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Obésité et somnifères : une dangereuse combinaison

Auparavant, une étude mentionnait que les personnes obèses qui prenaient des somnifères 18 fois par année multipliaient par 4 leur risque de décès. Cependant, une étude de l’American Heart Association de San Diego s’avère encore plus alarmante.
 
Selon les données recueillies, même en prenant moins de 18 fois par année des somnifères, les personnes obèses doublent leur risque de décès. Ce risque peut même être multiplié par 8 voire 9 chez les hommes et les jeunes adultes.
 
« L’obésité apparaît comme un marqueur de vulnérabilité accrue. Les associations entre somnifères et mortalité accrue sont déjà relativement fortes, même chez les jeunes adultes âgés de 18 à 54 ans, mais l’obésité aggrave encore le risque », mentionne un des chercheurs, le Dr Robert Langer.
 
« Les patients obèses sont particulièrement vulnérables, peut-être en raison de l’interaction avec l’apnée du sommeil », explique le Dr Daniel Kripke du Scripps Health Institute.
 
En fait, les chercheurs ont remarqué que les somnifères étaient très liés à un arrêt de la respiration chez les personnes qui souffrent de l’apnée du sommeil.
 

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L’exercice physique peut empêcher la fertilité des femmes

L’exercice physique, comme une marche quotidienne, est bon pour la femme qui désire devenir enceinte. Cependant, si l’on ne veut pas retarder les chances de conception, il faut éviter le vélo rapide, la natation, la gymnastique, la course et les autres activités à effort extrême plus de cinq heures par semaine.

L’entraînement physique intense est à proscrire chez les femmes de poids normal (IMC moins de 25) qui veulent être enceintes. Selon des études antérieures, l’activité physique intense peut perturber le cycle menstruel, conduire à une absence d’ovulation et même à l’absence de menstruations. Il peut également nuire à l’implantation lorsqu’un ovule fécondé se fixe à la paroi de l’utérus.

Pour celles qui ont un surplus de poids ou qui sont obèses, pour des raisons inexpliquées et encore plus ou moins claires, l’activité physique vigoureuse n’a pas d’impact sur la fertilité.

L’obstétricien et gynécologue Dimitrios Mastrogiannis de l’École de médecine universitaire à Philadelphie explique cette donnée au fait que les tissus adipeux chez la femme obèse produisent plus d’œstrogènes, et ce, peu importe le mode de vie.

Toutefois, le spécialiste tient à préciser que « l’exercice est une bonne chose. Il est lié à moins de risque de maladie cardiovasculaire, de cancer et de diabète. Il permet aussi de meilleures grossesses, un travail plus facile, moins de douleur et moins de naissances induites. Les femmes non obèses, selon cette dernière étude, devraient toutefois s’en tenir à de l’exercice aérobique modéré, si elles veulent améliorer leurs chances de tomber enceintes ».

Les chercheurs de cette récente étude de l’École de santé publique de l’Université de Boston ont observé le mode de vie de 3628 Danoises de 18 à 44 ans qui tentaient de concevoir un enfant avec un partenaire stable, sans traitements de fertilité.

Les résultats de l’étude, qui n’a pas prouvé un lien de cause à effet, ont été publiés dans le journal Fertility and Sterility.

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Obésité infantile : parents, perdez du poids!

C’est ce que révèlent des chercheurs de l’Université de Californie, San Diego School of Medicine, et de l’Université du Minnesota dans la revue Obesity.

À défaut de changer l’alimentation de son enfant, de l’inscrire à des cours d’activité physique et autres, si les parents ne perdent pas de poids et n’appliquent pas eux-mêmes ces changements dans leur vie, l’obésité ne diminuera pas chez l’enfant, qui a besoin d’être influencé et d’avoir un exemple.

En outre, l’élément clé d’une perte de poids réussie chez le jeune repose sur la perte de poids de ses parents.

Selon les chercheurs, « les parents sont les personnes les plus importantes dans l’environnement de l’enfant. Ces derniers jouent un rôle d’enseignants ».

C’est en évaluant trois types différents de comportement parental pendant cinq mois, auprès de 80 groupes parents-enfants obèses ou avec un surplus de poids et âgés de 8 à 12 ans, que les chercheurs ont conclu que seule une modification de l’indice de masse corporelle chez l’adulte pouvait produire des changements bénéfiques de poids chez l’enfant.

Conformément à des études publiées antérieurement, inciter le parent à maigrir sainement est le facteur prédictif d’une perte et d’une bonne gestion de poids chez l’enfant.

Selon les derniers chiffres, aux États-Unis, 31 % des enfants souffrent d’un surplus de poids important, et cette tendance semble vouloir se propager davantage au Canada.

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Nouvelles quotidiennes

Disney ferme une attraction sous la pression

Les spécialistes de l’obésité ont applaudi la semaine dernière la fermeture de Heroes habitude, la nouvelle attraction de Walt Disney World. L’activité a attiré de vives critiques pour son potentiel humiliant pour les enfants en surpoids. 

Le mois dernier, Disney a inauguré l’attraction Heroes habitude, à Epcot, l’un des sites du parc.
Dans ce jeu, deux héros sveltes, Callie Stenics et Will Power, combattent le gras et des personnages difformes nommés Lead Bottom et The Snacker.
 
Disney a été obligé de fermer cette nouvelle attraction deux jours plus tard, à la suite des plaintes et pétitions des avocats de personnes en surcharges pondérales et souffrant de troubles alimentaires.
 
La porte-parole de Disney, Kathleen Prihoda, a déclaré qu’aucune date n’a été fixée pour la réouverture de Heroes Habit.
 
Soulignons que l’Organisation mondiale de la santé qualifie l’obésité infantile comme l’un des défis les plus graves de santé publique du 21e siècle.
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Afficher le nombre de calories sur les menus des restaurants pour contrer l’obésité

Le Center for Science in the Public Interest (CSPI) réclame du gouvernement une loi imposant l’affichage des informations nutritionnelles sur leurs menus, au même titre que les étiquettes d’aliments que l’on retrouve sur les rayons des épiceries.
 
Selon les militants, en affichant le nombre de calories pour chaque repas ainsi que leur teneur en sodium, on pourrait aider les gens à faire des choix plus santé et on freinerait du même coup le fléau d’obésité au pays.
 
Selon leur rapport, au moins le cinquième des repas est pris chaque semaine au restaurant.
 
D’autres mentionnent que ce sont les gras trans et les allergènes qui devraient être affichés.
 
Quoi qu’il en soit, les informations nutritionnelles ne pourraient être complètement affichées pour chaque repas, par manque de place.
 
On examine certaines solutions, notamment la création d’applications mobiles qui permettraient d’avoir ces informations pour les clients qui le désirent.
 
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Afficher le nombre de calories sur les menus des restaurants pour contrer l’obésité

Le Center for Science in the Public Interest (CSPI) réclame du gouvernement une loi imposant l’affichage des informations nutritionnelles sur leurs menus, au même titre que les étiquettes d’aliments que l’on retrouve sur les rayons des épiceries.
 
Selon les militants, en affichant le nombre de calories pour chaque repas ainsi que leur teneur en sodium, on pourrait aider les gens à faire des choix plus santé et on freinerait du même coup le fléau d’obésité au pays.
 
Selon leur rapport, au moins le cinquième des repas est pris chaque semaine au restaurant.
 
D’autres mentionnent que ce sont les gras trans et les allergènes qui devraient être affichés.
 
Quoi qu’il en soit, les informations nutritionnelles ne pourraient être complètement affichées pour chaque repas, par manque de place.
 
On examine certaines solutions, notamment la création d’applications mobiles qui permettraient d’avoir ces informations pour les clients qui le désirent.
 
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Enfants : l’obésité et l’asthme auraient un lien avec l’ethnie

Les enfants et les adolescents qui sont en surpoids ou obèses sont plus susceptibles de souffrir d’asthme que ceux qui ont un poids santé, explique une nouvelle étude de Kaiser Permanente Southern California publiée dans l’édition en ligne de la revue Obesity.
 
L’étude, qui a suivi plus de 681 000 enfants âgés de 6 à 19 ans a souligné le fait que l’association entre l’asthme et l’indice de masse corporelle (IMC) varie selon la race et l’ethnicité.
 
Par exemple, l’étude a révélé que l’association entre l’IMC et l’asthme était plus faible pour les Afro-Américains. Les chercheurs ont constaté que la plus forte association entre l’IMC et l’asthme a été identifiée chez les jeunes d’origine hispanique.

Cette étude montre qu’il y a un lien entre l’obésité infantile et l’asthme. Elle explique que des facteurs liés à la race et l’ethnicité, en particulier pour les jeunes hispaniques, peuvent modifier cette relation, a notamment déclaré l’auteure principale de l’étude, Mary Helen Black.

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Alcool et obésité : un duo dangereux

Les personnes obèses (indice de masse corporelle de plus de 30) qui consomment régulièrement de l’alcool sont plus susceptibles de développer un cancer colorectal que les personnes de poids dit normal.
 
Cette découverte faite par une équipe de chercheurs canadiens de la Memorial University of Newfoundland pourrait avoir des implications directes dans le dépistage de la maladie, si les résultats se confirment.
 
Auparavant, des études mentionnaient qu’il était possible que l’alcool et l’obésité soient des facteurs de risque pour le cancer colorectal, mais une interaction entre les deux n’avait pas encore vraiment été explorée.
 
L’étude, réalisée auprès de 702 cas de personnes ayant reçu un diagnostic entre 1999 et 2003, démontre que les personnes obèses qui consomment quotidiennement de l’alcool sont effectivement plus à risque que les autres. Ces risques sont encore plus importants si la consommation dépasse cinq unités d’alcool par jour.
 
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Le bisphénol A à l’origine du diabète de type 2 et de l’obésité

La revue PLoS ONE dévoile trois récentes études qui confirment que le bisphénol A serait à l’origine du diabète de type 2 et de l’obésité.
 
Des chercheurs espagnols, chinois et américains arrivent aux mêmes conclusions.
 
« Les auteurs concluent que le BPA doit être considéré comme un facteur de risque de troubles métaboliques chez l’homme », dit le Réseau Environnement Santé (RES).
 
Les autorités européennes recommandent donc d’adopter des lois contre le BPA.
 
« Il faut mettre la question des perturbateurs endocriniens au coeur des politiques de santé publique. Les perturbateurs endocriniens apparaissent plus que jamais comme une clé essentielle pour agir sur la prévention des cancers, des désordres métaboliques (obésité-diabète), des troubles de la reproduction et neurocomportementaux », conclut le RES.
 
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Le bisphénol A à l’origine du diabète de type 2 et de l’obésité

La revue PLoS ONE dévoile trois récentes études qui confirment que le bisphénol A serait à l’origine du diabète de type 2 et de l’obésité.
 
Des chercheurs espagnols, chinois et américains arrivent aux mêmes conclusions.
 
« Les auteurs concluent que le BPA doit être considéré comme un facteur de risque de troubles métaboliques chez l’homme », dit le Réseau Environnement Santé (RES).
 
Les autorités européennes recommandent donc d’adopter des lois contre le BPA.
 
« Il faut mettre la question des perturbateurs endocriniens au coeur des politiques de santé publique. Les perturbateurs endocriniens apparaissent plus que jamais comme une clé essentielle pour agir sur la prévention des cancers, des désordres métaboliques (obésité-diabète), des troubles de la reproduction et neurocomportementaux », conclut le RES.