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Risques insoupçonnés des antibiotiques

On ne pourrait remettre entièrement en cause l’usage des antibiotiques, car ils aident à prolonger la durée de la vie en contrant des maladies. Selon des spécialistes, comme nous le lisons sur MailOnline, leurs désavantages pourraient toutefois s’avérer graves, surtout si l’on en prescrit trop aux enfants.

Les antibiotiques peuvent tout d’abord tuer les bactéries qui combattent justement la maladie. De plus, ils contribuent à la création des « superbactéries », lesquelles peuvent entraîner des problèmes de santé importants.

Parmi ceux-ci, on compte les allergies, le diabète, et ils pourraient même jouer un rôle en ce qui concerne l’obésité.

On a aussi établi un lien entre l’usage important d’antibiotiques et une maladie inflammatoire de l’intestin. Les mêmes inquiétudes s’imposent quant à la prédominance de l’asthme.

En d’autres mots, les changements à long terme qui sont causés aux bonnes bactéries pourraient augmenter les risques de contracter certaines maladies et infections.

Toutefois, les spécialistes s’entendent pour conseiller la prescription d’antibiotiques aux personnes qui sont vraiment malades et qui ne peuvent en guérir autrement.

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Donnons de bonnes habitudes aux tout-petits

Le Journal of the American Dietetic Association présente une revue des moyens d’action potentiels pour prévenir efficacement l’obésité chez les jeunes enfants. Des représentants de différentes instances de recherches américaines ont analysé 42 études pertinentes sur le sujet.

On soutient que la prise de saines habitudes de vie dès l’âge préscolaire aurait des impacts majeurs sur la santé générale de la population. Il s’agirait d’un moment clé pour faire découvrir les bienfaits de l’activité physique et d’une saine alimentation aux enfants.

Déjà, les chercheurs ont reconnu certaines possibilités afin de revoir les standards et mesures actuels. Il est temps d’agir, car en ce moment, de nombreux enfants de moins de cinq ans peuvent être déjà considérés comme obèses, aux États-Unis.

Au cours des trois dernières décennies, les garderies en sont venues à prendre le rôle de la famille en ce qui a trait aux habitudes alimentaires, d’où l’instauration de programmes dédiés.

Les parents devraient toutefois, selon les chercheurs, devenir les arbitres de l’alimentation de leur enfant et soutenir les changements qui pourraient s’opérer dans les programmes nutritionnels.

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Avoir trop de choix alimentaires entraîne l’obésité

Des chercheurs affirment qu’une trop grande variété alimentaire lors d’un repas incite les gens à manger plus et, par conséquent, peut causer l’obésité.
 
Apparemment, la variété alimentaire favorise le développement d’habitudes excessives malsaines. Les repas plus monotones, eux, incitent à réduire la quantité de nourriture consommée.
 
Les chercheurs ont fait les essais avec des volontaires. Pour les repas plus monotones, on remarquait effectivement que les gens avaient tendance à manger moins que si on leur présentait un grand choix d’aliments.
 
Ceci devient donc un facteur de risque pour l’obésité, surtout chez ceux qui développent une dépendance à la nourriture.
 
Les diététiciens rappellent cependant que la clé pour garder la forme et une bonne santé est d’adopter de saines habitudes de vie et d’opter pour des repas équilibrés, mentionne
MaxiScience.
 
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Un verre de vin pourrait aider à perdre du poids

Depuis longtemps l’alcool est lié à un gain de poids, mais des chercheurs disent qu’il n’existe aucune preuve concluante qui démontre qu’une consommation modérée, surtout du vin, peut entraîner l’obésité. 

Ils ajoutent même qu’un verre de vin par jour pourrait aider à perdre du poids, mentionne le Daily Mail.  

L’étude, menée à l’Université Navarro en Espagne, affirme que le mécanisme biologique associé à l’alcool et au gain de poids n’est pas clairement compris. On sait que le vin peut protéger du diabète et du syndrome métabolique, deux facteurs liés à l’obésité. 

Même que les personnes très obèses auraient moins de risque de souffrir de diabète avec une consommation modérée d’alcool. 

On sait aussi qu’un composé du resvératrol contenu dans les raisins et par conséquent le vin, aiderait à détruire les graisses adipeuses. 

Des recherches supplémentaires doivent être effectuées pour trouver des conclusions plus satisfaisantes sur le sujet.

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Surpoids des ovaires?

On connaissait déjà le lien entre l’obésité et les difficultés de conception. On sait aussi que les femmes qui souffrent de diabète ont plus de difficulté à tomber enceinte et à mener une grossesse à terme.

Or, des chercheurs avancent maintenant que ces femmes produisent des ovules plus gras. Leur recherche est parue dernièrement dans le Public Library of Science ONE.

C’est que les femmes ayant un surpoids ont un métabolisme qui tend à stocker plus de gras, ce qui entraîne des taux d’acides gras plus élevés dans les ovaires, donc dans les ovules.

Ensuite, ces ovules gras mènent à des embryons comprenant moins de cellules et pouvant présenter des changements génétiques et métaboliques. C’est la première fois qu’on peut définir l’impact négatif des acides gras sur l’embryon.

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Les régimes à répétition ne sont pas recommandés

C’est connu, de nombreux régimes alimentaires ne sont pas bons pour la santé et bien que l’on préconise un poids santé avec une saine alimentation et des exercices physiques, des chercheurs canadiens viennent de dévoiler une étude des plus surprenantes.

Il est possible d’être gros et en santé. Même que cela serait préférable aux continuels régimes qui résultent souvent en un échec.

Selon le journal Applied Physiology, Nutrition and Metabolism, les chercheurs ont étudié 6 000 Américains obèses pendant 16 ans. Selon l’équipe de l’Université York au Canada, il ne serait pas toujours judicieux de se mettre au régime.

« Il est possible qu’essayer – et échouer – de perdre du poids soit plus dommageable que de rester à un poids élevé en ayant un rythme de vie sain, incluant de l’activité physique et un régime alimentaire équilibré, riche en fruits et légumes », expliquent les chercheurs.

On a comparé le taux de mortalité des 6 000 obèses à celui de personnes minces. Les résultats on prouvé que ceux qui avaient des problèmes somme toute mineurs liés à leur poids, comme le diabète ou l’hypertension, n’avaient pas un taux plus élevé de décès.

« Les gens doivent se rendre compte que les personnes ayant un poids normal peuvent elles aussi souffrir de diabète, d’hypertension et d’autres problèmes cardiovasculaires », ajoute le Dr Jennifer Kuk.

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Plus de « bon gras » chez les enfants minces

On lit dans le Journal of Pediatrics des résultats scientifiques quant à l’impact des quantités de bon gras et de mauvais gras chez l’enfant. Rappelons que ce que l’on appelle « bon gras » en est un qui brûle plus facilement de l’énergie plutôt que d’en accumuler.

À la suite d’analyse de données, on comprend qu’une approche concernant la quantité de mauvais gras pourrait mieux contrer les taux croissants d’obésité et de diabète infantiles. Les enfants minces présentent une quantité plus importante de bon gras dans leur organisme.

On a pu faire cette constatation après avoir effectué des tests par imagerie auprès de 172 enfants âgés de 5 ans et plus. De plus, il semble que l’augmentation du bon gras lors du passage de l’enfance à l’adolescence, ainsi que sa corrélation inversée avec l’obésité, suggère qu’il joue un rôle majeur dans le métabolisme infantile.

Ainsi, en trouvant de nouveaux moyens pour augmenter la quantité de bon gras chez les enfants, on arriverait à combattre d’une toute nouvelle façon le diabète et l’obésité. Qui plus est, ces moyens se révéleraient plus sécuritaires pour leur santé.

On souligne finalement que bien des questions demeurent sans réponse quant à ce phénomène. Entre autres, on ne saurait dire encore si un enfant est plus mince parce qu’il présente un taux plus élevé de bon gras, ou s’il a un tel taux en raison de sa minceur.

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Hausse effarante de mortalité à l’accouchement

On lit sur BMJ que la situation est sérieuse quant au nombre de décès dus à des complications de grossesse ou survenant durant l’accouchement. Son nombre serait en inquiétante progression.

Il semble que de plus en plus de femmes décèdent lors d’une grossesse et pendant l’accouchement, ou très peu de temps après. De plus, ces morts pourraient être évitées, selon les médecins.
 
Parallèlement, on assiste à une augmentation des grossesses à risque, ceci incluant celles débutant à un âge avancé, l’obésité et divers problèmes de santé.
 
C’est assez inquiétant en effet, car si depuis les années 1950 les décès liés à la naissance ont chuté, ceux qui arrivent durant cette période, mais qui ne sont pas causés directement par la grossesse ou l’accouchement, sont en hausse.
 
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L’anorexie frappe très jeune

On lit sur Francesoir.fr que les cas d’anorexie se font de plus en plus nombreux, en particulier pour les plus jeunes de la société occidentale. Une étude menée en Grande-Bretagne démontre une hausse inquiétante.
 
Au cours des 3 dernières années, on a relevé pas moins de 2 000 cas de trouble alimentaire chez les enfants de 5 à 15 ans. Parmi ces problèmes, on note l’anorexie, la boulimie et l’hyperphagie.
 
Ce dernier trouble, l’hyperphagie, consiste en une ingestion compulsive et démesurée de nourriture qui n’est pas suivie d’un comportement compensatoire (se faire vomir, prendre des laxatifs, par exemple).
 
La grande tristesse des présents résultats est que les troubles alimentaires frappent de plus en plus jeunes : sur les 2 000 enfants atteints, 98 sont âgés de 5 à 7 ans, et 600 n’ont pas encore 13 ans.
 
La Grande-Bretagne fait par ailleurs figure de contradiction : si 24,5 % de sa population souffre d’obésité, 3 enfants sur 1 000 démontrent des symptômes de trouble alimentaire.
 
Il est encore difficile, toutefois, de cerner les véritables raisons de l’anorexie chez l’enfant. Des causes génétiques pourraient être reconnues, mais l’on dénote des pressions sociales et l’imposition d’une certaine image corporelle depuis quelques années.
 
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Toute la famille au yoga!

Nous connaissons déjà les bienfaits que peut procurer le yoga aux adultes, mais en est-il de même pour les enfants? Il semble que oui. Toutefois, le yoga des tout-petits est un peu différent et certains mouvements en particulier sont conseillés.

Par exemple, se concentrer sur sa respiration est un très bon exercice pour l’enfant. L’échauffement l’est aussi, comme lorsqu’il est assis ou couché par terre et qu’il suit les instructions du moniteur (ou du parent) pour se calmer.

Quant aux mouvements comme tels, il doit s’agir principalement d’étirements. On peut par exemple demander aux tout-petits d’imiter la position d’animaux et de plantes.

La partie la plus importante demeure bien sûr la relaxation. Étendu au sol, les yeux fermés, l’enfant se concentrera à visualiser, s’imaginant par exemple flotter dans les airs.

S’il est pratiqué correctement, le yoga peut devenir une réelle activité physique. De plus, selon MayoClinic, des études ont démontré ses bienfaits sur la santé en général, réduisant l’obésité et aidant à maîtriser certains problèmes, comme le syndrome du côlon irritable ou les maux de tête.