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Les bébés sumos, un problème alarmant

Ces nourrissons, appelés « bébés sumos », selon le Daily Mail, ne représentent plus des exceptions. Les statistiques démontrent même une croissance en flèche du phénomène.

– Des bébés sumos sont nés dans 39 des 139 unités de maternité du Royaume-Uni l’an dernier.

– Des bébés de plus de 5,9 kg (13 lb) sont nés dans 5 cliniques.

– Désormais, le poids moyen d’un nouveau-né est de 7 lb 4 oz pour les filles et 7 lb 8 oz pour les garçons.

– Les gros bébés sont plus à risque de complications à la naissance ou de mortinatalité.

Les bébés sumos sont plus communs auprès de mères obèses ou atteintes du diabète de type 2. Depuis les années 1960, celles-ci sont de plus en plus nombreuses.

La fillette la plus lourde du Royaume-Uni, qui vient de naître, pesait 6,5 kg (14,3 lb). Quant au garçon le plus gros, né l’an dernier, il pesait 7,1 kg (15,7 lb)

Les chiffres du Health and Social Care Information Centre indiquent que 1057 bébés de plus de 12 livres sont nés à travers l’Angleterre uniquement l’an dernier. En 2007, ce chiffre s’élevait à 813.

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Dernier round dans le combat impliquant New York aux boissons gazeuses

Le combat entamé par l’ancien maire de New York, Michael Bloomberg, contre les boissons gazeuses n’est pas terminé. En fait, la saga entame maintenant sa dernière étape, le dernier round d’une bataille juridique qui pourrait créer des précédents, rapporte le New York Times.

Alors qu’il était toujours maire, Bloomberg s’était publiquement prononcé contre la vente de contenants trop volumineux de boissons gazeuses, pointées du doigt par plusieurs spécialistes en marge de la lutte nord-américaine à l’obésité.

Après avoir été déboutée en Cour suprême, la proposition de la Ville de New York sera maintenant entendue par la Cour d’appel de l’État de New York aujourd’hui (4 juin).

Plusieurs observateurs et défenseurs du projet croient que l’acceptation de la proposition de Bloomberg est indispensable pour que la ville conserve son statut de chef de file en santé. New York a déjà légiféré sur les gras saturés et les cigarettes dans le passé, en plus d’avoir dans son histoire plusieurs décisions majeures du genre ayant sauvé des vies ou améliorer celles de ses citoyens.

Les autorités new-yorkaises ne semblent cependant pas avoir l’appui d’une majorité de citoyens. 60 % des gens seraient en effet en désaccord contre la démarche, selon un sondage.

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Le pain blanc est toujours un ennemi du maintien du poids

Le pain blanc est depuis longtemps déconseillé afin d’éviter une prise de poids, et une nouvelle étude vient confirmer le statut d’ennemi du pain blanc dans la lutte à l’obésité.

La nouvelle recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), est proposée par des chercheurs espagnols de l’Université de Navarra. Elle révèle que seulement trois tranches de pain blanc consommées de façon quotidienne peuvent mener à un gain de poids substantiel.

En contrepartie, le pain brun et de grains entiers ne mènerait pas à ce genre de problème, vu sa composition. Le pain blanc renferme du sucre et s’avère moins satisfaisant sur le plan nutritif que les pains bruns et de grains entiers.

De plus, les chercheurs croient qu’il est possible que les consommateurs de pain blanc soient moins enclins à surveiller ce qu’ils mangent en général, ce qui pourrait aussi expliquer une partie du phénomène de gain de poids.

Plusieurs personnes démarrent leur journée avec deux rôties, puis avalent un sandwich au dîner, selon les chercheurs espagnols, et dépassent ainsi instantanément la limite prescrite.

Les chercheurs suggèrent donc aux personnes soucieuses de ne pas prendre du poids ou qui désirent en perdre de minimiser la consommation de pain en général, et d’opter pour les pains de grains entiers.

Les résultats de la recherche ont été présentés devant l’European Congress on Obesity.  

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Risque accru d’asphyxie du bébé lorsque la mère est obèse

Les risques d’éprouver des troubles d’oxygénation à la naissance augmentent chez les bébés nés de femmes en surpoids ou obèses.

C’est une étude en collaboration avec de chercheurs suédois et américains qui a mis cette information en lumière sur le site spécialisé PLoS Medicine.

Selon les spécialistes, considérant le problème mondial d’obésité, cette information ajoute à l’importance de sensibiliser les femmes en âge de procréer à prendre soin de leur santé, et ce, pour celle de leurs futurs enfants.

Les données regroupaient toutes les naissances en Suède entre 1992 et 2010. La totalité représentant plus de 1,7 million de bébés, indique Medical News Today.

La majorité des résultats sous la moyenne du test d’APGAR (qui mesure entre autres le déficit d’oxygène à la naissance) se situait chez les bébés de femmes de poids normal. Cependant, la proportion de bébés ayant eu un faible résultat à l’APGAR augmentait avec l’indice de masse corporelle (IMC) de la mère.

Avec un IMC entre 25 et 29,9, le risque d’un faible APGAR augmentait de 55 %, alors que pour les IMC d’obésité de grade I et II (30 à 39,9) il doublait, et puis triplait pour les femmes avec un IMC d’obésité de grade III (plus de 40).

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Attention au manque de sommeil pendant la grossesse

Selon ce que rapporte Top Santé, des professionnels ont publié dans la revue spécialisée Diabetics qu’une carence de sommeil durant le 3e trimestre affecte le fœtus directement.

L’expérience qui a mené à ces résultats a été traitée à l’aide de souris en gestation équivalant au 3e trimestre chez l’humain. En perturbant le sommeil de 50 % de ces souris, les chercheurs ont pu déterminer les conséquences à la naissance des bébés.

Ce sont surtout les souriceaux mâles qui ont été affectés par le manque de sommeil de la mère. Si, à la naissance, tous étaient de poids équivalent, les souriceaux ayant souffert de la carence sont rapidement devenus obèses.

Ce facteur s’ajoute à nombre d’autres responsables d’un risque élevé d’obésité chez l’enfant, notamment lorsque la future mère mange devant la télévision. En effet, celle-ci sera portée à répéter cette mauvaise habitude en nourrissant son bébé devant l’écran et sera moins apte à remarquer son signal de satiété.

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Vivre en montagne ferait maigrir

Des chercheurs américains viennent de publier une étude réalisée entre 2006 et 2012 auprès de 100 000 soldats de l’US Army ou de l’US Air Force en surpoids stationnés à différentes altitudes aux États-Unis.

Depuis un certain nombre d’années, les chercheurs savaient que l’hypoxie avait des effets positifs à long terme sur le métabolisme des rats. Les recherches se sont donc poursuivies auprès des soldats. Ces derniers étant stationnés en altitude, et leur organisme avait donc plus de difficulté à s’approvisionner en oxygène.

Certains soldats étaient affectés à haute altitude, soit plus de 1960 m, et d’autres à basse altitude, c’est-à-dire moins de 980 m. Les soldats affectés à haute altitude avaient un taux d’obésité réduit de 41 % par rapport à ceux affectés à basse altitude.

Ces résultats publiés dans PLoS One semblent confirmés par des observations faites sur les populations civiles. En effet, la ville américaine où l’on est le plus mince est Boulder, au Colorado, à 1650 m d’altitude. La ville américaine où l’on est le plus gros serait Huntington, en Virginie-Occidentale, située à 171 m d’altitude seulement.

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Repas devant la télévision pendant la grossesse : facteur d’obésité juvénile

La principale raison soulevée par les chercheurs réside dans le fait que les futures mères qui ont cette mauvaise habitude nourriront leur enfant devant la télévision. Par conséquent, elles remarqueront moins lorsque l’enfant a suffisamment mangé.

L’auteure principale de l’étude menée à Université de médecine de New York, Dre Mary Jo Messito, affirme même que la « prise de repas devant la télévision pendant la grossesse sera l’un des points mis de l’avant dans le guide de prévention de l’obésité infantile ».

Le Daily Mail rapporte que les femmes enceintes ayant participé à ce projet provenaient toutes de familles hispaniques à faible revenu. Elles étaient 189 à être suivies de leur grossesse jusqu’à 3 ans suivant l’accouchement.

Pendant la grossesse, 71 % des femmes ont affirmé passer du temps devant la télévision lors des repas. Lorsque les enfants sont nés, 33 % des nouvelles mamans ont affirmé que leur enfant était exposé à la télévision pendant qu’elles le nourrissaient.

Ainsi, les femmes ayant regardé la télévision pendant leur grossesse étaient 5 fois plus susceptibles d’exposer leur enfant à la même chose.

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Katie Couric s’attaque aux mythes caloriques avec Fed Up

L’ancienne présentatrice et chef de pupitre de CBC Evening News, Katie Couric, fait parler d’elle pour un nouveau projet qui se penche sur les mythes caloriques et alimentaires, en cette ère teintée par l’obsession de la nourriture et ce que les spécialistes qualifient d’épidémie d’obésité.

Le projet et l’enquête de Couric prennent la forme d’un film intitulé Fed Up, rapporte le New York Times, produit par la productrice du documentaire An Inconvenient Truth. Katie Couric affirme avoir voulu créer ce film afin de répondre aux nombreuses questions laissées sans réponse sur le sujet au fil de sa carrière.

« Ce qui me frappait est que plus je rapportais des choses sur l’obésité infantile et plus le temps passait dans ma carrière, plus le problème semblait s’aggraver. J’ai senti que nous n’avions jamais vraiment donné d’indications sur ce qui cause vraiment ça, et pourquoi les taux d’obésité explosent comme ça », explique Couric, qui assure aussi la narration du film.

La journaliste se penche notamment sur les « types » de calories, et croit que certaines sont plus dommageables que d’autres. Il ne suffirait donc pas, selon elle, de « moins manger et de faire de l’exercice » pour s’assurer d’un poids idéal.  De plus, Fed Up s’attaque au problème créé par l’industrie alimentaire, notamment en ce qui concerne le sucre ajouté.

Le documentaire semble dramatique et convaincant à souhait, et mérite le coup d’œil.

Découvrez la bande-annonce de Fed Up, avec Katie Couric.

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3 essentiels pour contrer l’obésité juvénile

Medical News Today rapporte des informations fournies par le Dr Kristopher Kaliebe, professeur adjoint de la clinique de psychiatrie à l’école de La Nouvelle-Orléans (LSU Health Sciences Center).

Il s’agit d’objectifs orientés sur l’environnement familial pour éliminer les sources potentielles d’obésité et de troubles mentaux connexes. Selon le spécialiste, il faut enrayer nos habitudes de surconsommation et de tentation.

Les 3 sphères visées sont la nourriture, les dispositifs technologiques et la sédentarité. Rien de nouveau, si ce n’est la perspective. Dr Kaliebe affirme que ces facteurs sont non seulement responsables de l’obésité, mais des problèmes reliés, tels que le trouble de déficit d’attention avec ou sans hyperactivité, les troubles d’apprentissage et plus.

« Plusieurs comportements associés à l’obésité, tels qu’une vie sédentaire, une surexposition aux médias et des régimes inappropriés, sont également liés à un diagnostic en psychiatrie ou une détresse psychologique », indique Kaliebe.

Selon lui, c’est simple. Les êtres humains ne sont pas faits pour manger des aliments transformés, vivre de la technologie et demeurer sédentaires. Il faut donc éliminer les écrans et « honorer le silence », consommer de la nourriture fraîche et se lever de son siège.

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Les moqueries peuvent mener à l’obésité chez les filles

Les paroles blessent et laissent des cicatrices. Que ce soit le parent qui passe trop souvent des commentaires sur la rondeur de sa fille ou les camarades de classe, ceux-ci peuvent entraîner des conséquences à long terme.

Selon la revue JAMA Pediatrics , l’anxiété et l’angoisse chez l’enfant, surtout quant à son poids, peuvent se transformer en trouble de l’alimentation éventuellement.

Une recherche a été menée auprès de 2300 filles de 10 ans par Janet Tomiyama, professeure de psychologie de l’Université de Californie. La collecte des données s’est échelonnée sur 9 ans.

Qu’elles aient été minces, en léger surpoids ou déjà obèses, les fillettes ayant reçu des commentaires désobligeants sur leur poids, provenant de proches ou d’amis, étaient plus à risque d’être obèses à 19 ans.

Les remarques de la famille entraînaient 1,6 fois plus de chance d’être obèse, alors que les moqueries de camarades de classe ou amis portaient ce résultat à 1,4 fois.

Surtout au niveau de la famille, donc, plutôt que de critiquer l’enfant, il serait tout indiqué de l’aider à trouver une solution.