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L’entraînement par intervalles serait plus efficace contre l’obésité

Longtemps, on a cru que pour perdre du poids, il fallait s’entraîner de façon continue à une intensité modérée. Toutefois, une étude de l’Institut de cardiologie de Montréal démontre que l’entraînement par intervalles, additionné à une saine alimentation, était la clé du succès.
 
62 personnes obèses ont participé au programme Kilo-Actif pendant neuf mois. L’entraînement par intervalles consiste en de courtes périodes d’efforts intenses suivies de repos, ceci additionné naturellement d’une saine alimentation.
 
Les résultats ont été surprenants. En moyenne, les personnes avaient perdu 5,5 % de leur masse corporelle, 5,15 % de leur tour de taille et avaient augmenté leur capacité à l’effort de 15 %. Leur taux de mauvais cholestérol avait chuté de 7 %, alors que leur bon cholestérol s’était accru de 8 %.
 
Cela confirme donc que ce programme serait préférable à un entraînement continu à intensité modérée.
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Les repas en famille préviennent l’obésité

Selon Pediatrics, on aurait démontré que les repas en famille font en sorte que les enfants mangent plus de légumes et se nourrissent en général de manière plus santé.

En fait, les enfants qui mangent avec leurs parents au moins 3 fois par semaine sont 12 % moins à risque de développer un surpoids, selon une recherche ayant porté sur près de 183 000 jeunes âgés de 2 à 17 ans. Elle a été dirigée par l’Université de l’Illinois.
 
De plus, les enfants étaient 20 % moins portés à consommer de la malbouffe et 24 % plus enclins à manger des aliments sains, comme des légumes. Il semble finalement que les jeunes couraient 35 % moins de risque d’avoir des troubles de l’alimentation.

Certains soutiennent toutefois qu’il ne s’agit ici que d’une simple corrélation. Malgré tout, s’asseoir en famille semble constituer une bonne avenue pour régler les problèmes de santé que sont le surpoids et l’obésité dans la société actuelle. Rappelons qu’en 2008, aux États-Unis, 1 fille sur 7 et 1 garçon sur 6 étaient considérés comme obèses.

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Carences en vitamine D chez les jeunes obèses

Des chercheurs du Hasbro Children’s Hospital mettent en garde contre la carence en vitamine D dont souffrent la majorité des jeunes obèses. Selon eux, un traitement devrait être tenté afin de normaliser ces faibles taux.

Une déficience en vitamine D peut augmenter les risques de maladies comme le diabète, les problèmes cardiovasculaires et le cancer. De plus, un tel manque affecte le pouvoir des muscles, ce qui peut restreindre encore plus la capacité de ces jeunes à faire de l’activité physique.
 
Ce constat a été établi après que des analyses sanguines aient été effectuées auprès de 68 adolescents obèses et que l’impact d’une carence en vitamine D ait été évalué auprès de ces mêmes patients.

Les résultats complets de cette recherche dirigée par le Dr Zeev Harel, un pédiatre spécialiste du Hasbro Children’s Hospital, ont été publiés dernièrement dans le Journal of Adolescent Health.

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L’insécurité émotionnelle chez le nourrisson peut augmenter ses risques d’obésité dès son plus jeune âge

De nombreuses recherches sont effectuées en ce moment pour tenter de trouver les causes de l’obésité croissante chez les enfants. Ainsi, l’une d’elles, conduite par Sarah Anderson, professeure assistante en épidémiologie à l’Université d’État de l’Ohio, associe le stress relationnel entre la mère et l’enfant comme cause de l’obésité.

Cette nouvelle recherche a été remise en question par de multiples spécialistes qui réfutaient l’attribution de l’obésité au seul facteur d’insécurité émotionnelle. Pourtant, l’information colligée par Anderson et Robert Whitaker, professeur à l’Université Temple de Philadelphie, constitue une solide base de données.

Sur Reserch News, on indique que plus de 6 500 enfants américains âgés de 24 mois ont fait l’objet d’une observation attentive en 2001. Les chercheurs relevaient les indices de l’implication émotionnelle de l’enfant envers sa mère et vice versa, ainsi que la routine instaurée et les habitudes alimentaires.

Les enfants étaient par la suite réévalués à l’âge de 4 ans et demi. En additionnant l’ensemble des facteurs évalués, soit la cote d’insécurité octroyée et le facteur d’obésité, les résultats affichaient une augmentation de 30 % d’obésité chez les enfants ayant vécu un plus grand stress relationnel avec leur mère à l’âge de 24 mois.

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Pollution et enfants : un nouveau cri d’alarme

Un colloque français réunissant 300 professionnels de la santé remet encore une fois la question de la pollution environnementale à l’avant-plan, comme nous pouvons le lire dans 20 Minutes.

Ces derniers jours, on a appris que la pollution pouvait mener à des problèmes de comportement chez les enfants s’ils y avaient été exposés avant leur naissance.
 
Selon les chercheurs du 3e colloque de l’Appel de Paris, dont il est question ici, la pollution environnementale pourrait avoir d’autres impacts sur la santé des enfants. Elle causerait non seulement le cancer et aggraverait les allergies, mais pourrait aussi engendrer le diabète et l’obésité.

En plus de demander une réduction de la pollution dans de très courts délais, les experts exigent aussi que l’on interdise l’utilisation du bisphénol A dans l’emballage alimentaire. Selon eux, il faut réduire les conséquences de la pollution et des substances chimiques le plus vite possible.

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Beyoncé a retravaillé une de ses chansons pour une campagne contre l’obésité

La grande vedette Beyoncé à accepter d’offrir une nouvelle version de sa chanson Get Me Bodied pour que celle-ci soit utilisée dans une campagne contre l’obésité.

Se faisant, Beyoncé joint la campagne de Michelle Obama, la première dame des États-Unis, visant à encourager les jeunes à garder un mode de vie sain basé sur l’activité afin de freiner l’obésité qui fait de plus en plus de ravage chez les enfants.

Sa chanson Get Me Bodied, issue de l’album B’Day de 2006, devient maintenant Move Your Body pour la campagne Let’s Move.

En plus de cette nouvelle mouture de sa chanson, Beyoncé enregistrera une vidéo pour montrer aux enfants quelques séances d’entraînement ludiques. Elle espère ainsi faire réaliser aux jeunes que l’activité physique peut être amusante et leur apporter plusieurs bénéfices pour leur santé.

En attendant la version officielle, on peut visionner un clip avec la nouvelle version de la chanson et des enfants qui répètent la future chorégraphie qui sera filmée avec la vedette.

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Bienfaits des clémentines

Selon le journal Diabetes, la clémentine préviendrait de nombreux problèmes de santé. Il s’agit de la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de l’Ouest de l’Ontario.

Après des expérimentations réalisées sur des souris, on a pu définir quels seraient les effets de la clémentine. Ce fruit protègerait des crises cardiaques et des attaques, en plus de prévenir l’obésité et le diabète.
 
C’est la nobilétine, un pigment que l’on trouve sur la peau des agrumes, qui est à la base de ces effets. Or, la peau de la clémentine en contient 10 fois plus que celle du pamplemousse.
 
Des recherches précédentes avaient démontré que les flavonoïdes des pamplemousses protégeaient de l’obésité et du syndrome métabolique.

Quant à ce qui a été prouvé sur la nobilétine, des recherches futures devront être faites pour savoir si un traitement incluant ce pigment est souhaitable pour les personnes malades.

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Grossesse et obésité : dangers réels

Une étude parue dans Human Reproduction indique qu’un bébé dont la mère était obèse au début de sa grossesse a un état précaire. En effet, il risque beaucoup plus de mourir avant sa naissance ou durant sa première année de vie.

Il semble que ces enfants aient deux fois plus de risque de perdre la vie durant ces deux périodes. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de Newcastle, au Royaume-Uni, après avoir suivi une cohorte de 40 932 grossesses. Les bébés de l’étude sont nés entre 2003 et 2005.
 
Le risque total de mort infantile ou intra-utérine atteignait 1,6 % chez les femmes ayant un indice de masse corporelle plus élevé que celui recommandé. Chez celles ayant un poids normal, ce taux n’atteignait que 0,9 %.
 
L’une des plus importantes raisons est que chez les femmes obèses, il survenait plus de cas de prééclampsie, laquelle se reconnaît par une haute pression sanguine. Le diabète est aussi plus fréquent chez les femmes en surpoids.

Ces données sont quelque peu inquiétantes, car nous remarquons depuis quelques années la hausse constante de personnes obèses dans les sociétés occidentales.

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Une explication du lien entre l’obésité et le cancer du sein

Des chercheurs français de l’Université Paul Sabatier ont mis en lumière le lien possible entre le cancer du sein et l’obésité.
 
Depuis des années, on soupçonnait que l’obésité favorisait la propagation de la maladie, plusieurs statistiques démontrant effectivement un lien possible, mais on en ignorait la raison.
 
L’étude française publiée dans le Cancer Research mentionne que les chercheurs ont mis en évidence que près des tumeurs se trouvaient des cellules de tissus graisseux. Celles-ci, liées à la tumeur, modifient les cellules cancéreuses en les rendant plus agressives.
 
« Nos résultats démontrent aujourd’hui comment les adipocytes participent activement à la progression du cancer orchestrée par les cellules tumorales. Ils suggèrent qu’en cas d’obésité, les adipocytes associés au cancer du sein seraient plus enclins à amplifier l’effet agressif des tumeurs », disent les auteurs des travaux.
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Les médicaments pour maigrir : le débat est lancé

Dans les six derniers mois, trois médicaments promettant la perte de poids ont été refusés par la Food And Drug Administration (FDA) aux États-Unis, apprend-on sur Medical News Today.

Le rejet de Contrave, Qnexa et Lorqess pourrait alimenter de nouvelles discussions, tant chez nos voisins du sud qu’ici.
 
Bien que ces médicaments représentent une possible solution au problème majeur d’obésité en Amérique, la FDA en a rejeté la demande d’approbation pour des raisons de santé publique.
 
Le Contrave ne pourra ainsi être approuvé avant que de nouvelles recherches soient faites sur les risques cardiovasculaires qu’il pourrait entraîner. Quant au Qnexa et au Lorqess, leur demande a tout simplement été rejetée par un comité décisionnel de la FDA.
 
Afin qu’un tel médicament soit accepté par la FDA, la preuve doit être faite qu’au moins 30 % des personnes qui l’ont pris ont perdu au moins 5 % de leur poids. De plus, après 1 an de prise du médicament, la différence de poids entre un groupe l’ayant reçu et celui d’un groupe témoin doit être elle aussi d’au moins 5 %.

Toutefois, ce 5 % pourrait ne pas convaincre pour autant la Food and Drug Administration, car le médicament en question pourrait ensuite être pris par 27 millions d’Américains souffrant d’obésité. Il s’agit du tiers de la population des États-Unis.