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La pilule miracle pour perdre du poids?

Des scientifiques de l’Université de Copenhague se sont penchés sur un nouveau traitement contre l’obésité : le tesofensine. Selon eux, ce médicament est deux fois plus efficace pour perdre les kilos en trop que les placebos.

« Le tesofensine entraîne une perte de poids de 10 % comparativement au placebo ou aux régimes suivis par les patients obèses », prétend l’auteur derrière ces résultats, le Dr Arne Astrup.

Le Dr Astrup va même jusqu’à affirmer que ce traitement miraculeux pourrait remplacer la chirurgie bariatrique. Il croit aussi que la perte de poids pourrait atteindre 20 % si le tesofensine est jumelé à un régime strict.

Tous les détails de cette étude se retrouvent dans la version en ligne du journal médical The Lancet.

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Manger rapidement fait engraisser

Une recherche, publiée en ligne sur le site du British Medical Journal, nous apprend qu’ingérer rapidement des aliments peut tripler le risque de surplus de poids.

3 287 personnes, âgées de 30 à 69 ans, ont participé à cette étude, d’une durée de 3 ans, où les chercheurs évaluaient les habitudes alimentaires.

50,9 % des hommes et 58,4 % des femmes ont confié qu’ils cessaient de manger uniquement lorsque le sentiment de satiété était atteint.

Dans 45,6 % et 36 % des cas, les hommes et les femmes ont respectivement confié que le temps des repas passait à la vitesse de l’éclair.

Ce sont d’ailleurs ces sujets qui avaient un indice de masse corporelle supérieur à la moyenne, comparativement aux participants qui mangeaient lentement de plus petites portions.

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Aimer manger pour mieux maigrir

Une équipe de psychologues de l’Université du Texas croient que l’apparition de l’obésité pourrait s’expliquer par une réaction chimique dans le cerveau.

Les chercheurs ont fait passer des tests d’imagerie du cerveau afin d’évaluer les réactions cérébrales liées à la production de dopamine pendant que les sujets mangeaient. Cette molécule, qui joue un rôle dans le désir et la sensation de plaisir, s’active lorsque la personne mange.

Il semble que les chercheurs ont pu prédire que les participantes, dont la sécrétion de dopamine était moins élevée, allaient prendre plus de poids au cours des mois suivants. « Cette recherche révèle que les personnes obèses pourraient compter moins de récepteurs de dopamine dans leur cerveau les conduisant à manger plus pour compenser ce déficit de plaisir », prétend l’auteur derrière ces résultats, le Dr Eric Stice.

Le Dr Stice croit toutefois que l’obésité n’est pas un automatisme lorsque les zones du cerveau liées au plaisir émettent moins de dopamine. Une saine alimentation et de l’exercice physique sont encore le meilleur moyen de prévenir le surplus de poids.

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Des migraines à cause d’un surplus de poids?

Selon le Dr Andrew Hershey, directeur du Headache Center de l’Hôpital pour enfants de Cincinnati, il existe un lien entre les migraines chez les enfants et adolescents et les kilos en trop.

Parmi les 913 sujets qu’il a observés, le Dr Hershey a observé que 34,1 % des jeunes patients ayant un surplus de poids souffraient de maux de tête et que le degré de sévérité de ces migraines augmentait en fonction de l’indice de masse corporelle.

Le chercheur a aussi observé que la fréquence et la sévérité des migraines diminuaient quand le participant perdait du poids. C’est pourquoi il recommande aux professionnels de la santé d’envisager la perte de poids comme moyen de traitement des migraines.

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La perception des enfants obèses

Des chercheurs des universités de Montréal, McGill et Concordia et du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine soutiennent que la perception corporelle des enfants, dont les parents et l’entourage sont obèses, est faussée. En effet, ces derniers ont tendance à croire que leur propre surplus de poids est normal.

« Lorsque les parents et les camarades de classe d’un enfant ont une surcharge pondérale ou qu’ils sont obèses, il arrive que ce dernier considère son propre excès de poids comme étant normal », affirment les auteurs de cette étude.

« Plus l’indice de masse corporelle (IMC) de ses amis et des membres de sa famille est élevé, plus l’enfant est susceptible de sous-estimer son propre poids, une tendance similaire chez les personnes des deux sexes et indépendante du niveau socioéconomique de leur école ou de leur famille », expliquent-ils.

Alors que 14 % des sujets avaient dans les faits un IMC de 25 et plus et que 9 % étaient obèses, seulement 1,6 % des participants se percevaient comme ayant un excès de poids, ce qui fait croire aux chercheurs que les jeunes ont sous-évalué leur poids.

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L’obésité est une véritable maladie

Des chercheurs de la Temple University School of Medicine, de Philadelphie, arrivent à la conclusion que les cellules graisseuses des personnes obèses sont déficientes.

Leurs recherches ont porté sur des échantillons de graisse de la cuisse de personnes obèses et de personnes minces.  Des différences importantes entre les cellules graisseuses des deux groupes ont été découvertes.

Les chercheurs ont découvert plusieurs différences dans la partie des cellules qui sert à synthétiser les protéines. Ces protéines entraîneraient une résistance à l’insuline. Cette résistance jouerait un rôle majeur dans les conditions d’apparition de l’obésité.

Selon les auteurs de l’étude, cette différence des cellules graisseuses entre personnes obèses et minces expliquerait le lien entre l’obésité et le risque de diabète, de maladies cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux.

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Les problèmes de poids pris en charge par l’État

Avec son projet de loi approuvé reconnaissant les troubles alimentaires comme des maladies, le gouvernement argentin force les organismes de santé publics et privés à rembourser les frais de traitement déboursés par les contribuables aux prises avec l’obésité, la boulimie et l’anorexie.

L’Argentine prend donc le taureau par les cornes alors que 40 % de sa population souffre d’un surplus de poids et que l’obésité est la deuxième cause de mortalité au pays, après le tabagisme.

En plus du remboursement des frais liés aux problèmes de poids, un volet préventif est aussi au menu, notamment un encadrement plus restrictif des publicités sur les régimes et les méthodes amincissantes.

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Obésité ne rime pas toujours avec maladie

Un article publié dans le journal spécialisé Archives of Internal Medicine déboute le mythe concernant le piètre état de santé des personnes obèses.

En effet, selon deux recherches, une allemande et une américaine, le surplus de poids n’est pas toujours un facteur de risque des maladies cardiovasculaires.

314 participants ont été suivis par l’équipe de chercheurs de l’Université de Tübingen. Ils ont été répartis en deux groupes selon leur résistance à l’insuline, souvent associée à un état prédiabétique.

Ceux qui résistaient mieux à l’insuline avaient davantage de graisse dans les muscles squelettiques et présentaient aussi des parois d’artères durcies, ce qui augmente normalement l’incidence de maladies cardiovasculaires.

Quant aux sujets sensibles à l’insuline, ils présentaient un bilan de santé similaire aux personnes ayant un poids santé.

Les chercheurs américains, de leur côté, en arrivent à des conclusions similaires, alors que leurs participants obèses avaient une tension artérielle et un taux de cholestérol normaux.

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L’alcool favoriserait l’obésité et l’hypertension

Telles sont les conclusions d’une étude américaine publiée sur le site du Journal of Endocrinology & Metabolism.

L’enquête, réalisée auprès de 1 529 personnes, démontre les dangers d’une consommation d’alcool régulière, même modérée.

L’étude démontre une corrélation entre la consommation d’alcool excessive, les risques cardiovasculaires et l’obésité.

Pour les chercheurs, une consommation excessive d’alcool représente, chez l’homme, plus de deux verres par jour et, chez la femme, plus d’un verre par jour.

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86 % des Américains pourraient être obèses en 2030

Ce sont des chercheurs de l’université John Hopkins aux États-Unis qui sont parvenus à cette conclusion inquiétante.

L’étude publiée dans la revue Obesity estime que le surpoids et l’obésité coûteraient alors 956 milliards de dollars au système de santé américain, soit 1/6e de tout l’argent dépensé dans le domaine de la santé publique en 2030.

Depuis les 20 dernières années, l’obésité a dramatiquement augmenté aux États-Unis. En 2007, seul l’État du Colorado revendiquait moins de 20 % de sa population obèse.

En Alabama, c’est plus d’une personne sur trois qui était obèse en 2007, le pire score au pays.