ans.

Les fillettes avec plus de deux de ces facteurs étaient encore plus à risque de développer l’obésité.

Cependant, du côté des garçons, aucune donnée significative pouvant relier le stress à l’obésité n’a été relevée par les chercheurs.

Selon les auteurs de l’étude, ces facteurs de stress sont souvent vécus par des familles plus fragiles.

Ils estiment que les adultes qui côtoient des enfants, une fois mis au courant de ces facteurs, pourraient reconnaître plus facilement les enfants à risque et aider à développer des programmes d’intervention.

Rappelons que le diabète de type 2, l’hypertension et l’obésité, qui sont des problèmes qui ne touchaient que les adultes il y a 30 ans, atteignent même les bébés aujourd’hui.

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Une quantité de sucre insoupçonnée dans les jus de fruits et les smoothies

Une étude de l’Université de Glasgow en Écosse démontre qu’il y a une importante quantité de sucre insoupçonnée dans les jus de fruits et les smoothies.
 
2000 personnes ont été interrogées. Elles devaient estimer la quantité de sucre de différentes boissons. Elles ont surestimé le sucre contenu dans les boissons gazeuses comparativement aux jus de fruits et smoothies, que l’on croit meilleurs pour la santé, rapporte TopSanté.
 
Pourtant, ce type de boissons contient 450 calories, ce qui représente le quart de l’apport quotidien recommandé pour les femmes, et le cinquième pour les hommes.
 
Une grande consommation de jus de fruits et de smoothies peut favoriser l’obésité, le diabète, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires.
 
Il est donc recommandé de réduire la consommation de telles boissons et de les remplacer par de l’eau ou d’autres boissons sans calories.

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L’obésité chez la femme enceinte donne de gros bébés

« Mis à part les autres facteurs, si vous êtes en surpoids ou obèse durant votre grossesse, vous aurez tendance à mettre au monde un plus gros bébé », a déclaré Zach Ferraro, le coauteur de l’étude réalisée par le CHEO Research Institute et l’Université d’Ottawa.

L’article paru dans le TorontoSun émet même les fortes chances que le bébé obèse devienne à son tour un adulte atteint de surpoids. Un cercle vicieux s’engendrerait alors, car ces futurs adultes donneraient à leur tour d’autres bébés obèses, expliquent les chercheurs.

Pour en arriver à cette conclusion, le mode de vie de 4300 femmes enceintes a été examiné.

Cependant, si une alimentation équilibrée, contrôlée et saine est adoptée durant la grossesse, même si la mère accusait un surpoids avant de concevoir, elle a de fortes chances d’améliorer la situation corporelle de son futur enfant.

Les spécialistes rappellent qu’une femme enceinte peut consommer 200 à 300 calories de plus qu’à l’habitude, et ce, quotidiennement.

L’objectif serait de limiter les apports caloriques durant la grossesse. Les chercheurs maintiennent qu’il y a de l’espoir pour une femme obèse de ne pas donner vie à un gros bébé, si elle fait plus attention à son mode de vie, dont son alimentation, durant la gestation.

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Grossesse : l’exposition à des polluants augmente l’obésité chez l’enfant

Les femmes enceintes vivant dans un milieu où il y a des concentrations plus élevées d’hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) ont deux fois plus de risque d’avoir des enfants obèses à 7 ans que les futures mères faiblement exposées.
 
C’est ce que révèle une récente étude de la Mailman School de l’Université Columbia, qui a observé 702 femmes enceintes non-fumeuses de 18-35 ans et leurs enfants, à New York.
 
Les chercheurs ont fait transporter pendant un certain temps à ces femmes un sac à dos contenant un dispositif analyseur d’air, indique l’American Journal of Epidemiology, qui rappelle que dans les milieux défavorisés, il y a 8 % plus d’enfants obèses (17 % contre 25 %).
 
Même si la mauvaise alimentation et le manque d’activité physique demeurent les deux éléments principaux influençant l’obésité, il est désormais prouvé que les enfants dont les mères ont été exposées durant la période prénatale aux substances polluantes de l’environnement ont 1,79 fois plus de chances d’être obèses à l’âge de 5 ans, et 2,26 fois d’être obèses à l’âge de 7 ans.
 
Ces jeunes peuvent avoir en moyenne 2,4 kg de plus de masse grasse que les enfants de mères moins exposées, en raison de la graisse corporelle et non de la masse osseuse ou musculaire.
 
Cette étude fait suite à des tests en laboratoire sur des souris qui ont permis de conclure que des expositions aux HAP empêchent la lipolyse, qui est la transformation des lipides pour fournir de l’énergie.
 
Une analyse britannique avait également déjà confirmé que l’exposition prénatale aux HAP peut affecter négativement le QI à l’enfance et engendrer de l’anxiété, un manque de concentration et la dépression chez les petits.
 
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Des noix contre l’obésité

Bien que certains diététistes écartent les noix dans la lutte contre l’obésité, en raison de leur teneur en gras, des études démontrent qu’elles peuvent réellement être un atout pour demeurer mince.
 
Les amandes, les noix de cajou et les pistaches sont bénéfiques pour la ligne.
 
Sur les 13 292 personnes qui ont participé à cette étude, on remarque que celles qui consommaient des noix avaient un poids inférieur aux autres, en plus d’avoir un indice de masse corporelle moindre et un tour de taille plus petit.
 
De plus, elles étaient moins susceptibles d’avoir des maladies cardiaques, du diabète de type 2 et un syndrome métabolique, mentionne le Journal of the American College of Nutrition.
 
Les noix devraient faire partie intégrante de notre alimentation. Les experts recommandent un apport quotidien de 1,5 oz, dans le cadre d’une alimentation équilibrée.

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Un enfant sur cinq pourrait être obèse en 2020

Sans cette réduction calorique, les auteurs prédisent que la moyenne des jeunes serait à près de quatre kilos de plus qu’un enfant ou un adolescent du même âge en 2007-2008. Plus de 20 % des jeunes seraient alors obèses, ce qui représente une hausse de 16,9 %.

L’étude, qui a été publiée dans l’American Journal of Preventive Medicine, indique que cet objectif pourrait être obtenu en diminuant l’apport calorique, en augmentant l’activité physique, ou les deux à la fois.

Les enfants et les adolescents qui ont un taux d’obésité élevé auront besoin de réductions caloriques plus importantes pour atteindre l’objectif national.

Les chercheurs ont analysé des décennies de données sur les taux d’obésité afin d’arriver à ces conclusions sur le nombre de jeunes qui seraient obèses en 2020.

Sur la base de ces tendances, les chercheurs prévoient que le taux d’obésité infantile serait d’environ 21 % en 2020, une hausse de 16,9 % par rapport à aujourd’hui.

Pour contrer l’obésité, les auteurs décrivent plusieurs stratégies qui pourraient aider les jeunes à faire baisser leurs calories quotidiennes. Il faudrait notamment qu’ils remplacent toutes les boissons sucrées à l’école par de l’eau et participent à un programme d’éducation physique.

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L’obésité liée à la consommation d’aliments bon marché

C’est ce que révèle un examen des études d’imagerie du cerveau humain publié par Cell Press dans la revue Trends in Endocrinology and Metabolism.

En fait, une des principales raisons de l’augmentation de l’obésité serait la sensibilité accrue à des aliments riches en calories, facilement accessibles et très présents dans les publicités.

« On s’intéresse beaucoup à l’étude du cerveau pour la source de vulnérabilité à la suralimentation dans un univers d’aliments riches en calories, abondants et bon marché. À la suite de ces travaux, des différences entre les personnes minces et obèses commencent à se profiler », explique l’auteur de l’examen, le Dr Alain Dagher de l’Institut de neurologie de l’Université McGill.

Les travaux du docteur Dagher montrent aussi que le réseau cérébral du contrôle de l’appétit est relié aux réseaux de récompense de ce dernier.

De plus, ils révèlent que le cerveau des personnes obèses s’active plus à la vue d’aliments sucrés ou gras. À ce moment, des signaux sont envoyés à l’organisme, d’où la motivation de manger.

Rappelons que les chercheurs affirment que la variété alimentaire favorise le développement d’habitudes excessives malsaines. Les repas plus monotones, eux, incitent à réduire la quantité de nourriture consommée.