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Une nouvelle étude confirme les propriétés anti-obésité des produits laitiers

Une nouvelle étude israélienne confirme que les produits laitiers peuvent favoriser la perte de poids durant un régime.
 
Il s’agit pourtant d’un sujet de controverse, malgré le fait que ce n’est pas la première étude qui associe les produits laitiers à une perte de poids.
 
Pendant deux ans, les chercheurs ont évalué les effets de la consommation quotidienne de lait, fromages et autres produits laitiers sur 322 personnes de 40 à 65 ans présentant un excès de poids.
 
L’American Journal of Clinical Nutrition rapporte que les participants devaient se soumettre à l’un des différents régimes, soit faible en gras, faible en glucides ou méditerranéen. La consommation de lait était selon les goûts.
 
Tous régimes confondus, les personnes ayant consommé au moins deux tasses de lait par jour ont perdu 6 kilos après deux ans, alors que les personnes qui ont bu le moins de lait n’ont perdu que 3 kilos.
 
Il semblerait que le calcium du lait comporte des composants bioactifs, supérieurs aux suppléments de calcium, qui jouent un rôle dans cette perte de poids.
 
Autre point positif, la vitamine D, essentielle au corps humain, était à un taux plus élevé dans le sang des personnes ayant consommée le plus de lait.
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Le manque de sommeil chez l’enfant peut provoquer des maladies cardiaques

Le Dr Brian McCrindle, un cardiologue en pédiatrie de l’Hôpital pour enfants de Toronto, a suivi 1 600 enfants âgés de 14 et 15 ans.

Ils présentaient tous des problèmes de sommeil sérieux causés soit par la télévision, les jeux vidéo ou d’ordinateur et les réseaux sociaux sur Internet.

Avoir un sommeil déficient représente un risque réel de développer l’obésité. Celle-ci entraîne alors une hypertension et un haut taux de cholestérol.

Par ailleurs, la présente étude a établi un lien de corrélation entre le manque de sommeil et un poids, une masse corporelle, une pression sanguine et un taux de cholestérol plus élevés.

Un lien clair a aussi été établi avec de mauvais choix alimentaires et une pauvre hygiène de vie.

Le médecin en tête de ces résultats rappelle à quel point il est primordial pour les jeunes d’inclure une qualité et une bonne quantité de sommeil dans leur régime de santé.

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Sauter le petit déjeuner prédispose aux maladies cardiaques

Sauter régulièrement le petit déjeuner augmente les risques de maladies cardiaques, selon une nouvelle étude effectuée sur 2 184 personnes et dont les résultats sont publiés dans l’American Journal of Clinical Nutrition.
 
Quitter la maison l’estomac vide prédispose à l’obésité, à des réserves de graisse importantes autour de l’abdomen et à un taux de cholestérol élevé, tous des facteurs de risque majeurs pour les maladies cardiovasculaires.
 
De plus, cela augmente le niveau d’insuline dans le sang, traçant donc la voie au développement du diabète.
 
Les scientifiques croient que ceux qui ne prennent pas le petit déjeuner sont plus enclins à grignoter des aliments sucrés, à faire moins d’exercices et à consommer moins de fibres, de vitamines et de minéraux.
 
Les risques sont présents dès l’enfance. Si un enfant ne prend pas de petits déjeuners et que cette habitude se poursuit à l’âge adulte, cette personne est déjà plus susceptible d’avoir des problèmes cardiaques à la fin de la vingtaine.
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La pression sanguine des enfants obèses améliorée par une légère perte de poids

Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de l’Indiana viennent de démontrer que toute perte de poids fait baisser substantiellement la pression sanguine des enfants obèses.

Comme nous l’apprenons sur HealthDay News, cette équipe a recueilli des échantillons sanguins de 1 113 enfants pour arriver à cette conclusion.

Ils ont ensuite comparé l’indice de masse corporelle de ces enfants à des données de pression sanguine normale selon l’âge, le sexe et la taille.

Selon le chercheur en chef Wanzhu Tu, professeur de médecine, la variation de la pression est beaucoup plus marquée chez les enfants en surpoids que chez les autres enfants.

Pour les garçons en surpoids, l’indice de masse corporelle avait 4,6 fois plus d’impact sur leur pression sanguine que chez les garçons normaux. Les résultats étaient similaires chez les filles.

La haute pression observée chez les enfants peut se traduire à l’âge adulte par des maladies du coeur et du diabète, entre autres.

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L’obésité infantile est génétique

Une recherche menée par le Center for Applied Genomics (CAG), à l’hôpital pour enfants de Philadelphie, a été présentée dans l’American Journal of Human Genetics.

On peut y apprendre qu’une variation génétique augmentant le risque de surpoids chez les enfants a été remarquée après cette étude comparative.

Pour y arriver, les gènes de deux groupes ont été observés. Le premier était composé de génomes de centaines d’enfants obèses et le deuxième était un groupe témoin.

Les chercheurs ont pu dénombrer les manques ou répétitions appelés les copy number variations (CNV). Il a donc pu être clairement démontré que les personnes ayant les CNV découverts, qui sont rares dans la population en général, sont plus portées à devenir obèses.

De plus, certains CNV appartiennent uniquement aux Euro-Américains et aux Afro-Américains.

Bien que cette découverte n’offre pas dans l’immédiat un traitement à l’obésité, elle a pu établir un lien hors de doute entre les gènes et l’obésité chez les enfants.

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Une exposition à la lumière durant le sommeil ferait grossir

Durant la nuit, les lumières de la ville pourraient grandement nuire au métabolisme du corps humain.
Des chercheurs américains ont constaté que des souris exposées à la lumière durant la nuit gagnaient plus de poids que les autres, même si elles avaient le même régime alimentaire et le même niveau d’exercices.
 
Pendant huit semaines, une équipe de l’Université de l’Ohio a soumis des souris à une lumière affaiblie durant leur sommeil. À la fin de l’étude, ces dernières avaient un indice de masse corporelle de 50 % plus élevé que celui des autres qui n’avaient pas été exposées à la lumière.
Des tests doivent maintenant se faire sur les humains afin de voir si les chercheurs obtiendront les mêmes résultats.
 
« Il est établi que pour garder la ligne il ne faut pas trop manger et il faut faire beaucoup d’exercice, mais ce facteur environnemental pourrait expliquer pourquoi certaines personnes suivant bien ces préceptes prennent malgré tout des kilos », explique Randu Nelson de l’Université de l’Ohio.
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Certains laits maternisés causent l’obésité

Une étude du MRC Childhood Nutrition Research Centre, de l’University College London en Angleterre, pointe du doigt les laits maternisés enrichis dans le gain de poids de certains enfants.

Publiés dans le Daily Mail, les résultats de cette recherche, dirigée par le professeur Atul Singhal, donnent encore de bons points à l’allaitement maternel, puisque le lait naturel contiendrait moins de calories.

Ce nombre de calories aurait une influence néfaste sur la santé des bébés, qui en ingèreraient une trop grande quantité lors des premières étapes de leur développement.

Les études passées avaient par ailleurs prouvé que 20 % des adultes obèses l’étaient en raison d’un surpoids ou d’une absorption trop grande de nutriments lors de la petite enfance.

Les chercheurs soupçonnaient ce type de lait depuis longtemps comme cause de l’obésité, mais les recherches précédentes aboutissaient un taux de seulement 20 %.

Ainsi, il semble que les bébés ayant été nourris au lait maternisé enrichis uniquement, auraient tendance à être obèses lorsqu’ils ont cinq ans.

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Moins d’empathie envers les enfants obèses

Les enfants en surpoids vivraient non seulement de la discrimination de la part des autres enfants, mais aussi de leurs propres parents, comme l’a démontré une étude de la North Texas University à Denton rapportée sur Canada.com.

Les parents seraient moins portés à offrir leur soutien financier pour des études supérieures ou pour l’achat d’une voiture à un membre de la famille vivant avec l’obésité.

Les chercheurs Adriel Boals et Amanda Kraha ont publié une étude dans Obesity, dans laquelle on apprend que plus des deux tiers de la population américaine sont obèses et que ces personnes vivent une discrimination à l’école, au travail et dans leur vie sociale.

Ainsi, elles ont tendance à posséder moins et à être moins en couple, ce qui pourrait expliquer leur propension à devenir dépressives et à avoir une faible estime d’elles-mêmes. 

Les chercheurs croient donc que les parents agissent ainsi, mais inconsciemment, parce qu’ils sont moins enclins à vouloir miser sur un enfant qui est différent et parce qu’ils suivent la tendance générale, c’est-à-dire de juger défavorablement les personnes en surpoids.

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Posséder un chien permet de garder vos enfants actifs

Les bienfaits de la présence d’un chien dans la vie d’un enfant ont été prouvés depuis longtemps. Maintenant, l’American Journal of Public Health affirme qu’un chien permet à l’enfant de demeurer actif.
 
Jouer à la balle, faire une promenade, jouer avec son chien au soccer ou à la lutte sur le tapis sont autant d’activités que les enfants s’amusent à faire avec leur ami à quatre pattes.
 
Une étude britannique effectuée auprès de 2 065 enfants révèle de ceux qui ont un chien sont 50 % moins susceptibles d’avoir un problème de poids.
 
37 % des enfants disent promener leur chien au moins une fois par semaine. Posséder un chien peut aider toute la famille à demeurer plus active, notamment avec des balades quotidiennes.
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L’obésité serait due à une infection virale

Des travaux réalisés sur un groupe d’adolescents américains  portent à croire que l’hypothèse de l’obésité causée par une infection virale serait plausible.
 
Depuis quelque temps, les chercheurs tentent de comprendre le fléau qu’est l’obésité et on croit que ce serait plus complexe qu’une simple question de quantité de nourriture consommée et d’hérédité.
 
Depuis peu, les scientifiques s’intéressent à l’adénovirus AD36, dont l’implication dans l’obésité animale et adulte a été démontrée. Sur 124 jeunes de 8 à 18 ans qui ont été étudiés, 15 % étaient porteurs de l’AD36, dont la majorité (78 %) était obèse.
 
« Ce travail montre que le poids corporel est beaucoup plus complexe que ce qu’il y paraît. Ces données confortent l’idée selon laquelle une infection peut provoquer ou contribuer à l’obésité », mentionne Jeffrey B. Schwimmer de l’Université de la Californie à San Diego.
 
Les recherches sur le sujet se poursuivent.