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Un nouveau traitement aux multiples fonctions serait en développement

Top Santé rapporte que des spécialistes français travaillent à l’élaboration d’un nouveau type de médicament possiblement capable de traiter, ou plutôt de prévenir, plusieurs maladies et troubles de la santé simultanément.

Ce médicament découlerait de la découverte d’une molécule bien spéciale appelée LNP 599, capable de freiner le développement du diabète, réduire les risques d’AVC, ralentir la progression de l’obésité et améliorer la santé cardiovasculaire.

Les chercheurs français, basés à Strasbourg, considèrent la molécule comme l’une des plus grandes découvertes médicales potentielles du 21e siècle, après plus de 15 ans de recherche. La particularité de la molécule et du médicament subséquent résiderait dans le fait qu’elle agit sur le système nerveux, et non sur les organes.

« Notre idée était de chercher une espèce de chef d’orchestre qui nous permettrait, en modifiant le rythme de ces régulations par une cible unique de modifier tous les symptômes à la fois. Et nous avons réussi avec cette molécule », lance non sans fierté et avec beaucoup d’optimisme le spécialiste Pascal Bousquet, à la chaîne France 3.

Les essais cliniques se poursuivent, après plusieurs tests concluants sur des rongeurs, et l’équipe française croit pouvoir terminer ses recherches sur ce médicament du futur au cours des prochaines années.

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Traitement contre l’obésité infantile à l’aide de la metformine

Selon une nouvelle étude relative à l’efficacité de la metformine sur la perte de poids chez les enfants obèses, les scientifiques affirment que les effets sont à peine notables.

Bien que le médicament pour traiter le diabète de type 2 soit approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, de nombreux médecins l’utilisent également en traitement complémentaire pour la perte de poids chez les moins de 18 ans. La médication s’inscrit dans un programme de modification de l’alimentation et du niveau d’activité physique, puisqu’elle est jugée sécuritaire.

Or, selon les 14 essais cliniques et les 946 cas d’enfants de 10 à 16 ans étudiés par les chercheurs, les résultats sont très modestes. En moyenne, rapporte Medical News Today, l’indice de masse corporelle (IMC) des candidats n’aurait été réduit que de 5 %.

En conclusion, les scientifiques jugent insuffisants les avantages de l’apport de la médication par rapport aux besoins de santé des enfants obèses.

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Parents stressés, enfants obèses?

Selon des données compilées lors de la Children’s Health Study (étude sur la santé des enfants), les chercheurs ont recueilli des informations qui s’échelonnaient sur le long terme.

Pendant plusieurs années, les parents répondaient à des questionnaires sur leur niveau de stress et la masse corporelle de leurs enfants était mesurée annuellement.

Les résultats ont démontré que les enfants de parents ayant un niveau élevé de stress avaient un indice de masse corporelle (IMC) 2 % plus élevé que ceux de parents dont le niveau de stress était bas.

D’autre part, les enfants de parents stressés gagnaient du poids à un taux 7 % plus élevé que les autres enfants.

« L’enfance est un moment décisif pour le développement d’habitudes interconnectées reliées avec la gestion du stress, affectant notre alimentation et notre activité physique », a rapporté Ketan Shankardass, l’un des chercheurs principaux de l’étude.

Ce que les chercheurs craignent, c’est le caractère « irréversible » de ces habitudes. Malheureusement, comme le rapporte Science World Report, lorsque les parents sont stressés, leur comportement influence celui de leurs enfants, et l’alimentation et l’exercice sont les premiers facteurs visés.

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L’obésité infantile serait due à 3 principaux facteurs

Le gène de l’obésité est un facteur de plus en plus concluant lorsqu’on parle de surpoids, selon une récente étude. Il serait présent surtout chez les adultes, mais chez les enfants aussi, surtout les fillettes. Il porte les gens à trop manger, parce que cela les fait « se sentir mieux ».

Le coupable est un gène qui agit sur la satisfaction de la récompense. Il peut être relié à 3 facteurs : les prédispositions génétiques, le stress environnemental et le bien-être émotionnel.

Les responsables de la recherche, Dre Patricia Silveira et Dr Robert Levitan, respectivement de l’Université McGill et de l’Universié de Toronto, ont déclaré dans un communiqué : « En d’autres termes, l’obésité est liée à la génétique, au développement précoce et aux circonstances environnantes ».

Les tests effectués ont porté sur 150 enfants de 4 ans. Parmi ceux-ci, certaines mères avaient souffert de dépression ou de pauvreté pendant et/ou après la grossesse. Leurs enfants ont été suivis de la naissance à l’âge de 10 ans.

C’est en soumettant les enfants à divers éléments de récompense alimentaire et en tenant compte des facteurs génétiques, de croissance et d’environnement que les chercheurs en sont venus à cette conclusion.

Vous pouvez lire les détails sur le site de Science World Report.

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L’effet de la température sur le poids démontré

Une équipe de chercheurs menée par le Dr Michael Daly a cherché à démontrer les effets et impacts de différents degrés de température sur le poids corporel, et ainsi valider ou infirmer certaines théories qui circulent sur le sujet, rapporte Top Santé.

« Nous avons décidé d’enquêter sur les allégations scientifiques selon lesquelles les températures intérieures plus fraîches nous aident à maintenir un poids santé en poussant notre corps à dépenser plus d’énergie par des frissons et générer de la chaleur à travers les tissus », lance d’abord Daly.

Mais au fil des recherches, qui impliquaient l’analyse de 100 000 personnes placées dans différents « climats », l’équipe de spécialistes s’est rendu compte que ce sont plutôt les températures élevées qui favorisent la perte de poids.

Ainsi, les gens qui utilisent davantage le chauffage à la maison auraient une plus grande facilité à maigrir.

« Nous avons trouvé des niveaux de poids plus bas chez les personnes vivant dans les maisons chauffées à plus 23 degrés, le cas de 15 000 des ménages étudiés », explique ensuite le Dr Daly, qui croit maintenant que des températures ambiantes trop basses pourraient s’avérer un facteur qui contribue au surpoids.

« À des températures supérieures, nous dépensons plus d’énergie, et notre appétit étant diminué, nous mangeons moins. Comme nous avons pris en compte d’autres facteurs tels que la consommation excessive de calories et les faibles niveaux d’activité physique, notre étude suggère bien que le surpoids peut être lié à des températures trop basses, et que le niveau d’obésité pourrait augmenter si la population continue à vivre dans des environnements sous-chauffés », conclut l’équipe de chercheurs.

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L’accessibilité aux restaurants autour des écoles : responsable de l’obésité infantile?

Si la malbouffe est présente dans les environs du milieu scolaire et que les enfants y ont accès, il va de soi, la majorité préférera consommer ces aliments plutôt que des plats santé.

C’est Xuyang Tang et des équipes de l’Université du Minnesota et l’Arizona State University qui ont récolté les données de 13 000 étudiants de 33 écoles primaires et secondaires au New Jersey. 

Le choix de la situation géographique est dû au fait que dans cette région, comparativement au 17 % de moyenne d’obésité chez les jeunes, ce taux s’élevait à 25 %.

Les résultats de la recherche, publiés par l’American Public Health Association, démontrent la corrélation entre l’augmentation ou la diminution de l’indice de masse corporel des enfants et la proximité de restaurants de malbouffe ou d’aliments santé.

Les spécialistes s’entendent sur la légère mais notable influence négative de la proximité d’établissements offrant des aliments gras ou caloriques.

En moyenne, chaque école comprenait, à quelque cent mètres, 2,75 dépanneurs, 3,68 établissements de restauration rapide, 0,34 point de vente d’aliments santé et 0,24 supermarché.

Selon MedPageToday, les chercheurs souhaitent poursuivre avec d’autres études longitudinales pour vérifier la relation cause à effet de cet environnement.

 

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Bien dormir pour mieux manger

Une étude menée par l’Université Temple confirme que, comme chez l’adulte, les enfants manquant de sommeil sont plus enclins à souffrir d’obésité. Voici un survol des résultats publiés sur le site santelog.com.

Ce serait près de 150 calories en moins que les enfants ayant un sommeil adéquat consommeraient chaque jour. À la suite à ses recherches, le Pr. Chantelle Hart du Center for Obesity Research and Education démontre que, bien que la malbouffe et le manque d’exercice soient aussi à blâmer, le manque de sommeil est tout aussi coupable.

Ce sont 37 enfants qui ont participé à l’étude, dont 27 % étaient en surpoids ou obèses. Durant 3 semaines, leur temps de sommeil variait volontairement, afin d’en voir les effets.

Les résultats ont été clairs; au moment où les enfants dormaient plus, leur apport calorique diminuait de 134 calories quotidiennement, en plus de présenter une quantité inférieure de leptine, l’hormone de la faim.

En moyenne, les enfants ont aussi perdu 220 grammes par semaine, améliorant ainsi leur état de santé.

Le tout revient à ce qui est conseillé par les professionnels de la santé; maintenir une routine de sommeil suffisante et adéquate pour les enfants est primordial pour leur bon développement, leur santé et leur comportement.

Crédit Photo : Freedigitalphotos.net

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Puberté précoce chez les filles en lien avec l’obésité

La recherche a été menée par le Breast Cancer and Environmental Research Program. Les résultats révèlent que la transition hormonale précoce est également associée à un risque élevé d’hypertension et de plusieurs cancers, notamment du sein et des ovaires.

De plus, les jeunes filles dont la puberté se déclenche plus tôt sont aux prises avec des défis plus ardus en ce qui a trait au comportement et à l’humeur. Entre autres, les spécialistes ont noté une dévalorisation personnelle, un plus grand risque de dépression et des résultats scolaires diminués.

Au terme de cette étude, le Dr Frank Biro, en tête de la division des soins aux adolescents du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center, affirme : « La présente étude suggère que l’on redéfinisse l’échelle de l’âge attribuée à une puberté précoce et tardive chez les filles ».

En tout, c’est l’historique médical de 1239 filles qui a été répertorié. Selon Science World Report, la corrélation entre l’obésité et le déclenchement de la puberté était surtout présente chez les fillettes de race blanche.

La recherche a été publiée dans la revue Pediatrics.

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La taxe sur les boissons sucrées peut réellement fonctionner, selon une étude

Le Telegraph (UK) rapporte une étude britannique qui conclut à l’efficacité probable d’une taxe sur les boissons gazeuses et sucrées, à tout le moins à long terme.

Ce sont des experts des universités Reading et Oxford qui se sont penchés sur le sujet, alors que de plus en plus d’autorités de la santé et politiques souhaitent voir augmenter le prix de la malbouffe et, en ce qui nous concerne ici, des boissons gazeuses ou trop sucrées.

Le groupe de spécialistes arrive à la conclusion, un peu en surprise, qu’une telle mesure serait effectivement efficace et qu’elle permettrait une réduction globale de la consommation de ces produits, et donc une baisse du poids moyen des individus.

« Notre travail suggère qu’une taxe sur les boissons sucrées aurait un meilleur impact en termes de réduction de l’obésité chez les jeunes adultes », confirme le Dr Oliver Mytton, qui participe à l’étude.

Plusieurs régions sont en train d’étudier une telle possibilité, notamment du côté de Mexico, San Francisco, New York et même ici, au Québec.

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Boisson gazeuse : les adolescents sont en danger

Pour une recherche menée par la Dre Susan Babey en Californie, des données de plus de 40 000 foyers californiens ont été compilées. Les résultats comparent la consommation de boissons sucrées, plus spécifiquement les boissons gazeuses et boissons énergisantes, pour la période de 2005 à 2007, puis 2011 et 2012.

Les résultats montrent que chez les 6 à 11 ans, la consommation de boissons gazeuses est passée de 43 à 32 %. Chez les 2 à 5 ans, celle-ci est passée de 27 à 19 %. Finalement, chez les adolescents (12 à 17 ans), le taux de consommation a grimpé de 5 %.

 Les groupes ethniques sont ceux qui consomment le plus de boissons gazeuses et de boissons énergisantes. Ainsi, 74 % des Afro-Américains et 73 % des Latino-Américains boivent au moins un soda par jour. Quant aux Asiatiques, les données grimpent en flèche.

Selon Science World Report, les chercheurs espèrent sensibiliser les adolescents (et leurs parents) aux effets à long terme de ce type de boissons. On parle notamment de risque élevé de diabète et d’obésité, en plus de problèmes d’agressivité, de déficit d’attention et de troubles comportementaux.