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Les effets bénéfiques des suppléments d’huile

Selon une récente étude, des suppléments d’huiles diététiques aideraient à repousser les mauvais gras chez certaines personnes, rapporte Medline Plus.

Les femmes âgées atteintes du diabète de type 2 et ayant un surplus de poids qui ajoutent des suppléments d’huile de carthame ou d’acide linoléique à leur diète diminuent leur masse corporelle ou augmentent leur masse musculaire.

L’auteure principale de l’étude, Martha A. Belury, affirme que ce n’est pas un remède miracle, mais qu’il peut avoir des effets bénéfiques.

Soulignons que cette étude a été réalisée auprès de 55 femmes obèses, postménopausées et atteintes du diabète de type 2. Leur moyenne d’âge était de 60 ans.

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Surplus de poids et arthrose

Selon une récente étude qui sera publiée dans l’édition d’août de Radiology, l’arthrose risque de progresser plus rapidement en cas d’obésité, alors que le surplus de poids use plus rapidement les cartilages des genoux et les rend ainsi plus vulnérables à la maladie.

L’équipe du Dr Frank W. Roemer, de l’Université de Boston, a travaillé pendant 30 mois avec 336 patients et a découvert que chaque point supplémentaire de l’indice de masse corporelle augmente de 11 % la perte de cartilage.

« Nous savons que la perte de poids est le plus important facteur pour ralentir la progression de l’arthrose. D’autres recherches devront toutefois être menées afin de vérifier si d’autres paramètres, comme les vitamines, peuvent aider à ralentir la maladie », ont signalé les auteurs de cette recherche.

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Le stress fait engraisser

Selon une recherche, dont les détails sont publiés dans l’American Journal of Epidemiology, le stress ferait engraisser particulièrement les personnes qui ont déjà un surplus de poids.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe du Dr Jason Block, de l’Université Harvard aux États-Unis, a travaillé avec 1 355 sujets.

Ce sont les femmes qui sont plus sensibles aux effets du stress comparativement aux hommes. Ces dernières avouent que ce sont les situations familiales difficiles et les finances personnelles qui génèrent le plus de stress chez elles, tandis que les hommes sont plus stressés par la vie professionnelle.

« Nos résultats montrent que le stress devrait être reconnu comme une menace pour le bien-être des adultes américains, surtout ceux qui sont déjà en surpoids. De plus, on remarque des différences apparentes liées au sexe dans la façon dont le stress influence la prise de poids », a indiqué le Dr Block.

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Les bienfaits de la chirurgie bariatrique

Contrairement aux hommes, les femmes qui ont eu une chirurgie bariatrique voient leur risque de cancer diminuer, nous apprend une recherche publiée dans The Lancet Oncology.

Le Dr Lars Sjöström et son équipe du centre hospitalier universitaire Sahlgrenska, en Suède, ont analysé les dossiers médicaux de 2 010 patients obèses qui avaient subi ce type d’opération et les ont comparés à ceux de 2 037 sujets n’ayant pas eu de chirurgie bariatrique.

Après 11 ans de travaux, les chercheurs ont conclu que les sujets féminins du premier groupe avaient 42 % moins de chances de souffrir éventuellement d’un cancer comparativement aux femmes du deuxième groupe.

Aucun résultat similaire n’a été observé chez les patients masculins.

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Surcharge pondérale et asthme

Une récente étude publiée dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology prétend que les patients obèses répondent moins bien aux corticostéroïdes utilisés pour traiter l’asthme.

« Ces résultats inquiétants démontrent que les patients obèses et asthmatiques ne répondent pas aussi bien que les recommandations de base. Si les médecins ne revoient pas leurs patients après avoir entrepris des traitements de corticoïdes et ne revoient pas les dosages éventuellement, cela signifie que l’asthme de ces patients risque d’être moins bien traité », a déploré l’auteur de cette recherche, le Dr E. Rand Sutherland de l’Université du Colorado à Denver.

M. Sutherland a travaillé avec 1 256 asthmatiques en comparant leur indice de masse corporelle et leur médication prise pour traiter la maladie respiratoire.

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Troubles du sommeil chez les enfants obèses

Une étude publiée dans l’édition de juin du magazine SLEEP nous apprend que les enfants obèses sont plus sujets à souffrir de troubles du sommeil.

Le Dr Edward O. Bixler et son équipe de la Faculté de médecine de l’Université de la Pennsylvanie ont travaillé avec 700 enfants âgés de 5 à 12 ans. Ils ont mesuré leurs activités cérébrale et cardiaque ainsi que leur respiration pendant une nuit de sommeil de neuf heures.

Environ 25 % des sujets présentaient de légères difficultés respiratoires pendant leur sommeil, particulièrement ceux qui avaient un indice de masse corporelle et un tour de taille plus élevés.

« Les facteurs de risque des difficultés respiratoires durant le sommeil chez l’enfant sont complexes et liés au métabolisme et à l’inflammation », a expliqué M. Bixler.

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Une chirurgie bariatrique sans points de suture

Grâce à un simple tube inséré dans l’oesophage, des chercheurs sont en mesure de diminuer la grosseur de l’estomac. Cette nouvelle chirurgie bariatrique expérimentale, qui ne nécessite aucune coupure, ralentit alors le passage de la nourriture dans le système digestif et donne l’impression aux patients d’être rassasiés.

Jusqu’ici, 200 patients américains et 100 Européens ont subi ce type d’intervention. Le Dr Gregg Nishi, chirurgien au Centre médical Cedars-Sinai à Los Angeles, prétend que ces derniers ont perdu en moyenne jusqu’à 45 % de leur poids, 18 mois après la chirurgie.

Malgré ces résultats prometteurs, ce type de chirurgie bariatrique n’a pas encore été approuvé par les autorités fédérales aux États-Unis.

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Association entre le diabète et l’apnée du sommeil

Une étude, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale Diabetes Care, démontre qu’il existe une corrélation entre le diabète de type 2, le surplus de poids et l’apnée du sommeil.

Chez les 306 sujets ayant participé à la recherche, environ 87 % d’entre eux souffraient du trouble du sommeil et l’ignoraient complètement.

Plus de 30 % des candidats avaient de 16 à 20 épisodes par heure où ils manquaient d’oxygène pendant leur sommeil et 22 % en avaient plus de 30 à l’heure, selon le Dr Gary D. Foster, de l’Université Temple aux États-Unis.

« La très forte prévalence de non-diagnostic d’apnée du sommeil chez les patients diabétiques est un très sérieux problème de santé publique. Les médecins ayant des patients obèses et diabétiques devraient porter une attention particulière à ce trouble du sommeil », ont fait savoir les auteurs de l’étude.

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Les Américains ne manquent pas d’exercice

Selon une étude qui a été présentée vendredi dernier (8 mai) lors d’une conférence internationale sur l’obésité à Amsterdam, l’obésité chez les Américains ne provient pas du fait qu’ils manquent d’exercice, mais plutôt de leur trop grande consommation de nourriture, rapporte Cyperpresse.ca.

Le directeur de l’étude, Boyd Swinburn, a affirmé que rien n’indiquait qu’une baisse de l’activité physique soit à l’origine de cette épidémie aux États-Unis. Il a ajouté que c’était en fait l’augmentation de l’ingestion d’énergie qui avait entraîné cette prise de poids.

En moyenne, les enfants ont grossi de quatre kilogrammes et les adultes de huit kilogrammes durant les trois dernières décennies aux États-Unis.

Les chercheurs ont découvert qu’en fait, les Américains devraient peser plus compte tenu de leur alimentation, ce qui signifie qu’ils ont probablement intensifié leur activité physique.

Afin de retrouver leur poids des années 70, les enfants américains devraient réduire leur consommation de 350 calories par jour. Les adultes, quant à eux, devraient la réduire de 500 calories.

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Association entre l’obésité et les allergies

Une étude, dont les résultats sont publiés dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology, démontre qu’il y a davantage de cas d’allergies, surtout alimentaires, chez les enfants et les adolescents obèses.

« Nous avons trouvé une association entre l’obésité et les allergies. Si les résultats de notre recherche sont intéressants, il ne faut toutefois pas conclure que l’obésité cause les allergies. D’autres études doivent être effectuées afin d’évaluer davantage ce lien potentiel », a fait savoir l’un des auteurs, le Dr Darryl Zeldin du National Institute of Environmental Health Sciences.

4 111 enfants âgés de 2 à 19 ans ont participé à cette recherche où l’on a mesuré leur taux d’immunoglobuline E (IgE), une sorte d’anticorps capable de déclencher des réactions immunitaires, et leur indice de masse corporelle. Ceux qui étaient considérés comme obèses ou ayant un surplus de poids avaient un IgE plus élevé que la moyenne.