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Prévoyez-vous une grossesse?

Une nouvelle étude confirme que l’alimentation d’avant la grossesse peut avoir des répercussions sur la santé du futur enfant, selon Medical News Today.

On soutient maintenant que si une femme a une alimentation pauvre avant même d’être enceinte, sa progéniture sera plus exposée à des risques d’obésité et de diabète de type 2. Le bébé aurait aussi plus de risques d’avoir un faible poids de naissance.

Présentée il y a quelques jours à l’Experimental Biology Annual Conference à Glasgow, cette expérimentation de l’Université d’Aarhus a été effectuée sur des souris. Des études précédentes basées sur le même modèle animal en étaient arrivées à des résultats similaires.

Les souris qui avaient suivi un régime alimentaire pauvre en protéines durant 10 semaines avant la conception avaient donné naissance à des petits d’un plus faible poids de naissance et présentant une forte sensibilité à l’insuline.

Il s’agirait là de réels effets de l’alimentation avant la grossesse, car ces mêmes souris avaient eu une alimentation normale durant leur gestation.

Les humains répondent de la même façon que les souris quant à l’alimentation durant la grossesse. Un lien peut donc être établi avec celle qui est suivie avant la conception.

On suggère donc aux femmes d’être conscientes de ce qu’elles mangent lorsqu’elles sont enceintes, mais aussi dès qu’elles souhaitent le devenir.

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Des suppléments de calcium pour perdre du poids?

Le Nutrition Reviews mentionne que des suppléments de calcium pourraient avoir des effets sur la perte de poids, mais ceux-ci seraient tout de même modestes.
 
Une étude britannique arrive à cette conclusion après avoir analysé sept études sur un lien possible entre la perte de poids et les suppléments de calcium.
 
Toutefois, on se fait très prudent avec ces résultats, car une seconde analyse de cinq des sept études ne voit aucun impact du calcium sur le poids.
 
L’étude qui arrive à la conclusion que les personnes obèses et en surplus de poids pourraient prendre des suppléments de calcium pour les aider a regroupé 794 personnes.
 
Pendant six mois, elles devaient tous les jours prendre 1 000 mg de calcium ou un placebo.

On a ainsi noté une diminution moyenne du poids corporel de 1,5 kg (3,3 livres) par année et une diminution de la masse adipeuse de près de 2 kg (4,5 livres) par année.

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Le secret des enfants minces

Une étude dont on devine la controverse suggère qu’on ne devrait pas empêcher nos enfants de manger des bonbons. Ceux qui en mangent, qu’ils soient enfants ou adolescents, ont tendance à être plus minces que les autres.

Précisément, ils seraient moins enclins à être obèses ou à accuser un surpoids. Les responsables de cette étude du Centre agricole de l’Université d’État de la Louisiane insistent toutefois sur le fait que cette relation ne doit pas être prise au pied de la lettre.

Les bonbons ne devraient jamais remplacer les éléments d’une saine alimentation, mais il semble qu’un petit spécial peut encourager la modération et, bien sûr, procurer du bonheur.

On peut lire les résultats de cette recherche dans Food & Nutrition Research. Il est certain qu’elle fera partie du débat actuel sur l’obésité infantile, laquelle est en hausse inquiétante dans nos sociétés modernes.

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Les parents sont plus conscients de l’obésité infantile

Une enquête menée auprès de 2 000 parents révèle que nous sommes de plus en plus concernés par l’obésité. Il semble même qu’un grand nombre d’entre eux (85 %) se sont dits responsables de l’état de santé de leurs enfants et souhaiteraient faire plus d’exercice avec eux.

Cette recherche américaine a aussi confirmé le taux grandissant d’obésité infantile dans la société d’aujourd’hui : un parent sur huit considérait que son enfant accusait un surpoids, lisons-nous sur OnePoll.

Plusieurs ont par ailleurs répondu que leur enfant était obèse et la majorité de ces derniers ont avoué tenir comme responsable leur mauvaise alimentation. Ajoutons que certains parlent encore beaucoup d’une possible raison génétique pour expliquer les problèmes de poids de leur progéniture.

Bien que les parents semblent conscients des défis que représente l’obésité chez la génération de demain, très peu semblent équipés pour y répondre efficacement. L’éducation demeure la meilleure voie.

À l’heure actuelle, seulement 58 % des répondants disaient avoir un enfant de poids normal. On prédit qu’en 2050, 25 % des enfants seront obèses, c’est-à-dire qu’ils auront un indice de masse corporelle supérieur à 30.

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L’obésité se joue-t-elle avant la naissance?

Afin de mieux comprendre en quoi le développement fœtal peut influencer celui d’un futur surpoids, des chercheurs américains se sont penchés sur la question hormonale. Leurs résultats sont parus dans Endocrinology.

Il semble qu’un changement dans les taux de ces hormones altère, en quelque sorte, le développement fœtal, soit au niveau du cerveau. Une telle transformation de l’évolution cellulaire aurait un impact sur les fonctions cérébrales qui régissent l’appétit.

Bien que ces observations aient été effectuées sur des modèles animaliers, il est évident, selon les chercheurs, qu’elles peuvent être reportées chez l’humain. Cette découverte représenterait donc, selon eux, l’une des explications primaires de l’obésité.

Parallèlement, des niveaux de leptine et d’insuline déréglés ont été relevés chez des enfants dont la mère était obèse, souffrait de diabète de grossesse ou s’alimentait de façon inadéquate.

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L’obésité à l’adolescence augmente les risques de cancer plus tard

Une étude publiée dans les Annals of Oncology mentionne que l’obésité à 18 ans augmente les risques de mourir d’un cancer plus tard.
 
L’étude, qui a été réalisée auprès de 20 000 hommes, révèle que ceux en surpoids ou obèses lorsqu’ils étaient jeunes avaient 35 % plus de chances d’avoir un cancer que ceux qui avaient un poids santé.
 
Malheureusement, une perte de poids à un âge moyen ne réduit pas les risques de maladies. Les chances de développer un cancer du poumon, de la peau, des reins et de la prostate, de même que de la vessie, de l’œsophage et des testicules sont toujours bien présentes.
 
Même si la recherche a été réalisée auprès des hommes, les chercheurs affirment que les femmes auraient aussi des risques similaires si elles avaient un problème de poids à l’adolescence.

Il est donc primordial de maintenir un poids santé tout au long de sa vie pour réduire au maximum les risques de maladies.

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Les régimes yo-yo seraient bénéfiques?

Alors que depuis des années, les spécialistes de la santé affirment que les régimes yo-yo sont nocifs pour la santé, une étude de l’Université de l’Ohio démontre qu’ils seraient toutefois préférables à l’obésité persistante.
 
Pour la santé et la longévité, les régimes sont bénéfiques, même si vous reprenez et reperdez souvent du poids.
 
Ces résultats ont été obtenus sur des souris. Leur état de santé se dégradait lorsqu’elles étaient soumises à un régime riche en graisse, alors que tout redevenait normal (poids et taux glycémique) lorsqu’elles avaient une alimentation faible en gras.
 
Les souris soumises au régime yo-yo ont vécu en moyenne 2,04 ans, les souris obèses ont eu une vie de 1,5 an et le groupe témoin, nourri avec un régime équilibré, a vécu 2,09 ans.
 
On croit que les régimes yo-yo abaissent le niveau de cytokine. Un haut niveau de cette hormone du système immunitaire est lié à une plus grande inflammation, mais aussi au diabète, aux cardiopathies et au cancer.

Bien qu’il soit difficile de savoir si les résultats sont les mêmes chez l’humain avec les régimes yo-yo, les experts encouragent les personnes qui souhaitent perdre du poids à ne pas abandonner et à poursuivre leur but, mentionne le DailyMail.

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La santé de maman durant la grossesse a des effets direct sur le bébé

Cette semaine seront présentés les résultats d’une autre étude qui atteste un risque du surpoids durant la grossesse pour le nouveau-né. On peut déjà en lire les grandes lignes sur Medical News Today.

Il semble, comme il a déjà été démontré lors de recherches précédentes, qu’une femme aura tendance à mettre au monde un bébé ayant un fort taux de gras si elle accuse un surpoids.
 
Selon cette nouvelle étude américaine, cela est indépendant du poids qu’avait la mère avant sa grossesse. On savait déjà que les enfants dont la maman avait pris trop de poids durant la grossesse avaient plus tendance à présenter un surpoids pour leur âge.
 
De plus, nous savons qu’un taux élevé en gras à la naissance est un facteur possible d’obésité infantile. Il y aurait donc raison de s’inquiéter quant aux répercussions d’un surpoids durant la grossesse.

Mentionnons finalement que les chercheurs de la présente recherche ont suivi 56 mamans. Aucune d’entre elles ne souffrait de diabète de grossesse. On a donc pu cibler le poids des femmes comme facteur sans tenir compte du diabète, ce que les études précédentes n’avaient pu faire.

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On comprendrait mal l’obésité infantile

Selon une équipe de chercheurs de l’Université de l’Illinois, l’obésité infantile dépend de multiples facteurs, lesquels sont variés et parfois difficiles à cibler. La nouvelle approche qu’ils proposent pour ce problème a été publiée dans Child Development Perspectives.

En général, lorsqu’un enfant souffre d’obésité, on suggère plus d’exercices physiques et on leur demande de manger moins. Pourtant, quand on regarde plutôt pourquoi ces enfants mangent trop et ne bougent pas suffisamment, on réalise que les raisons sont nombreuses.
 
Les chercheurs ont relevé entre autres le temps d’écoute de la télévision, les effets de l’allaitement et même le quartier dans lequel vit l’enfant. Bien sûr, on a aussi pris en considération les prédispositions génétiques.
 
Ce dernier facteur, qui semblait pourtant être devenu un mythe au cours des dernières années, a encore toute son importance. On estime que 30 à 40 % de la population ont des marqueurs génétiques les prédisposant à de plus grands risques d’obésité.

On espère donc mieux comprendre ce problème de santé en l’abordant selon les aspects « cellule, enfant, clan (ou famille), communauté, pays et culture ».

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Faites bien dormir vos enfants

Il existerait bel et bien une relation entre les heures de sommeil chez l’enfant et sa propension à l’obésité. Cette fois, le problème a été abordé par des scientifiques sous un nouvel angle.

Des chercheurs de l’Université d’Otago, en Nouvelle-Zélande, expliquent donc dans BMJ que chaque heure de sommeil par nuit est liée, chez un enfant, à une réduction de 63 % de l’indice de masse corporelle (IMC).
 
Pour en arriver à ce constat, 244 enfants âgés de 3 à 7 ans ont été suivis. Pour tous les âges, le temps de sommeil moyen était de 11 heures par nuit.
 
D’autre part, même si une évidence statistique n’a pu être établie hors de tout doute, on a aussi remarqué que les heures de sommeil supplémentaires entre 3 et 5 ans représentaient une baisse de 51 % de l’IMC, une fois l’âge de 7 ans atteint.

On a donc pu remarquer, encore une fois, un lien évident entre les habitudes de sommeil et le surpoids des enfants. Il semble ainsi que les enfants qui manquent d’heures de repos ont plus tendance à souffrir d’obésité en bas âge.