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Changer ses habitudes de vie, avant la médication

Selon un professeur de la Faculté de médecine de l’Université Laval, le Dr Jean-Pierre Després, une meilleure alimentation ainsi qu’un programme d’exercice physique régulier sont encore plus bénéfiques que la médication contre l’obésité afin de réduire l’incidence de maladies cardiovasculaires.

144 sujets ayant un surplus de poids, surtout à l’abdomen, ont été suivis pendant trois ans où l’on a modifié leurs habitudes alimentaires en plus de leur faire pratiquer du sport.

À la fin des travaux, les chercheurs ont observé que les candidats avaient perdu en moyenne 4 kg et que leur tour de taille avait diminué de 5 cm.

De plus, les tissus adipeux viscéraux avaient fondu de 18 %, ce qui a eu pour conséquence de régulariser la fréquence cardiaque chez les patients. Ce type de graisses fait augmenter les risques de maladies coronariennes et de diabète.

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Les facteurs de risque associés au diabète

Une recherche publiée dans Archives of Internal Medicine nous apprend que plusieurs habitudes de vie peuvent augmenter l’incidence de diabète chez les personnes âgées.

Des chercheurs américains ont analysé cette association en travaillant pendant 10 ans avec 4 883 adultes âgés de plus de 65 ans. Ils ont plus particulièrement observé les effets de l’activité physique, de l’alimentation, de la consommation de tabac et d’alcool et de l’indice de masse corporelle.

Ils en concluent qu’une alimentation saine et de l’exercice physique diminuent de 46 % le risque de diabète. Si, en plus, les participants ne fumaient pas et consommaient modérément de l’alcool, l’incidence chutait de 82 %.

Par ailleurs, la combinaison de la sédentarité, du tabagisme et de mauvaises habitudes alimentaires fait augmenter le risque de diabète de 89 %.

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Une mesure de United Airlines qui ne plaira pas

Après avoir reçu près de 700 plaintes l’an dernier de passagers qui disaient avoir été inconfortables dans leur siège d’avion parce que leur voisin empiétait dans leur espace, United Airlines a décidé de prendre les grands moyens.

En effet, le transporteur obligera les passagers ayant une surcharge pondérale à acheter un deuxième siège ou à aller en première classe, là où les sièges sont plus larges.

Un porte-parole de la compagnie a annoncé que tous les passagers qui sont trop larges pour entrer dans leur place, attacher leur ceinture de sécurité ou qui doivent remonter les accoudoirs pour prendre place dans leur siège devront choisir entre les deux options.

De plus, si le vol est complet et que le passager en question ne peut acheter un deuxième siège, il sera tout simplement exclu du vol.

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Les effets de l’obésité sur les gencives

Une recherche menée auprès de 37 000 adultes a permis à Monik Jimenez, une étudiante pour un doctorat en santé publique à l’Université Harvard, de conclure que les personnes obèses sont plus à risque de souffrir de parodontite, une maladie inflammatoire des gencives.

« L’obésité est associée à une hausse de 29 % de l’incidence de parodontite », a expliqué Mme Jimenez à propos des sujets qui ont un indice de masse corporelle supérieur à 30.

Selon la chercheuse, c’est surtout l’obésité abdominale qui est en cause, à raison d’un risque de parodontite six fois supérieur quand le tour de taille est de plus de 40 pouces chez les hommes et 36 chez les femmes.

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Une meilleure compréhension de l’obésité

Une équipe de chercheurs de l’Université de Berkeley, en Californie, affirme avoir découvert le gène DNA-PK, qui est responsable du métabolisme des glucides dans l’organisme et qui permettrait de mieux comprendre l’obésité.

« Nous espérons que cette recherche pourra contribuer à aider les gens qui souhaitent manger du pain, du riz et des pâtes sans crainte de prendre du poids », a mentionné Richard Wong, un des chercheurs qui a participé à cette étude.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont travaillé avec des souris. Lorsqu’elles présentaient une mutation génétique du DNA-PK, les souris ne prenaient pas de poids, même si elles étaient gavées de féculents.

Selon les chercheurs, ces souris avaient un indice de masse corporelle de 40 % inférieur aux autres rongeurs du groupe.

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Être mince pour vivre vieux

Une recherche, publiée sur la version électronique de The Lancet, confirme l’hypothèse qui veut que l’obésité réduise l’espérance de vie.

Une équipe de chercheurs de l’Université d’Oxford ont analysé 57 études antérieures portant sur cette association entre l’obésité et la longévité.

Ils ont comparé l’indice de masse corporelle (IMC) des sujets au taux de mortalité et ont découvert qu’un IMC entre 30 et 35, ce qui représente l’obésité, retranchait trois années de vie.

Quant aux patients souffrant d’obésité morbide, l’espérance de vie diminuait de 10 ans.

« Si vous tendez à l’obésité, maigrir peut être une bonne idée », a suggéré l’un des auteurs de cette recherche, le Dr Richard Peto.

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Vaincre l’obésité grâce à un courant électrique

Carol Poe, 60 ans, est la deuxième personne aux États-Unis à participer à une étude clinique, menée par des chercheurs de l’Université West Virginia, afin de perdre du poids.

Après avoir essayé sans succès toutes les méthodes, du régime à la chirurgie bariatrique, Mme Poe a subi des stimulations au cerveau afin de mieux maîtriser son sentiment de satiété.

Selon le neurologue Julian Bailes, qui mène les travaux, la patiente est la candidate idéale pour ce genre d’intervention avec un poids de 104 kilos.

« C’est une première que de générer de légères pulsations électriques dans un groupe de neurones du système nerveux central et d’observer ensuite que cela peut modifier le comportement humain, y compris celui qui gère l’appétit incontrôlable », a souligné M. Bailes.

Ce type de chirurgie cérébrale, approuvée par la Food and Drug Administration, vise à mieux contrôler l’appétit chez les patients, qui réduisent progressivement leurs calories ingérées quotidiennement. À titre d’exemple, Mme Poe a perdu 3 livres depuis son intervention survenue en février dernier.

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L’obésité au pays, toujours en hausse

Un rapport publié par Statistique Canada, dont La Presse a obtenu copie, nous apprend que depuis 10 ans, le taux d’obésité ne cesse de croître chez les travailleurs au pays.

À titre d’exemple, 12,5 % des employés canadiens étaient obèses au milieu des années 90. En 2005, le pourcentage augmente à 15,7 % et touche particulièrement les hommes.

Cette surcharge pondérale finit même par nuire à leur rendement puisque les hommes obèses âgés de 18 à 34 ans sont quatre fois plus à risque de s’absenter du boulot que leurs collègues ayant un poids santé.

Chez les femmes, on remarque que la surcharge de poids les rend plus vulnérables aux blessures.

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Vers une réglementation des cliniques de perte de poids

Un article publié dans le Canadian Medical Association Journal dénonce les stratégies employées par les cliniques de perte de poids, qui font trop souvent miroiter des solutions miracles à leur clientèle qui rêve de minceur.

« La majorité des fournisseurs de produits d’amaigrissement commerciaux manipulent les consommateurs vulnérables en entretenant des attentes irréalistes et de fausses croyances », ont déploré les docteurs Yoni Freedhoff et Arya Sharma.

Selon eux, plusieurs méthodes pour maigrir, dont l’injection de vitamines ou la consommation de suppléments de plantes médicinales, ne sont pas appuyées sur des bases scientifiques approuvées.

C’est pourquoi les deux chercheurs espèrent que les différents paliers de gouvernement encadreront davantage cette industrie.

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Les poignées d’amour et les migraines

Une étude, menée auprès de 22 211 adultes âgés de 20 à 55 ans, nous apprend que le risque de migraines augmente quand les participants souffrent d’embonpoint, particulièrement au niveau de la taille et du ventre.

Le Dr B. Lee Peterlin et son équipe, du département de médecine de l’Université Drexel de Philadelphie, ont observé que 37 % des femmes avec un tour de taille plus élevé souffraient de migraines, comparativement à 29 % des femmes sans obésité abdominale.

« Ces résultats, qui ne sont que préliminaires, suggèrent que perdre du poids au niveau de l’abdomen peut être bénéfique chez les adultes qui souffrent de migraines, particulièrement chez les femmes », a souligné M. Peterlin.