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Les risques du cancer du côlon se multiplient

En une trentaine d’années, les cas de cancer du côlon ont explosé. Selon des statistiques présentées dans le British Journal of Cancer, les risques de développer un tel cancer, pour un homme, ont doublé en une seule génération.

Si, en 1975, 1 homme sur 29 risquait d’en souffrir, il s’agit aujourd’hui de 1 sur 15. Une augmentation a aussi été remarquée chez la femme, quoiqu’elle soit moins radicale : on parlait de 1 cas sur 29 et on passe maintenant à 1 sur 19.

Les raisons en seraient l’épidémie d’obésité, la plus forte consommation d’alcool ainsi que la baisse de l’activité physique. De plus, nous vivons plus vieux : le cancer du côlon tend à être une maladie liée à la vieillesse.

D’un autre côté, les gens survivent de plus en plus au cancer du côlon. Les diagnostics se font de plus en plus tôt et les traitements augmentent en efficacité.

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Cachez les légumes pour qu’il en mange plus

Selon l’American Journal of Clinical Nutrition, il suffirait de cacher les légumes pour que notre enfant en mange plus. Des chercheurs de Penn State l’ont d’ailleurs démontré dans le cadre d’une expérimentation.

On a donc servi des petits plats rehaussés de légumes à 39 enfants âgés de 3 à 6 ans lors de 3 journées différentes. Les petits goûtaient par exemple du pain aux zucchinis le matin, des pâtes à la sauce tomate le midi et une casserole de pâtes au poulet le soir.

Par la suite, on ajoutait des purées de légumes à ces plats de façon à réduire leur nombre de calories de 15 à 25 %. Les résultats ont été probants.

Si les enfants ont trouvé les plats rehaussés de purées de légumes à la hauteur des recettes standards, ils ont pourtant abaissé leur apport calorique de 11 % en moyenne et ils ont presque doublé leur consommation de légumes.

Avec nos inquiétudes sur l’augmentation actuelle des cas d’obésité, il est certain que nous devrions aborder cette nouvelle voie afin d’améliorer la nutrition des enfants.

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Bonne bouffe = grosse bouffe

Des chercheurs de l’Université de la Floride croient que la diversité des aliments dans votre assiette favoriserait les excès alimentaires et pourrait conduire à l’obésité.

Cette étude, à paraître en août prochain dans l’American Journal of Clinical Nutrition, met en lumière les comportements alimentaires de certains sujets à risque, telles les personnes ayant une dépendance à la nourriture.

Pour les personnes dépendantes à la nourriture, le cerveau se comporterait de la même façon que celui d’une personne dépendante à la drogue. Il en résulterait une incapacité à se contrôler devant une diversité des menus, ce qui favoriserait les excès.

C’est la deuxième fois en quelques mois que des études se penchent sur l’impact de la variété dans les assiettes. En mai dernier, une recherche effectuée à l’Université de Buffalo concluait que la monotonie dans les plats permettait de réduire l’appétit et l’envie de manger.

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Une thérapie sur l’image corporelle aide à la perte de poids

Des chercheurs de l’Université Technique de Lisbonne et de l’Université Banger du Pays de Galles ont suivi des femmes en surpoids.
 
En plus du régime alimentaire, une partie du groupe a suivi une thérapie pour améliorer son image corporelle. Ces femmes ont perdu 7 % de leur poids, comparativement à seulement 2 % chez les femmes n’ayant pas eu de thérapie.
 
Ainsi, l’étude publiée dans le Journal of Behavior Nutrition and Physical Activity laisse croire qu’avoir une bonne image corporelle de soi aide à perdre plus de poids.
 
« Les problèmes d’image corporelle sont très communs chez les personnes en surpoids ou obèses, les poussant souvent à manger pour se rassurer et à prendre des habitudes alimentaires rigides, qui sont autant d’obstacles à la perte de poids », explique le chercheur Pedro J. Teixeira.
 
« Nos résultats ont montré une forte corrélation entre une meilleure image de son corps (surtout en réduisant les inquiétudes sur ce que les autres pouvaient penser) et des changements positifs d’habitudes alimentaires. Nous pensons donc qu’un rapport plus sain à son corps représente un aspect important de la perte de poids et devrait être travaillé par tous les programmes de contrôle du poids », ajoute le chercheur.
 
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Savez-vous ce que ce votre enfant mange?

En réponse à l’épidémie d’obésité infantile que l’on connaît depuis quelques années, on accorde beaucoup plus d’importance à la qualité nutritionnelle des aliments et leur quantité.

Or, on apprend dans le Journal of the American Dietetic Association que l’on devrait aussi s’inquiéter du lieu où l’enfant mange. La nourriture industrielle, la restauration rapide, bref, tout ce qui est préparé loin de la maison, seraient des facteurs influents de l’absorption quotidienne de calories.

C’est la première fois que l’on prend en compte le lieu quant à la quantité de calories ingérées et cette recherche se différencie des autres par son accent sur la nourriture préparée hors de la cuisine familiale.

Ainsi, de 1994 à 2006, on a relevé les plus grandes augmentations de calories ingérées quotidiennement lorsqu’il s’agit d’aliments de restauration rapide mangés à la maison ou de nourriture industrielle mangée à l’extérieur de la maison.

De plus, de 1977 à 2006, la hausse de l’apport calorique des enfants (179 calories par jour) a été associée à l’augmentation des calories ingérées à l’extérieur de la maison (255 calories par jour). Durant cette même période, le pourcentage de calories ingérées ailleurs qu’à la maison est passé de 23,4 % à 33,9 %.

Cette étude longitudinale a porté sur près de 30 000 enfants américains âgés de 2 à 18 ans.

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Les enfants qui déjeunent sont moins souvent obèses

De multiples documentations mettent l’accent sur l’importance du petit déjeuner, surtout chez les enfants. Dans l’édition de juillet de l’International Journal of Obesity, une recherche effectuée en Chine vient appuyer les faits en affirmant que la prise du déjeuner prévient l’obésité chez les enfants.

Plus de 68 000 élèves de Hong Kong ont participé à l’étude, durant laquelle les chercheurs ont établi le lien direct entre l’obésité et les jeunes qui ne prennent pas leur déjeuner.
 
Le surpoids chez les jeunes est devenu une préoccupation mondiale et il est important de modifier rapidement cette mauvaise habitude alimentaire, qui constitue un changement simple pour éviter les éventuels problèmes de rondeurs.
 
À titre de preuve, lors de la recherche, il a été prouvé que les enfants de 9 et 10 ans qui passaient par-dessus le déjeuner présentaient une prise de poids supplémentaire importante entre 11 et 12 ans, en comparaison avec leurs autres camarades de classe. Ces résultats sont significatifs tant chez les garçons que chez les filles.
 
Tant pour les adultes que pour les enfants de tous âges, le déjeuner, surtout lorsqu’il est constitué d’un bon apport en protéines, élimine la sensation de carence de l’organisme.
 
Autrement, l’organisme se met en alerte et de lui-même, il emmagasine plus de graisses en prévision d’un nouvel épisode de jeûne.
 
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Un programme d’exercices pour bébé afin de contrer l’obésité

En Grande-Bretagne, comme dans d’autres régions du monde, c’est le quart des enfants qui souffrent d’obésité dès leur entrée à l’école. Selon le Daily mail, le programme britannique déjà en place pour les enfants, intitulé Start Active, Stay Active, s’étendra désormais aux nourrissons.

Les experts prédisent qu’en 2050, près des deux tiers des enfants britanniques seront confrontés à un problème de poids, d’autant plus que selon une étude mondiale, les jeunes de la Grande-Bretagne sont parmi les plus paresseux.

Ainsi, la professeure en chef de l’office médical d’Angleterre, Sally Davies, donne des détails sur les recommandations qui feront l’objet du programme. « Lorsqu’un enfant peut marcher, il devrait se maintenir actif tant mentalement que physiquement, et ce, pendant au moins 3 heures par jour », affirme-t-elle.

Parmi les activités préconisées, notons la marche, la course, la natation, l’escalade au parc, le vélo, ainsi que toute forme d’étirements tels que ramper ou faire des roulades. Évitez les poussettes et ne cédez pas lorsque l’enfant tend les bras vers vous.

Beaucoup de parents sont surmenés, trop occupés et fatigués pour s’accorder le moindre répit. Il est ainsi beaucoup plus difficile d’accorder la priorité aux exercices de bébé. Néanmoins, les instances gouvernementales maintiennent que le programme fera une différence.

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Une autre cause à l’obésité est découverte

Ce n’est pas seulement le manque d’exercice, un apport trop grand en calories ou quelques rares anomalies génétiques qui peuvent expliquer l’obésité.
 
Selon des travaux menés par Andrew Gerwirtz à l’École de médecine de l’Université Emory en Géorgie, une mauvaise régulation des bactéries intestinales peut provoquer une prise de poids.
 
« Un excès de consommation de calories n’est pas seulement le résultat d’une alimentation excessive, les bactéries intestinales contribuent à modifier l’appétit et le métabolisme », explique l’auteur de la recherche, à Top Santé.
 
Une inflammation de la flore intestinale par des bactéries favorise une prise de poids et augmente les risques de développer le diabète.
 
Il est donc important de réguler le tout avec des prébiotiques, qui servent en fait de nourriture aux probiotiques et favorisent le développement d’une flore saine. Ils freinent les bactéries, les infections et aident à garder le ventre plat.

Les prébiotiques se retrouvent notamment dans l’ail, les asperges, la chicorée, les artichauts, les poireaux et les bananes.

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Plus d’intimidation pour les jeunes obèses

Un enfant obèse serait plus à risque de souffrir d’une maladie chronique, mais aussi d’intimidation que les autres. C’est à ce constat que sont parvenus des chercheurs européens en voulant établir les enjeux de l’augmentation de l’obésité chez les enfants depuis les dernières années.

Pour ce faire, ils ont évalué des données portant sur 8 568 jeunes Irlandais de 9 ans. Il s’agissait de renseignements recueillis par le biais de sondages, lesquels étaient faits dans le cadre scolaire avec les enfants, puis à la maison avec ces mêmes enfants et leurs parents.

Les risques pour la santé des enfants étaient entre autres les problèmes métaboliques, musculosquelettiques et cardiaques, de même que certains types de cancers. Quant à l’intimidation, il semble qu’elle soit l’une des conséquences des stéréotypes liés à l’obésité.

D’autre part, les enfants accusant un surpoids semblaient plus propices à souffrir d’inégalités sociales et de problèmes d’éducation et psychologiques.

On a finalement remarqué, comme lu sur Eurekalert, que le surpoids était un problème touchant plus souvent les filles que les garçons.

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Les hommes obèses sont moins fertiles

On savait déjà que les femmes en surpoids ou trop minces pouvaient avoir des troubles d’ovulation, diminuant ainsi leurs chances d’être mères. Cependant, des chercheurs européens ont découvert qu’il en était de même pour les hommes.
 
Après avoir fait une étude dans des laboratoires de douze pays, regroupant ainsi un total de 1 940 hommes, on constate que plus un homme est gros et moins son sperme sera de qualité.
 
Le surpoids entraînerait un changement des paramètres du sperme, ce qui se traduit en des spermatozoïdes moins nombreux, moins mobiles et moins vigoureux, diminuant donc les chances de concevoir un enfant.
 
Les résultats de ces travaux ont été présentés lors du congrès de l’European Society of Human Reproduction (ESHRE).
 
Durant l’étude, on a examiné le volume du sperme des participants, le pH, la concentration de spermatozoïdes ainsi que la mobilité, la quantité et la vitalité de ces derniers. Puis, on a regardé les formes atypiques des spermatozoïdes.

On a établi un lien avec l’indice de masse corporelle et conclu que la qualité du sperme diminue avec une augmentation du poids. Toutefois, cela est réversible et si un homme perd du poids, son sperme en sera amélioré.