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L’obésité touche aussi les bébés

Il semble que si les enfants sont aussi visés par le nombre grandissant de cas d’obésité, les bébés n’en seraient pas non plus à l’abri.

Selon une étude de l’Université Wayne State à Détroit, parue dans l’American Journal of Health Promotion, plus du tiers des bébés de neuf mois risqueraient de devenir obèses.

Cette étude longitudinale a porté sur 16 400 bébés nés en 2001. Au moment des analyses, 8 900 d’entre eux étaient âgés de 9 mois, tandis que 7 500 avaient 2 ans.

Parmi ces enfants, 31,9 % des bébés de 9 mois risquaient de souffrir d’obésité. Ceux qui étaient âgés de 2 ans avaient quant à eux un taux de risque de 34,3 %.

Ces données sont le résultat de calculs en fonction de la prise du poids des enfants à l’étude. En général, les filles étaient moins à risque que les garçons.

En regard de ces révélations, les chercheurs rappellent l’importance qu’ont les parents quant aux bonnes habitudes alimentaires à transmettre à leurs enfants.

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La diversification alimentaire : pas si vite

On suggère aujourd’hui de diversifier les aliments, voire de donner de la nourriture solide aux bébés, à compter de quatre à six mois afin de prévenir les allergies.

Or, une récente étude publiée dans l’International Journal of Obesity stipule que la raison de cette méthode pourrait aussi être le maintien futur d’un poids santé.

En effet, l’étude en question, qui a porté sur 300 enfants, a démontré un lien entre la diversification alimentaire d’un bébé et son poids une fois enfant.

À l’âge de 10 ans, les participants de la recherche à qui les parents avaient trop vite donné de nombreux aliments risquaient plus souvent de souffrir de surpoids ou d’obésité.

On recommande donc d’être prudent et de faire manger plusieurs aliments différents aux bébés à partir de l’âge de cinq mois seulement.

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Le lait que boit bébé influerait sur son poids

Des chercheurs américains viennent d’indiquer un nouveau facteur dans la santé et le développement de l’enfant.

Il semble, peut-on lire dans Pediatrics, que les bébés qui sont nourris au lait de vache prendraient du poids plus rapidement que ceux qui sont allaités.

Pour tirer ces conclusions, la psychobiologiste Julie Mennalla et son équipe du Monell Chemical Senses Center à Philadelphie ont suivi 59 bébés durant 7 mois. Au début de l’étude, les enfants étaient âgés de deux semaines.

Un groupe a été nourri avec une formule protéinée de lait maternisé et l’autre a bu du lait de vache. Le lait maternisé de l’étude représentait le lait maternel (le standard de l’étude), car il y est très ressemblant.

Les 35 poupons qui ont été nourris au lait de vache ont pris du poids plus rapidement que les 24 à qui l’on a donné une formule protéinée de lait maternisé.

Les deux types de lait avaient pourtant le même nombre de calories. C’est le taux de protéines qui différait de l’un à l’autre, le lait de vache en contenant moins.

Selon madame Mennella, il reste maintenant à statuer sur la raison pour laquelle les bébés à qui l’on donne du lait de vache se retrouvent suralimentés.

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Les filles, à l’école plus tôt pour contrer l’obésité?

Selon une étude récemment parue dans le Journal of Adolescent Health, on aurait tout intérêt à faire entrer les filles à l’école dès que possible.

C’est que ces mêmes enfants auraient tendance à ne pas souffrir d’obésité à l’adolescence, selon une analyse de données portant sur près de 6 000 filles et réalisée par des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de Rochester.

Un tel lien n’a pas été remarqué chez les garçons. Ce fut pourtant le cas chez les filles, lesquelles souffraient plus de surpoids une fois adolescentes si elles avaient commencé l’école plus tard.

Une explication possible serait que les filles qui entrent à l’école à un plus jeune âge se retrouveraient avec des copines plus vieilles qu’elles. Ces dernières auraient une influence sur leur poids, ayant des préoccupations quant à leur silhouette et leur apparence.

De plus, ces mêmes fillettes seraient exposées plus tôt aux différents préceptes de la bonne alimentation et aux différents programmes de mise en forme offerts.

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Manger devant son ordinateur incite au grignotage

Il est néfaste pour la santé de manger devant son ordinateur et c’est pourtant chose courante.
 
Des chercheurs anglais de l’Université de Bristol affirment que cela incite au grignotage durant la journée. Selon le Daily Mail, on a voulu étudier l’influence de la mémoire et de l’attention sur l’appétit.
 
Un premier groupe de personnes a mangé un déjeuner composé de neuf aliments tout en jouant aux cartes sur l’ordinateur. Un deuxième groupe a mangé la même nourriture, mais sans distraction. Ceux qui étaient restés devant leur écran se sentaient moins rassasiés après le déjeuner que le deuxième groupe.
 
Après trente minutes, le premier groupe avait mangé plus de biscuits que ceux qui n’avaient pas eu de distraction au déjeuner. De plus, ceux qui étaient restés devant leur ordinateur ont eu beaucoup plus de mal à se souvenir de l’ordre dans lequel ils avaient consommé les aliments au déjeuner.
 
Cela démontre que les distractions au cours d’un repas peuvent conduire à manger plus dans la journée, ce qui a un impact direct sur l’obésité.
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Un composé de la tomate qui lutte contre l’obésité

Le composé appelé lycopène, qui donne la pigmentation rouge à la tomate, pourrait aider à prévenir des maladies liées à l’obésité, comme le diabète de type 2 notamment.
 
Les chercheurs de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) de Marseille, en France, mentionnent que le lycopène se retrouve également dans des fruits comme les pastèques, les pamplemousses et la papaye. Il s’agit d’un carotène rouge, riche en antioxydants, qui possède également des propriétés anti-inflammatoires.
 
Les chercheurs ont constaté qu’une alimentation riche en lycopène était reliée à un tour de taille moindre et un taux de masse graisseuse également plus faible. Cela aide à prévenir les maladies comme le diabète de type 2 et laisse donc croire que le lycopène peut agir sur les tissus adipeux. En fait, il permettrait l’élimination de cette graisse.
 
Un avantage non négligeable avec le lycopène est qu’il est un composé stable. Même lors de la cuisson, il conserve ses propriétés bienfaitrices et demeure actif dans les préparations à base de tomate, que ce soit le ketchup ou la sauce aux tomates. À ne pas négliger dans son alimentation donc.
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Les jeux vidéo, une solution au surpoids des enfants?

L’obésité et le diabète de type 2 chez les plus jeunes pourraient être évités en partie grâce aux jeux vidéo. Cette surprenante possibilité est tirée d’une étude parue récemment dans l’American Journal of Preventive Medecine.

Il semble en effet, après avoir suivi 153 enfants âgés de 10 à 12 ans, que les jeux d’aventures encouragent les plus jeunes à bouger plus et à mieux s’alimenter.

Parmi eux, 103 faisaient partie du groupe en traitement, tandis que 50 étaient aux fins de contrôle. Ce deuxième groupe jouait à des jeux trouvés sur des sites internet.

Les jeux d’aventures épiques qui ont servi à l’étude étaient comparables à certains produits offerts sur le marché qui sont de bonne qualité.

Jouer à ces jeux a donc poussé les enfants à n’ingérer que les deux tiers de leurs rations quotidiennes, sans malgré tout augmenter la consommation d’eau ou mener le degré d’activité de moyen à élevé.

Il y a donc une influence, même si le degré d’activité physique et la consommation d’eau sont demeurés sous le seuil minimum requis.

Des études subséquentes sont évidemment nécessaires pour prouver hors de tout doute l’efficacité et les mécanismes de changements engendrés par ces jeux.

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Rester assis a de graves conséquences sur la santé

De plus en plus, les gens demeurent assis longtemps, soit devant l’ordinateur, la télévision ou encore pour lire, mais cette position augmente les risques de problèmes de santé graves.
 
Des chercheurs ont analysé de nombreuses études sur le sujet et il en ressort que rester longtemps assis augmente le risque d’obésité. Chaque deux heures en position assise augmente les risques de 23 %.  
 
Le diabète de type 2 est également un problème qui guette grandement ces personnes sédentaires, de même que les accidents cardiovasculaires et le taux de graisse dans le sang.
 
De plus, pour la femme, la position assise sur de longues périodes représente un risque accru de cancer de l’utérus, alors que pour l’homme, c’est un risque de cancer du côlon.
 
La densité osseuse diminue aussi avec le temps si une personne demeure en position assise longtemps.
 
Puis, les chercheurs affirment également que demeurer assis trop longtemps fait grimper les risques de maladies mentales de 31 %.
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Danger : les régimes imposés aux enfants

Nous pouvons lire dans Le Parisien les réflexions de Jean-Michel Lecerf, de l’Institut Pasteur à Paris, sur son récent rapport portant sur les régimes amaigrissants. Ces derniers peuvent être dangereux pour les enfants et entraîner des problèmes de santé.

Selon le chef du Service de nutrition de l’Institut, il est de plus en plus fréquent que des enfants âgés de 2 à 8 ans soient mis au régime, mais cela comporte des dangers pour leur santé. Parmi ceux-ci, on compte les troubles de croissance.

Les parents seraient poussés vers cette méthode en réaction à une dramatisation de l’obésité chez les plus jeunes. Ils devraient toutefois faire preuve de plus de vigilance, malgré les recommandations de certains médecins.

Il semble en effet que des médecins accordent une importance démesurée au surpoids de certains enfants, leur faisant suivre un régime amaigrissant à un trop jeune âge.

Le rapport de Jean-Michel Lecerf, porte sur plusieurs régimes pouvant créer des carences chez la femme. Ils sont de plus considérés comme inefficaces.

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Un lien clair entre l’obésité de l’enfant et le régime gras de la future mère

Une étude qui portait au départ sur le sommeil nous en a finalement dit plus long sur les liens entre une alimentation riche en gras de la femme enceinte et la future condition physique de son enfant.

En effet, d’après le FASEB Journal, les habitudes alimentaires de la future mère pourraient causer des changements génétiques faisant en sorte que le bébé à venir devienne obèse ou fasse de l’embonpoint plus tard.

Le gène Npas2 serait visiblement en cause. Ce dernier est responsable de la régularité du rythme circadien.

Pour arriver à ces conclusions, des chercheurs du Collège de médecine Baylor, à Houston, ont analysé les cas de trois groupes de singes japonais.

Durant la grossesse des mères ayant une alimentation riche en gras, il semble que les gènes du foie du foetus aient été modifiés, en particulier le Npas2.

Toutefois, il appert qu’une amélioration du régime alimentaire durant la grossesse ou l’allaitement, ou encore de celui du bébé après la naissance, pourrait restaurer en partie le système circadien.