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Risque d’anémie pour l’enfant à naître

On connaît déjà plusieurs de problèmes de santé auxquels est exposé un fœtus lorsque la maman souffre d’obésité. Des chercheurs de l’Université du Wisconsin parlent maintenant de risques d’anémie.

Selon les résultats qu’ils ont présentés au congrès des Pediatric Academic Societies et ce que nous pouvons lire dans Sciences, le fer risquerait grandement de ne pas être transporté dans les intestins lorsqu’une femme enceinte a un surpoids.
 
Cela aurait pour résultat que le fer ne se rende pas au placenta. Rappelons que la moitié du fer dont l’enfant aura besoin pour grandir est pris avant sa naissance. Ce risque d’anémie pourrait mener jusqu’à des retards de développement cérébral.

Cette étude a porté sur 281 mères et leur poupon. Toutes les femmes participant à cette recherche avaient un indice de masse corporelle supérieur à 30.

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Perdre du poids a un prix

Un récent sondage du Canadian Obesity Network révèle que dans la dernière année, les personnes qui ont tenté de perdre du poids ont dû payer plusieurs centaines de dollars.
 
En fait, elles ont déboursé 900 $ pour un programme de perte de poids commercial, 766 $ pour un abonnement au gym, 600 $ pour des médicaments amaigrissants sous ordonnance et 400 $ pour un régime spécial.
 
L’étude démontre qu’il est faux que croire que l’obésité est liée à la paresse. Les personnes qui en souffrent veulent maigrir. Le quart des répondants disent avoir perdu le compte de leurs nombreuses tentatives pour perdre du poids et les trois quarts des gens affirment combattre leur surplus de poids depuis plus de 11 ans.
 
Plusieurs de ces personnes ont remarqué un changement dans leur relation avec leur entourage et une personne sur six a reçu un diagnostic de dépression ou d’anxiété.
 
On recommande de donner plus d’encadrement et de soutien aux personnes qui souhaitent perdre du poids, car elles sont souvent confuses et ignorent à qui s’adresser pour recevoir de l’aide.
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L’obésité, l’asthme et l’anxiété reliés à la fatigue chronique?

Le syndrome de fatigue chronique (SFC) chez de jeunes enfants serait plus fortement relié à l’obésité et à des troubles de l’humeur qu’il ne l’est chez les adultes, apprend-on dans Sleep.

C’est ce que concluent des chercheurs du Penn State College of Medicine en Pennsylvanie après qu’ils aient suivi 508 enfants.
 
Précisément, ces résultats font un lien entre le SFC et les facteurs médicaux, les médicaments pour l’asthme, le tour de taille et la mention des parents de symptômes dépressifs ou anxieux, entre autres.
 
Rappelons que le SFC est l’incapacité à demeurer éveillé durant le jour. Il peut avoir des effets néfastes sur le fonctionnement d’une journée normale.

Les chercheurs suggèrent donc quelques pistes à suivre pour prévenir ce problème, dont la perte de poids, le traitement de la dépression et de l’anxiété ainsi que des méthodes nocturnes de prévention de l’asthme, le cas échéant.

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L’obésité serait-elle contagieuse?

Une équipe de l’Université d’État de l’Arizona s’est penchée sur l’influence de l’entourage sur la perte et la prise de poids. Apparemment, l’obésité serait socialement contagieuse.
 
Ces résultats confirment de précédentes études sur le sujet. Selon l’American Journal of Public Health, les chercheurs ont interrogé 101 femmes ainsi que 812 de leurs amis proches et membres de leur famille.
 
On a tenté de voir en quoi l’obésité serait contagieuse, en sachant par exemple si une personne ressent de la pression quant à son poids ou l’influence de l’image corporelle de ses proches.
 
Un des points soulevés est que manger ou faire du sport à plusieurs, influence la perte ou la prise de poids.
 
« Si nous arrivons à établir exactement pourquoi l’obésité se répand parmi les amis et les membres d’une même famille, cela pourra nous aider à savoir sur quel aspect se concentrer pour faire baisser les taux d’obésité. Est-il plus efficace de changer les conceptions de poids idéal des individus en espérant qu’ils changent leurs habitudes ou faut-il plutôt se concentrer directement sur des comportements sociaux pouvant contribuer à la prise ou à la perte de poids? » explique l’auteur de l’étude Daniel J. Hruschka.
 
L’étude confirme que le risque d’obésité est accru si l’entourage d’une personne est obèse.
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La césarienne rendrait obèse?

Une étude de l’Université fédérale du Rio Grande do Sul a démontré que si une femme doit avoir recours à la césarienne lors de son accouchement, son enfant se trouve plus exposé à des risques futurs d’obésité.

Cette recherche, parue dans l’American Journal of Clinical Nutrition, a comparé les risques d’obésité chez des enfants nés par césarienne à d’autres qui étaient nés par voie naturelle, suivant 2 000 enfants nés de mères âgées de 23 ans.
 
Pour ceux qui étaient nés par césarienne, 58 % couraient le risque de devenir obèses. Il semble, à l’inverse, qu’une mère mettant au monde un bébé par césarienne avait 15 % plus de risques d’avoir un enfant obèse.
 
La raison en serait bactérienne. En effet, en naissant par voie vaginale, les enfants se trouvent exposés à une bactérie qui serait bénéfique pour la santé, notamment en ce qui concerne le développement de l’obésité.

Les chercheurs concluent toutefois qu’il ne faut pas sauter aux conclusions, car ils rappellent que de toute façon, l’allaitement exclusif jusqu’à six mois protègerait l’enfant de l’obésité et de certaines maladies. La mère pourrait donc créer un effet inverse.

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Recommandations d’éducatrices quant à l’obésité

L’Association nationale des puéricultrices de la France a fait part de recommandations quant à l’obésité infantile. Elles suggèrent en fait un modèle d’hygiène de vie.

Bien que faire des activités physiques et bien manger soit au centre des préoccupations encore une fois, les éducatrices mentionnent cette fois l’importance du sommeil chez l’enfant.
 
Mentionnons au passage qu’au cours des derniers mois, on a souvent parlé d’un lien entre le manque de sommeil et le développement de l’obésité chez l’enfant.
 
L’association appuie donc cette ligne de pensée et soutient que le sommeil est en effet primordial quant au maintien d’une bonne santé.

Laurence Guéry, coordonnatrice du réseau de prévention et prise en charge de l’obésité des Yvelines, a affirmé : « Il faut savoir que le sommeil joue un rôle important dans la mise en place des mécanismes de régulation de l’appétit et de la dépense énergétique ».

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Attention au gras de bébé

On peut lire sur Medical News Today les résultats d’une récente recherche de l’Université de médecine de l’Indiana ayant porté sur l’obésité infantile. Selon ces chercheurs, l’analyse de l’indice de masse corporelle entre l’âge de 2 à 5 ans aurait un impact majeur sur l’obésité.

Ainsi, il faudrait s’inquiéter de tout surplus de poids de notre enfant. On recommande maintenant qu’une thérapie soit proposée dès cet âge, de 2 à 5 ans, en vue que les enfants perdent du poids.
 
Les chercheurs en question ont mis en place un programme de 12 mois comprenant différentes interventions comportementales en vue d’enrailler l’obésité infantile. Dans le cadre de la présente expérimentation, 462 enfants ont été suivis. Parmi eux, 44 étaient âgés de 2 à 5 ans.
 
On souhaite, par le biais de cette étude, offrir un nouveau programme de prévention et de traitement de l’obésité infantile, lequel serait, semble-t-il, plus efficace que celui offert en ce moment.

À l’heure actuelle aux États-Unis, on recommande que les enfants de 6 à 18 ans soient testés quant à l’obésité et qu’ils suivent une thérapie comportementale en cas de nécessité.

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Le biberon, lié à l’obésité?

Les parents pourraient faire une meilleure prévention de l’obésité auprès de leur bébé en limitant l’emploi de la bouteille. C’est ce que nous apprend une récente recherche parue dans le Journal of Pediatrics.

Après avoir analysé des données portant sur 6 750 bébés nés en 2001, les chercheurs ont pu établir un lien entre l’usage du biberon à 24 mois et le risque d’obésité à l’âge de 5,5 ans.
 
Précisément, 23 % des enfants qui buvaient à la bouteille de façon prolongée étaient obèses une fois l’âge de 5,5 ans atteint. Parmi les participants, 22 % buvaient au biberon à 2 ans en guise d’alimentation de base. Ces derniers pouvaient aussi être mis au lit avec une bouteille contenant beaucoup de calories.
 
On estime que les bébés de 2 ans buvant encore au biberon courent 30 % plus de risques de souffrir d’obésité à l’âge mentionné, et ce, indépendamment du poids de leur mère, de leur propre poids de naissance et des façons dont ils étaient nourris durant leur petite enfance.
 
La raison en serait que les enfants qui traînent leur biberon auraient plus tendance à ingérer plus de calories que les autres. Par exemple, une petite fille de 24 mois, de taille et de poids moyens, qui s’endort avec un biberon de lait de 8 onces ingérera près de 12 % de son apport calorique quotidien de cette bouteille.

Finalement, éviter le biberon dès que l’enfant fête son premier anniversaire pourrait prévenir l’obésité.

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L’hormone du sommeil pour lutter contre l’obésité?

Le Journal of Pineal Research dévoile que la mélatonine, l’hormone du sommeil, comporterait des bienfaits autres que ceux déjà connus, comme ses propriétés antioxydantes et son efficacité contre la dépression, les troubles du sommeil et les problèmes de libido.
 
En effet, si les résultats de la présente recherche espagnole se confirment, cela pourrait mener à de nouveaux traitements contre l’obésité, car la mélatonine aide à gérer le poids et les lipides dans le sang.
 
L’étude a été faite sur un modèle expérimental de rats auxquels on a injecté de la mélatonine. Les effets bénéfiques ont été notés avant même que ne se développent des complications métaboliques et vasculaires liées au syndrome.
 
La mélatonine pourrait donc aider à prévenir certains problèmes liés à l’obésité et la dyslipidémie, comme le diabète et les maladies cardiaques.
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Obésité et grossesse : risques d’infection

Comme nous l’apprenons sur Sciences Daily, une étude présentée par les Pediatric Academic Societies fait état d’autres risques encourus par une femme obèse quand elle est enceinte.

Nous connaissions déjà les risques pour la santé même de la femme, mais nous voyons maintenant qu’elle serait moins encline à combattre des infections. On a notamment parlé de chorioamniotite, ce qui comprend des infections du liquide amniotique et des membranes autour du fœtus.
 
L’étude en question comprenait un peu plus de 30 femmes. La moitié d’entre elles étaient obèses, c’est-à-dire qu’elles accusaient un indice de masse corporelle (IMC) de plus de 30. Les autres avaient un IMC situé entre 20 et 25.
 
Au regard des résultats, il semble que les femmes souffrant d’obésité produisaient moins de cellules pouvant combattre les infections. Ainsi, les risques encourus durant la grossesse sont plus grands pour ces dernières.

On s’attend à ce que les recherches se poursuivent à ce sujet.